Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 31 mai.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
Diplômé en 1906 de l’École des Maîtres-Mineurs d’ Alès, Jules MITTARD a fait carrière comme Ingénieur des Mines dans l’administration coloniale en Indochine. En 1928, il passe dans le secteur privé et se lance dans des activités de prospection aurifère au Laos. En 1929, la famille MITTARD quitte le Tonkin pour venir s’installer en métropole, aux portes d’Alès, où Jules a acquis une demeure prestigieuse, le « Château » de La Jasse-de-Bernard. Hélas, les nuages s’amoncèlent sur la réussite presque « insolente » de Jules MITTARD...
Par tous les moyens les jeunes français essaient d’échapper au S.T.O. Trois solutions : se cacher, quitter le pays ou entrer dans la résistance. Barthélémy dit Mimi (le frère de ma femme) a trouvé une quatrième échappatoire : ses origines espagnoles. Né le 13 octobre 1922 - il a alors 20 ans et 4 mois - il fait valoir aux autorités allemandes sa nationalité espagnole en présentant de faux papiers (il est pourtant français depuis le 18 novembre 1936). Une nouvelle fois sauvé par nos origines. "Espagnol", sésame idéal envers les autorités allemandes
La nationalité de nos aïeux alsaciens-lorrains a joué au yoyo pendant trois quarts de siècle. Les registres de l’état-civil et les autres archives de cette période, outils de base de nos recherches généalogiques, portent les stigmates de ces vicissitudes...
En remontant dans le temps à la recherche des ascendants de Roselyne LEGENDRE, nos investigations nous ont transportés à la fin du 16e siècle, en haute Bretagne, dans le Pays Nantais ou plus exactement dans le pays d’Ancenis, à Maumusson, où naquit Jacques LEGENDRE, en 1582. Nous allons plutôt nous intéresser à l’un de ses descendants, Julien LEGENDRE (1763-1828) qui, lui, est né à Saint-Herblon, une paroisse voisine de celle de Maumusson. Il a vécu à une époque mouvementée allant de la monarchie absolue sous Louis XV et Louis XVI à la monarchie constitutionnelle de Charles X, en passant par la Révolution, le 1er Empire et le règne de Louis XVIII. Nous nous proposons donc de laisser Julien nous raconter sa vie. Mais auparavant situons exactement la paroisse de Saint-Herblon.
Comment Fernand Dijoux est devenu bagnard ? Une étude généalogique et quelques documents de sa correspondance permettent de retracer les grandes lignes de sa vie...
Une de mes amies dispose du récit d’un gendarme qui a transporté des forçats en Nouvelle Calédonie. Elle aurait voulu retrouver les descendants pour leur remettre cette missive. La lecture seule de ce document est fort intéressante. Qui pourrait m’aider à retrouver les descendants de ce gendarme ? Merci pour votre aide...
Résumé de l’épisode précédent : Georges HARDIN est un enfant abandonné à Paris dont on a retrouvé la famille à Bayonne. Ce n’est pas une famille ordinaire : la mère a épousé un escroc notoire, l’oncle est parti en Algérie et la tante Joséphine mérite un article pour elle toute seule. Joséphine est la troisième fille de François HARDIN et Jeanne HIRIGOYENi. Elle nait à Bayonne le 20 septembre 1862.
Quand une cousine de mon père a voulu me brancher sur le grand-père de son mari, je n’étais pas très optimiste. Georges HARDIN vivait dans l’Aube et était un enfant abandonné. Je ne voyais pas trop comment traiter la question jusqu’à ce que je trouve sa fiche matricule : Georges y était mentionné comme pupille des hospices de la Seine. Une piste ?
Il y a déjà près de cinquante ans je suis parti à Soller voir ma grand-mère Margarita Ballester pour les vacances de Pâques. C’est la dernière fois que je l’ai vue à Soller car elle est ensuite tombée aveugle et il a fallu la ramener en France chez mon père. Ne connaissant pas bien Soller et étant seul je marchais au hasard et je suis tombé sur une petite chapelle à la sortie de la ville. Je serais incapable de la retrouver aujourd’hui mais tous les gens de Soller la connaissent. Le mur de gauche si je me souviens bien est couvert d’ex-voto et je me suis mis à en lire quelques-uns par curiosité.
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