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« Au récit continu des batailles, des traités, des intrigues,
à l'histoire trépidante des héros devrait succéder l'histoire des inconnus de la terre,
par qui se fait aussi l'Histoire. » Fernand Braudel, historien (1902-1985).
Magazine-web coopératif et hebdomadaire lancé en 2000 - Dernière édition : jeudi 5 décembre 2019
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Derniers articles
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2e épisode : le Maire et le Chef de cuisine
vendredi 29 novembre 2019, par Sonia Landgrebe
Lors de l’épisode précédent, nous avons suivi le parcours d’Hippolyte Christophe le boucher, fondateur de la famille METTAIS de Ménars (Loir-et-Cher), puis celui de son fils Louis Hippolyte, médecin chirurgien à Montrouge et homme de lettres. Ce deuxième épisode nous entraine à la rencontre du fils cadet, Pierre Pascal Jules METTAIS, boucher et maire de la commune de Ménars, puis du gendre Napoléon LUTZ, époux de Marguerite METTAIS, chef cuisinier originaire du Nord de la France...
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vendredi 29 novembre 2019, par Francis Hérail
Je vous présente cette photo de mariage qui me pose problème depuis plusieurs années. Elle était chez mes parents, qui n’en savent pas plus que moi, et elle représente un mariage entre 1925 et 1930 en l’église de Saint Jean Delnous à coté de Réquista (Aveyron).
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1er épisode : le boucher et l’homme de lettres.
vendredi 22 novembre 2019, par Sonia Landgrebe
Du boucher à l’ingénieur, en passant par le médecin romancier et le vinaigrier. C’est en faisant un peu de généalogie descendante du côté de mes ancêtres GAUCHARD, laboureurs à Moisy dans le Loir-et-Cher, que j’ai eu la surprise de découvrir une branche cousine ayant fait souche à Ménars, village de mon enfance (même département). Je me suis intéressée à l’histoire de ces METTAIS et ai tâché de retracer leur descendance ménarsoise.
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vendredi 22 novembre 2019, par Andrée Vergain
Je recherche depuis des années les décès de mes arrière-grands-parents, j’ai passé beaucoup de temps sur celui de mon arrière grand-mère Marie-Louise sans succès et un peu moins sur mon celui de mon arrière grand-père et je fais donc appel aux fidèles lecteurs de la Gazette pour essayer de trouver la solution. Voilà ce que je sais :
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mercredi 20 novembre 2019, par Sylvie Lassalle
Les personnages évoluent dans un monde marqué par la colonisation, la préparation de la guerre avec la loi des trois ans, l’explosion du cuirassé Liberté à Toulon, les débuts de l’émancipation des femmes et les espoirs du socialisme de Jaurès. L’intrigue elle-même m’a été fournie par une étrange histoire : un bébé mort à quatre mois se retrouve, vingt ans plus tard, marié à Toulon. Voilà un mystère qui ne sera jamais résolu, j’ai préféré laisser mon imagination s’en emparer.
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Suite de notre « voyage généalogique en pharmacie » à Lyon, en Auvergne... et aux Roches
vendredi 15 novembre 2019, par Michel Guironnet
Fait-il aussi chaud à Lyon en août 1898 qu’aux Roches de Condrieu en août 1907 ? Ceux qui ont lu la première étape de ce "Voyage généalogique en Pharmacie" comprendront le pourquoi de cette question. Cette deuxième étape nous emmène de l’aube du XXe siècle aux lendemains de la Grande Guerre.
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vendredi 15 novembre 2019, par Philippe Buisson
Depuis de longues années, je recherche éperdument les traces d’un arrière-grand-oncle, frère de mon arrière-grand-père en ligne directe. Pierre BUISSON est né le 17 Avril 1838 à Pageas. C’est la seule trace que je retrouve de ce Pierre BUISSON. Pas de décès dans la petite enfance ou à un âge plus avancé, pas de mariage non plus, malgré une recherche étendue aux communes voisines, aux départements voisins, et ceci en ayant utilisé toutes les sources habituelles.
