Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 28 janvier.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
Certains prétendent que nos ancêtres voyageaient peu, et restaient le plus souvent confinés dans les limites étroites du village qui les avait vu naître. Pourtant, de nombreux exemples montrent des émigrations alsaciennes vers la Guyane (Cayenne), dès le XVIIIe siècle, vers le Banat (région historique du sud-est de l’Europe, recouvrant l’actuelle Roumanie occidentale, la partie nord-est de la Serbie et la Hongrie méridionale), et vers l’Amérique, à partir du milieu du XIXe siècle. Voici l’histoire de Madeleine MULLER, dont les déplacements sont dignes d’intérêt.
L’incroyable épopée des routes de France au siècle des lumières fut ainsi le véritable chamboule-tout de la société du 18e siècle, générant des conséquences majeures dans la vie de tout un chacun, au niveau familial, communal, régional et a même bouleversé notre histoire nationale.
Ouistreham, le 6 juin, vers 9h30. Posté à la l’étage d’une villa, Émile Renault observe par une lucarne le casino situé à 100 mètres de là. Transformé en forteresse par les Allemands, ses canons et mitrailleuses tirent sur les Anglais débarquant des barges. Avec son fusil à lunette, Émile a fait feu sur les défenses ennemies. Repéré par des tireurs, une volée de balles claque sur les murs de la maison où il se trouve puis une forte détonation se fait entendre : un canon vient de tirer. Presque aussitôt, Émile ressent un énorme choc qui le projette sur le sol où il reste allongé. Hagard, il ne comprend pas ce qu’il lui est arrivé...
Autrefois, les ouvriers agricoles se répartissaient entre journaliers, qui louaient leur force de travail à la journée ou à la tâche, et domestiques, qui se louaient à l’année, de date à date.
Est-il des morts par noyades glorieuses ? Sans doute pas ! Mais il en est sans doute de plus pathétiques, celles où on est tout bêtement, tout simplement, tombé à la baille depuis la rive. En voici quelques exemples tirés des registres d’état-civil et, surtout, de la presse régionale. Elles nous donnent un prétexte pour toucher du doigt une vie proche du fleuve dont il est très peu souvent parlé. Ces activités ne sont pas purement fluviales, mais le fleuve est indispensable – avant le tout-à-l’égout et l’eau courante - à ces gestes quotidiens qui permettent encore de qualifier de ripuaires les habitants de la vallée.
A Saint Gaultier, la Résistance s’organise progressivement. Dès fin 1940, dans le sillage du parti communiste français, des groupes de maquisards se constituent dans l’Indre et le Cher. Avec ses camarades français, Pierre Canals est un membre actif du maquis du Bas Berry. A l’écoute de Radio Londres ils reçoivent des ordres d’actions et communiquent des renseignements, pratiquent des sabotages.
Passionnée de généalogie, mais aussi de psychogénéalogie, je me suis lancée le challenge de retracer la vie de leur naissance à leur mort des quelques Réunionnais recensés aux bagnes de Guyane et de Nouvelle-Calédonie. Un défi un peu osé, j’avoue, vu l’ampleur de la tâche, puisque tout sera rédigé à partir des éléments des dossiers individuels de chacun d’entre eux, des jugements des tribunaux et des articles de presse les concernant. Mais c’est aussi ma façon de mettre en lumière toutes ces histoires oubliées ou non dites dans les familles souvent éclatées et meurtries par les actes commis par ces hommes. Des histoires à la fois émouvantes, mais aussi sordides. Certains protagonistes ont un lien avec mon arbre, d’autres pas. Je vous invite avec moi dans cette folle aventure. Voici le premier récit d’une longue série.
A la suite de la découverte chez une cousine d’un petit carnet de compagnon plâtrier avec une couverture en cuir noir, sur lequel il est inscrit : « Union de Bienfaisance – Lavier », j’ai voulu en savoir plus sur Anthime Lavier (un des mes arrière-arrière grand-père) à qui appartenait ce petit carnet. Nul doute que ce texte va intéresser vos lecteurs, mais pour ma part j’ai pris beaucoup de plaisir dans les recherches et la rédaction de cet article.
Voici la biographie du plus remuant de mes ancêtres. Auguste Robert GECHTER nait à Paris le 13 thermidor an VIII (1er août 1800) au 101 rue de Vaugirard tout près de la Barrière de Vaugirard. Il est baptisé le lendemain à l’oratoire Saint-Côme, rue du Battoir.
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