51 visiteurs en ce moment
Les AD en ligne (ou
ici)
|
« Au récit continu des batailles, des traités, des intrigues,
à l'histoire trépidante des héros devrait succéder l'histoire des inconnus de la terre,
par qui se fait aussi l'Histoire. » Fernand Braudel, historien (1902-1985).
Magazine-web coopératif et hebdomadaire lancé en 2000 - Dernière édition : vendredi 27 janvier 2023
736
auteurs,
2888
articles,
36469
messages.
www.histoire-genealogie.com
Derniers articles
-
vendredi 27 janvier 2023, par Paul-Georges Béghin
On aime trouver dans les archives des actes inhabituels qui nous montrent souvent nos ancêtres ou collatéraux sous un jour bien plus humain. Claude-Hugues du CHOULLE de la PELLETIERE offre, en une seule personne, trois bizarreries que je n’ai jamais rencontrées ailleurs : Un mariage clandestin, un baptême très tardif et la perte de son prénom…
-
vendredi 27 janvier 2023, par Jacques Marquestaut
Mon ancêtre Guillaume SAUVAGE est né à Ruillé-Froid-Fonds (Mayenne) en 1805, mais, après son mariage avec Claire Laurent en 1833, on le retrouve cordonnier à Laval, et c’est à Lehon, un petit bourg à proximité de Dinan (Côtes d’Armor), qu’il meurt le 13 décembre 1874, à une bonne centaine de kilomètres de Laval. Je me demande ce que Guillaume SAUVAGE était venu faire, à 69 ans, dans ce petit village de Léhon, à plus de 100 kilomètres de son domicile.
-
Une enfant née esclave devenue directrice de Poste en métropole
vendredi 20 janvier 2023, par Franck Juin
J’ai rencontré, dans la généalogie d’un cousin du 2e au 3e degré, (Marie) Joséphine par son mariage en 1870 à Saint-Donat-sur-l’Herbasse (26) avec Gonzalve Henry Louis Tancrède ROCHE (1836 – † entre 1911 et 1918) : cet acte nous apprend qu’elle est née en 1838 à Fort Royal (Martinique). Elle est receveuse de la Poste, c’est à dire directrice. Seul le prénom de sa mère, Pauline, est mentionné.
-
Suite de la demande d’aide parue le 29 juillet : "Si vous êtes de mèche avec moi, je vous devrais une belle chandelle !"
vendredi 20 janvier 2023, par Sébastien Bulenger
Les archives de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris (APHP) m’ont appris que Louis "Prosper" Jean Thébault, cousin par alliance, était décédé d’une fièvre liée au saturnisme dont il souffrait et que sa mère, Rosalie Esnay, était morte des suites d’une neurosyphilis, enfermée en tant qu’aliénée lors de ses dernières années de vie. Ces archives m’ont aussi permis d’en savoir un peu plus sur ma cousine, Anne Boutloup, déclarée morte dans les actes concernant la fin de vie de son mari, alors qu’elle était bien vivante lors de l’écriture de ces actes.
-
Suite de la demande d’aide parue le 29 juillet : "Si vous êtes de mèche avec moi, je vous devrais une belle chandelle !"
vendredi 13 janvier 2023, par Sébastien Bulenger
Le 29 juillet 2022, je postais sur ce site une demande d’aide pour retrouver des cousins "montés à Paris" : Louis "Prosper" Jean Thébault, fabricant de chandelle (ou chandelier) en 1860, et Anne Boutloup, coupeuse de mèche en 1860. Tous deux sont morts dans des hôpitaux parisiens, ainsi que la mère de Prosper, Rosalie Esnay/Esnart/Esnaut, qui avait rejoint son fils et sa bru à Paris après la mort de son mari et le mariage de Prosper et Anne. Il m’avait été conseillé de consulter les archives de l’APHP (Assistance Publique des Hôpitaux de Paris). Effectivement, ces archives m’ont permis de compléter leur histoire.