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Un « voyage généalogique en pharmacie », du Rhône à l’Auvergne.
vendredi 8 novembre 2019, par Michel Guironnet
Son mari parti jouer aux boules malgré la chaleur torride, Louise reste à l’ombre pour trouver un peu de fraicheur. Elle en profite pour écrire à son neveu. Sa carte postale nous fait voyager, « en pharmacie », du Rhône à l’Auvergne, entre le milieu du XIXe et le début du XXe siècle.
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vendredi 8 novembre 2019, par Christian Broutin
Le 2 août 1713 fut célébré à Saint-Ouen de la Rouërie (Ille-et-Vilaine) le mariage de Jean FLEURIOT, sieur du Chesne, avec Gillette ANGER, fille de Julien ANGER et de Françoise BAZIN. La généalogie de l’épouse est connue, en revanche, et du fait de l’absence d’indications sur la famille de l’époux dans l’acte de mariage, ce dernier reste un parfait inconnu
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mercredi 6 novembre 2019
Le 22 février 1848, Paris se soulève contre le roi Louis Philippe. La Deuxième République est proclamée ; Alphonse de Lamartine impose le drapeau tricolore. Des Ateliers Nationaux destinés à procurer du travail aux chômeurs parisiens sont créés puis fermés rapidement par l’assemblée conservatrice. Fin juin une nouvelle insurrection est réprimée dans le sang. Pour se débarrasser des fauteurs de troubles on leur propose de créer des colonies agricoles en Algérie. Un décret du 20 septembre 1848 stipule que les colons doivent partir le plus vite possible. Lauteure nous invite à embarquer avec eux dans ce passionnant roman qui raconte lhistoire de ce premier des dix-sept convois, en octobre 1848.
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jeudi 31 octobre 2019, par Gewa Thoquet
Lors de ses lectures sur la vie des ancêtres en Côte d’Or, Claude Annette VERDIER, un des piliers du Gerco, (le cercle généalogique « Généalogie, entr’aide, recherche en Côte d’Or) » a trouvé une liste nominative d’une petite partie des habitants de Seurre. Cette petite ville le long de la Saône se trouve à 50 km au Sud de Dijon. Ceux-ci ont joué bénévolement du 9 au 12 octobre 1496 "Le mystère de Saint Martin", patron d’une de leurs deux églises. L’autre est placée sous le vocable de Saint-Michel. Il est trop rare de trouver des écrits racontant une tranche de vie de nos ancêtres au XVe siècle pour ne pas en parler.
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jeudi 31 octobre 2019, par Nicole Graillot
A Saint Sulpice en Pareds -paroisse du canton de la Chataigneraie en Vendée, c’est Messire Jacques AUDUIT, bachelier en Théologie, qui officie en tant que Prêtre Prieur de 1695 à 1743. Toutefois, les 13 et 14 Novembre 1703, deux actes portent la signature de "DELAHAYE religieux de l’estroite observance de Saint François du couvent de Fontenay". Pourquoi ? Lors d’une récente réunion du Cercle généalogique à Milhaud (Gard), le sujet ayant été évoqué, les avis étaient partagés. Trois hypothèses ont été émises...
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jeudi 24 octobre 2019, par Michel Guironnet
La forteresse de la Bastille a commencé à être démolie dès le 14 juillet 1789 et les pierres ont été récupérées au profit essentiellement d’un seul homme : Pierre-François Palloy qui, à partir des pierres, a fait fabriquer 83 maquettes de la prison qui ont été envoyées en province, à raison d’une par département. Si la plupart des maquettes ont été perdues ou détruites, les archives départementales conservent encore des documents relatifs à cet épisode : ainsi ce bordereau d’expédition...
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jeudi 24 octobre 2019, par Jean-Paul Mariot
Depuis plusieurs années, je cherche en vain la date et le lieu du décès de mon aïeul (AAAAgp) François PRUNEAU originaire de St Viaud en Loire-Atlantique. Chose surprenante, il est absent au mariage de son fils unique alors qu’il est déclaré « vivant laboureur ». Qui pourra m’aider à en savoir plus sur cet aïeul et son couple ?
