Cet article du « Progrès du Midi » du 29 avril 1886 m’a bien intrigué et suscité de nombreuses questions. « Un terrible accident est arrivé hier, près de St Prim ». Saint Prim est un « village situé à 12 kilomètres de Vienne, en Isère. »
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Histoire du ViennoisDernier ajout : le 15 août.
Un grave accident de voiture… en 1886 !
Cet article du « Progrès du Midi » du 29 avril 1886 m’a bien intrigué et suscité de nombreuses questions. « Un terrible accident est arrivé hier, près de St Prim ». Saint Prim est un « village situé à 12 kilomètres de Vienne, en Isère. »
A la recherche de Sanctus Pellini, peintre italien décorateur d’église 2/2
Dans mon précédent épisode, j’ai évoqué ces artisans peintres italiens venus entre 1830 et 1840 rénover et décorer l’église des Roches de Condrieu. Le "maitre d’œuvre" est parti sans régler ses fournisseurs et ses ouvriers. D’où la plainte de l’un d’eux auprès du conseil de fabrique (les "gérants" de la paroisse). Dans l’épisode d’aujourd’hui, j’explique ma démarche pour retrouver le parcours de ce Sanctus Pellini, "peintre décorateur d’église". Au départ, je ne savais rien de lui. Aujourd’hui, j’en sais beaucoup, grâce notamment à la presse ancienne qui m’a ouvert de belles pistes, confortées par l’état civil en ligne. Mais il reste bien des zones d’ombre à explorer. Italien né en Lombardie, Sanctus arrive en France vers 1820 et bouge souvent pour la décoration d’églises en Dauphiné, en Bresse et en Bugey.
A la recherche de Sanctus Pellini, peintre italien décorateur d’église 1/2
Le 1er août 1840, "le conseil de fabrique" de la paroisse des Roches de Condrieu se réunit de façon extraordinaire : le Président explique qu’il est saisi d’une demande du "Sieur Martel Etienne, maître maçon qui s’était chargé de plusieurs travaux que devait faire à l’église le Sieur Sanctus Pellini" comme le précisait la convention du 12 octobre 1836. Mais Etienne Martel "n’ayant point reçu le prix convenu avec Sanctus, la fabrique devait payer la dette à défaut de Sanctus qui avait disparu sans payer les ouvriers et les fournisseurs dont il s’était servi." Lançons nous à la recherche de ce "peintre décorateur d’église" d’origine italienne !
L’abbé Simon Lominy, aumônier des mendiants
Dans l’enclos de la famille Faure, au cimetière de Saint Clair du Rhône, une modeste croix m’a intrigué. « Ici repose l’abbé Simon Lominy décédé à Saint Clair le 10 mai 1899 à l’âge de 78 ans ». Qui était ce prêtre et pourquoi est-il inhumé avec la famille Faure ?
La vérité sur l’accident de Mlle B.
Dominique, une de mes correspondantes, m’écrit récemment : "Je viens de lire ton article sur l’institutrice brulée. J’ai retrouvé des lettres de juillet 1903 où on parle de cet accident, je te les envoie. C’est du vécu et c’est ce qui s’est réellement passé... si tu veux t’en servir pour faire une suite à ton histoire, il y a pas de problème."
De (mauvaises) nouvelles de Mlle B.
En 1903, Mlle B, "institutrice libre" à Saint Clair du Rhône, est victime d’un grave accident. Il y a plus de six ans, je vous en racontais les circonstances...Aujourd’hui, je vous apporte de bien mauvaises nouvelles de Mlle B...dont certaines "à prendre avec des pincettes" !
Nos ancêtres artisans travaillent à la fois pour des commandes privées, publiques ou religieuses pour lesquelles ils sont payés à la tâche. Pourtant, dans les documents d’archives, ils apparaissent rarement dans l’exercice de leurs fonctions. En effet, il est exceptionnel qu’ils passent un marché par écrit ou qu’ils tiennent une comptabilité de leurs affaires… et plus exceptionnel encore que ces documents parviennent jusqu’à nous.
Avant même la parution du 1er épisode, mon ami Franck me signale l’acte de décès de 1803 et l’identité retrouvée de A.B. Une suite devient donc prévisible. Puis, très vite après sa publication, Corinne retrouve le long "procès verbal" dans les registres de Reventin. Depuis, j’ai étudié attentivement ces deux riches documents et entrepris des recherches complémentaires tout azimut. Je vous livre aujourd’hui le récit des dernières semaines d’un coeur brisé.
Nous sommes fin 1802.
Ce jeune homme a choisi de mourir pour rejoindre celle qu’il aimait.
Il a tenu à effacer toute trace de son identité....sauf deux initiales : A.B.
Qui pourra l’identifier ?
En 1896, Louis Peillon est « cafetier » au village. Agé de 58 ans, il est marié à Marie Anne Talencier et ont deux enfants : Marie, 28 ans, « brodeuse » (sur tulles) ; et Michel 19 ans, « journalier »...
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