Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 20 novembre.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
Lors de mes recherches sur les collatéraux de mon arbre, j’ai pu trouver quatre Frères venant des Ecoles Chrétiennes dans ma famille aussi bien paternelle que maternelle. C’est pourquoi, je m’y suis intéressée de plus près en contactant les Archives Lassaliennes afin d’y obtenir plus de précisions les concernant.
Après des milliers d’heures passées en compagnie de mes ancêtres, ils font tellement partie de moi-même qu’une question saugrenue me taraude l’esprit : quelle part de chacun d’eux survit encore en moi ? En d’autres termes, que reste-t-il de leurs gènes dans mon propre génome ? Je vous propose de faire le point sur ce thème.
Nous sommes dans les Pyrénées-Atlantiques, qui étaient encore Basses à cette époque. Joseph BARBE, châtreur de son métier, a eu 13 enfants de ses deux mariages : Bernard et Marie de Marie Anne BUSTANOBY, épousée en 1807, et Pierre, Marie-Anne, Jean-Pierre, Gracieuse ou Engrâce, André, Jean-Pierre, Marie Caroline, Philippe, Thérèse, Eléonore et Baptiste, de sa deuxième femme, Marie FITERE-IRIGOYEN, épousée en 1833, alors qu’il avait 47 ans et elle 23.
Ma grand-mère maternelle, Marie-Louise Doutard (1887-1952), a été la dernière représentante de l‘une des deux branches « Catalanes » de mon arbre. Ses grands-parents à elle, des Margail et des Delonca, ont vécu à Ille sur Têt et à Canet en Roussillon où de nombreuses familles portent aujourd’hui encore ces patronymes. C’est dans les archives de la mairie d’Ille, en fouillant méticuleusement, que j’ai découvert la retranscription de l’acte de décès en 1818 d’un Étienne Delonca, bouvier à Thuyr et mort à Montpellier à l’âge de 45 ans. Qu’était-il allé faire aussi loin de chez lui à l’époque où les paysans de son espèce ne se déplaçaient qu’à pied ?
La première image qui me vient à l’esprit est celle d’une vieille dame, forte, habillée de noir. Mademoiselle Berthe est assise derrière le comptoir de sa boutique, je ne vois que sa tête et le haut de son buste. Autour d’elle tout est un peu sombre, dans des tons fanés. Ce que je décris semblerait bien triste, peu attirant, mais pour moi qui étais très jeune, c’était le contraire. Car, dans le Calvados, plus précisément à Douvres-la-Délivrande, la boutique de mademoiselle Berthe, c’était à mes yeux la caverne d’Ali Baba. Le comptoir et sa caisse étaient me semble t-il près de la porte d’entrée de la boutique, dans un angle du magasin, jouxtant une vitrine sur un des petits côtés du local.
Si la mention « dévoré » ou « mangé par la bête » ou « par le loup » est souvent utilisée par les curés dans les registres paroissiaux à l’occasion de l’inhumation des restes de cadavres humains, il est parfois délicat d’interprêter ces écrits. Une grande variété de termes désignent en effet les bêtes responsables des décès constatés par les curés. On parle certes souvent de « loups » mais aussi de toutes sortes de « bêtes » qu’il serait hasardeux de classer sans plus de précautions dans la catégorie « loup ».
En juillet 1818, les tragiques épisodes de la "bête féroce" du Gévaudan des années 1764 à 1767 sont encore dans la mémoire des populations d’une vaste zone géographique qui s’étendait alors de l’actuel département de la Lozère au canton de Saugues en Haute-Loire. Certes, la situation n’est plus la même, puisque cette fois il ne s’agit pas de traquer une "bête féroce", mais de rappeler les primes accordées aux chasseurs de loups. L’information est alors publiée dans le Journal de la Haute-Loire le 8 juillet 1818.
Amies lectrices, amis lecteurs pour poursuivre la découverte du calendrier agro-liturgique que vous propose L’Almanach Paysan , je vous propose de recenser autour de vous, dans votre espace géographique proche, la survivance des rites du paganisme et des superstitions anciennes. Vous verrez que l’expression de « l’étrange » et du « merveilleux » est encore bien présente dans votre environnement local. Pour ma part, lorsque je me suis installé dans le Roannais, en provenance du Velay, du Forez et du Lyonnais proches, j’ai été extrêmement surpris de constater que beaucoup de familles avaient régulièrement recours à des rites de conjuration pour soulager des pathologies diverses... y compris au sein du milieu hospitalier où elles bénéficiaient de l’autorisation bienveillante du personnel médical.
René CHAMPIN est né le 25 février 1920 à Thiers (63) demeure à Villiers-sous-Grez (77) depuis 1926. Il est recensé militaire à Melun matricule 1940 - 3306 (inaccessible pour l’instant). Il est dans l’Aviation. Est-ce un hasard ou un coup de piston ? son oncle Paul GAUTHIER frère de sa mère (1897-1944) s’est engagé 2e groupe d’aviation en 1915, brevet de pilote 1917, base aérienne d’Istres 1936, contrôleur chez Gnome et Rhône (SNECMA) jusqu’en 1940 et Édouard DEROIN (1897-1938) aussi son oncle mari de sa marraine Raymonde s’est engagé 1er groupe d’aviation 1915, 1er groupe d’aérostation, 401e et 403e R DCA.
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