Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 20 novembre 2024.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
Passionnée de généalogie, mais aussi de psychogénéalogie, je me suis lancée le challenge de retracer la vie de leur naissance à leur mort des quelques Réunionnais recensés aux bagnes de Guyane et de Nouvelle-Calédonie. Un défi un peu osé, j’avoue, vu l’ampleur de la tâche, puisque tout sera rédigé à partir des éléments des dossiers individuels de chacun d’entre eux, des jugements des tribunaux et des articles de presse les concernant. Mais c’est aussi ma façon de mettre en lumière toutes ces histoires oubliées ou non dites dans les familles souvent éclatées et meurtries par les actes commis par ces hommes. Des histoires à la fois émouvantes, mais aussi sordides. Certains protagonistes ont un lien avec mon arbre, d’autres pas. Je vous invite avec moi dans cette folle aventure. Voici le premier récit d’une longue série.
A la suite de la découverte chez une cousine d’un petit carnet de compagnon plâtrier avec une couverture en cuir noir, sur lequel il est inscrit : « Union de Bienfaisance – Lavier », j’ai voulu en savoir plus sur Anthime Lavier (un des mes arrière-arrière grand-père) à qui appartenait ce petit carnet. Nul doute que ce texte va intéresser vos lecteurs, mais pour ma part j’ai pris beaucoup de plaisir dans les recherches et la rédaction de cet article.
Voici la biographie du plus remuant de mes ancêtres. Auguste Robert GECHTER nait à Paris le 13 thermidor an VIII (1er août 1800) au 101 rue de Vaugirard tout près de la Barrière de Vaugirard. Il est baptisé le lendemain à l’oratoire Saint-Côme, rue du Battoir.
Ayant entrepris des recherches sur la généalogie d’un oncle par alliance, j’ai trouvé sans problème la trace de son grand-père paternel Louis Marie Durand puis bien d’autres informations notamment grâce à l’aides des bénévoles... Un article qui nous montre qu’en généalogie il ne faut jamais se décourager et creuser toutes les pistes.
Venue d’Angleterre, la mode du voyage de noces se répand en France à partir des années 1830 dans la bourgeoisie aisée. Ce sujet est un angle mort de la recherche historique. La raison en est simple : par définition privés, les récits qui en relatent étapes et impressions échappent à l’historien. Il y a certes des exemples à puiser dans la littérature et dans la presse. Mais leur prisme est déformant et surtout ils ne sont pas si nombreux au milieu du XIXe siècle. C’est pourquoi les « Souvenirs de deux mois de voyage » d’Henri et de Jenny Pélé sont d’un intérêt exceptionnel2. D’une belle écriture, ce marchand de vin en gros de Courville-sur-Eure3 a couché sur un album le menu des journées passées du 31 mai au 26 juillet 1853 avec sa jeune épouse.
4 mariages, 21 enfants. Sous l’ancien régime, l’air était vivifiant aux abords de la cathédrale de Quimper.
Ce qui est rapporté ci-dessous concerne principalement mon arrière-grand-père, enfant trouvé. Il y avait, à mon humble avis, deux façons d’aborder cette étude, en rappelant qu’au début des recherches, internet n’était pas en encore répandu : ce qui d’ailleurs en faisait le sel ! et l’intérêt. Découvertes de régions, etc.
Il nous est probablement arrivé à tous, devant une vieille demeure ou en la visitant, de nous dire : « Si les murs avaient des yeux et des oreilles, ils pourraient nous en raconter des choses... ». Nous allons donc imaginer les murs du moulin de Pothières, en Côte d’or, dotés de la vue, de l’ouïe et de la parole. Découvrons donc ce que ce moulin pourrait nous raconter sur son histoire.
la généalogie, peut consister pour certains à bâtir simplement une pyramide de noms, dont la pointe est posée sur sa tête, et que l’on remplit de dates, de noms de lieux et de métiers. Il faut juste veiller à ce que cette dernière ne s’enfle pas sous le poids que l’on voudrait donner aux personnages dits "importants" éventuellement rencontrés.
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