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4e épisode : Médecin au 6e B.C.A, grave blessure, retour à la vie civile et décès (août 1916 à 1921)
jeudi 17 octobre 2019, par Jacques Pageix
Passé sur sa demande à la VIIe Armée le 4 juillet 1916, Georges Pageix fut ensuite affecté, sur sa demande, au 6e Bataillon de Chasseurs le 4 août 1916 (le « 6e Bataillon alpin de Chasseurs à pied » comme l’intitule le JMO). Ces bataillons de Chasseurs étaient voués sans exception à combattre en premières lignes. La discipline de fer qui y régnait, l’engagement total des hommes et leur extrême bravoure en faisaient des unités d’élite.
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jeudi 17 octobre 2019, par Philippe Jacques
J’ai sollicité la secrétaire de mairie de Viviers qui m’a beaucoup aidé, mais n’a pas trouvé de trace du décès de Victor sur Viviers. J’ai épluché les TD en ligne de la majorité des localités autour de Viviers sur Chiers mais n’ai rien trouvé. J’ai sollicité une entraide sur le site Yahoo groupe Meurthe et Moselle également en vain. Je n’ai rien trouvé concernant Victor sur Généanet. Il s’agit pourtant du frère de mon grand père paternel, mais la généalogie contemporaine n’est pas la plus facile.
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3e épisode : Médecin au 46e Bataillon de Chasseurs Alpins (avril 1915 à août 1916)
jeudi 10 octobre 2019, par Jacques Pageix
Georges Pageix est affecté au 46e Bataillon de Chasseurs à pied en avril 1915 pour remplacer le Médecin major Fenel, blessé et évacué. Le 46e est alors au cœur des Vosges, dans une guerre de positions. Les tranchées françaises et allemandes se font face, séparées par une centaine de mètres seulement. Chaque attaque se solde par de lourdes pertes... Les médecins, les infirmiers et les brancardiers partagent largement les risques encourus par les combattants. Suivons-les pas à pas...
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jeudi 10 octobre 2019, par madobegu@gmail.com
Je recherche désespérément les lieux et date de naissance de Catherine BEGU qui serait née vers 1823 soit à Pouillon soit à St Girons (Basses Pyrénées) et bien sur le nom de ses parents et leur domicile afin de remonter la généalogie de mon grand-père : Jean Baptiste BEGU.
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Une vie de marchande ambulante au XIX siècle en Seine-inférieure
jeudi 3 octobre 2019, par Martine Hautot
Croiriez-vous qu’au XIX siècle on pouvait accoucher dans une voiture ? C’est pourtant ce qui est arrivé à Rose Petit, le 13 Juin 1872, à trois heures du matin. La voiture du marchand ambulant qui l’abritait était alors stationnée sur la commune des Grandes Ventes et plus précisément sur la route de Dieppe à Paris.
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jeudi 3 octobre 2019, par Jean-Pierre Vincent
Pendant huit générations, mes ancêtres VINCENT n’ont pas quitté la Picardie, ni même Abbeville et ses environs. Ils y exercèrent bien des métiers entre 1700 et 1900 : maître baracannier, compagnon orfèvre, tailleur d’habits, agent des ponts & chaussées, typographe, serrurier, employé d’octroi, garde-frein au chemin de fer… Mais pourquoi Arnoult St VINCENT a-t-il quitté sa Guyenne natale pour venir s’établir en Picardie ?
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Nouvelle édition complétée et enrichie
mercredi 2 octobre 2019, par Pierrick Chuto
Prolongation du prix de souscription pour les lecteurs de La Gazette
En 2013, j’ai publié « Les exposés de Creac’h-Euzen » (Les enfants trouvés de l’hospice de Quimper au XIXe siècle). L’ouvrage ayant été rapidement épuisé, je le réédite aujourd’hui après l’avoir beaucoup augmenté et enrichi. Le sujet, rarement traité en France, et jamais encore sous cette forme, vous dira tout sur l’histoire chaotique de l’enfance au XIXe siècle, sur la vie de ces enfants de nulle part dont l’existence a commencé bien mal. L’histoire et les vicissitudes de l’hospice civil de Quimper ressemblent à beaucoup d’autres établissements à travers la France.
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