-
vendredi 13 janvier 2023, par Andre De Wandeler
Depuis des années, je retrace les racines de ma famille en Belgique et en France. Récemment, j’ai découvert l’existence d’un grand-oncle qui était "oublié" dans la famille, enfin, il était le " mouton noir" et je crois que mes arrières grand parents et grand parents ont caché ce fils / frère malheureux pour la communauté.
-
vendredi 6 janvier 2023, par Dominique Chancel
A Grenoble, les locaux de l’Université Inter-Âges occupent l’ancien hôtel particulier dit de Belmont, implanté sur un quai de l’Isère. L’hôtel a été construit vers 1645 pour un noble d’origine écossaise, connu en France sous le nom de Jacques de Valois, qui était né vers 1582 à Stirling en Ecosse sous le nom de James Wallace. Qui pourra aider à remonter la généalogie écossaise de Jacques de Valois et celle de Jean du Vair et/ou mettre en contact avec des généalogistes écossais bénévoles susceptibles d’y contribuer ?
-
vendredi 6 janvier 2023, par Martine Gautier-Valentin
Dans l’acte de mariage de mon ancêtre, il est précisé qu’il est "prisonnier espagnol". Serait il un soldat fait prisonnier au cours de la Guerre d’Espagne de Napoléon ? Comment retrouver les circonstances qui l’ont emmené dans le Lot ? Merci de votre aide.
-
vendredi 16 décembre 2022, par Michel Guironnet
Le 13 prairial an V (1er juin 1797), le « citoyen Joseph Baudrier, cultivateur », « fils légitime de Jean Baptiste Baudrier, aussi cultivateur, et de Marguerite Melet » se présente en mairie des Roches de Condrieu (Isère) devant Nicolas Guillot pour épouser « Claudine Martoux » « fille légitime d’Etienne Martoux, cultivateur, et d’Anne Garat ». Douze ans plus tard...
-
vendredi 16 décembre 2022, par Michel Duvernoy
Le calepin d’un ancêtre soldat est parvenu jusqu’à nous. Son récit commence quelques semaines avant le coup d’Etat de Napoléon III. Son bataillon est appelé à Bonny-sur-Loire à la suite d’émeutes, puis à Boulogne-sur-Mer (pendant la campagne de Crimée) puis à Lyon... J’ai transcris ce récit qui demeure incomplet puisque ce carnet a été amputé de quelques feuillets. Peut être que d’autres carnets pourraient compléter cette période ?
-
Un nom de famille quelque peu familier
vendredi 16 décembre 2022, par Franck Boulinguez
Comme à l’habitude, la Gazette vous propose sa petite énigme de Noël pour cette trêve des confiseurs. Avec cette année, un petit clin d’œil à un patronyme quelque peu familier…
-
Seconde divagation : Victorine
vendredi 9 décembre 2022, par Michel Baumgarth
Nous avons vu que l’amitié indéfectible d’Émile et d’Adrien s’est nouée au cours de leur interminable séjour forcé au camp de Stuttgart ; mais qu’en est-il de celle tout aussi infrangible de Maman Cocard et Victorine ? Les parcours des deux filles avaient été tristement semblables : Marie Catherine, fille d’un journalier, avait dû quitter son Morvan pour se placer domestique à Paris et Victorine avait sans aucun doute suivi le même sort puisque, à quinze ans, elle ne figure déjà plus dans le recensement de sa famille en 1906 à Trélivan (22). Le lieu de leur rencontre restera inconnu, mais l’ancrage amical se fit à Créteil.
-
relaté par Auguste Chuto, un républicain de Guengat
vendredi 9 décembre 2022, par Pierrick Chuto
En août 1858, la visite en Bretagne, avec un passage par Quimper, de l’empereur Napoléon III et de son épouse Eugénie fut un événement. Elle revêt encore plus de relief lorsque je la fais raconter dans les moindres détails par Pierre-Auguste Chuto, maire républicain de Guengat, une commune rurale voisine. On l’appelait le maître de Guengat et c’était mon ancêtre.
