Dans cet article, je reviens sur une découverte étonnante réalisée grâce à la généalogie génétique : l’identification probable d’un héritage viking via une portion du chromosome 3, transmise par sa lignée maternelle. En s’appuyant sur des triangulations ADN, des correspondances islandaises et une recombinaison génétique, je réfute certains arguments selon lesquels il serait impossible de remonter à des ancêtres très anciens par l’ADN autosomal.






Chroniques familiales et aventures généalogiques
Une piste viking dans mon ADN
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