-
vendredi 9 décembre 2022, par Jean-Paul Charpiot
Malgré des indices précis, je ne peux répondre à cette question. Hermine NOËL est dite « née à Nice, Alpes Maritimes, âgée de 20 ans »… « célibataire », éléments qui figurent sur son acte de décès, survenu à Paris le 9 juillet 1919 ; on peut donc admettre sa naissance vers 1899, plus ou moins 2 ans. Le même acte indique aussi l’identité de ses parents, « Alcide Noël et Blanche Bataglini, décédés ».
-
vendredi 2 décembre 2022, par Gewa Thoquet
Il y a environ 150 ans, pour être exacte le 16 décembre 1864, Nicolas Auguste Huchot, Maire de Saclas, petite commune de 735 habitants dans l’Essonne, à 10 km au Sud d’Etampes, écrivait une pétition aux Sénateurs pour demander que les actes de naissance soient plus explicites pour faciliter les recherches de parenté dans le futur. Même sans être à la recherche de récupérer un héritage, les généalogistes que nous sommes ont tiré un grand profit des actes de l’état civil plus détaillés.
-
vendredi 2 décembre 2022, par Bruno Queyerats
Je reprends ma généalogie à la révolution avec comme sujet d’étude un ancêtre Honoré QUEYRATS « père », capitaine au 5e bataillon de cavalerie de la Haute Garonne. Je n’ai rien trouvé sur cet ancêtre Honoré QUEYRATS, ni sur son épouse Marie Anne BERDOT. Il a dû être promu capitaine au 5e bataillon de cavalerie de la Haute Garonne, certainement à la création le 16 mars 1792.
-
Première divagation : Maman Cocard
vendredi 25 novembre 2022, par Michel Baumgarth
Mon énième réveil intempestif d’une de mes banales nuits de dys-somniaque me laissa en tête à tête avec une vieille dame de mon enfance. Étonnamment, rien dans les péripéties de ma journée n’expliquait la réapparition nocturne de « Maman Cocard » dans ma mémoire, d’autant que notre dernière rencontre remontait au milieu des années cinquante et que je n’étais alors qu’un minot. À vrai dire cette résurgence ex nihilo était la bienvenue car elle me permit de meubler les pauses insomniaques qui encombrèrent encore ma fin de nuit : je pus ainsi rassembler tous mes souvenirs à son propos.
-
vendredi 25 novembre 2022, par Gérard Gouvernet
J’ai tenté de retrouver les recensements et les enregistrements de l’époque, mais rien en ligne... Déclaré décédé par ses 2 frères (?) le 28 octobre 1861 Louis Eugène DORIGNY se marie le 13 décembre 1862 devant le même officier d’état civil... avec le même nom, même date de naissance, mêmes parents...
-
vendredi 18 novembre 2022, par Christophe Canivet
Dans la série des actes un peu particuliers qu’on peut trouver dans les registres paroissiaux du Calvados, permettez-moi de vous présenter le Duc d’Harcourt, non pas le Gouverneur de Normandie, mais son filleul, le corsaire. Expéditions lointaines sous le soleil des îles, combats épiques, trésors fabuleux font la légende des corsaires... P’t-être ben qu’oui, p’t-être ben qu’non, comme on dit par chez moi... Laissez-moi vous conter les heurs et malheurs de M. DU MESNIL DE SAINT-PIERRE (1728-1776) et de son navire, autrement dit la vraie vie d’un navire corsaire.
-
vendredi 18 novembre 2022, par Jean-Paul Bénard
J’ai une question concernant l’outil ci joint en photo qui est en bois, de 60 cm de long et présentant une plaque de métal dentée sur 3cm. le morceau de ficelle servait à le suspendre dans le grenier où je l’ai trouvé entouré de pièces de rechange dont on devine leur utilité. Il peut s’agir d’un outil servant au conditionnement des sacs de farine ? grattoir pour nettoyer ? Tenu par une ou deux personnes ?
Haut de page
|
|