Romaldo Camino et Edmond Durandeau, deux poilus hendayais, ont payé un lourd tribut à leur participation à la Grande Guerre, loin de leur terre natale, il y a plus de 100 ans.
Rappeler leur destin permet de comprendre ce qu’ils ont vécu et enduré.
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Accueil > Articles > La vie militaire > « Nos Poilus »
Dernier ajout : le 1er mars.
Romaldo Camino et Edmond Durandeau, deux poilus hendayais, ont payé un lourd tribut à leur participation à la Grande Guerre, loin de leur terre natale, il y a plus de 100 ans.
Rappeler leur destin permet de comprendre ce qu’ils ont vécu et enduré.
Un article sur le général André Boris, dont la carrière est faite de loyauté comme en témoignage les souvenirs et les décorations que nous portons à la connaissance des généalogistes dont certains de leurs ancêtres ont vécu les deux guerres. Nous avons retracé le parcours du général Boris, en exploitant les archives familiales, dont certaines sont déposées au Service historique de la Défense à Vincennes, afin qu’il entre comme tant d’autres, encore inconnus, dans « l’ère de la commémoration » pour reprendre l’expression de l’historien Pierre Nora.
Il pleut ce mercredi 10 Février 1915 à Proven en Belgique. La porte de la cave de la ferme ou il est retenu prisonnier depuis la veille et sa condamnation à Mort, pour Désertion face à l’ennemi, s’ouvre. Yves GAONACH remarque de suite, la troupe alignée, le poteau dressé, au bout du champs et le peloton d’exécution déjà en place.
Grâce au site Mémoire des Hommes nous pouvons connaître les parcours des différents acteurs de la Grande Guerre. Certains sont moins glorieux que d’autres.
C’est le cas de Julio Roman SEDANO Y LEGUIZANO, dont nous avions rapidement mentionné le nom dans l’article sur DONSIMONI en 2013. Voici donc l’histoire de ce personnage. Son dossier figure dans la rubrique des Fusillés...
Nadège Béraud Kauffmann, généalogiste professionnelle, nous propose de découvrir un sujet peu traité : à travers le parcours de son grand-père maternel, elle évoque la condition et la situation des orphelins de la guerre de 14 et des pupilles de la nation.
En cette année 2014, alors que la France commémore le centenaire du début de la Guerre 1914-1918, les souvenirs familiaux ressortent des greniers et des placards pour témoigner sur ce conflit meurtrier et ainsi honorer ceux qui ont donné leur sang pour leur pays. Dans ma famille, mes deux aïeux ayant participé à cette Grande-Guerre, je possède des documents et objets leur ayant appartenu. Je n’en parlerai pas aujourd’hui mais par contre, un carnet de campagne de 1914 trouvé dans le grenier de notre maison familiale a suscité toute mon attention et m’a donné envie d’en savoir un peu plus sur son auteur, sur sa guerre, et ainsi le partager.
Que sait-on vraiment de cet aspect de la grande guerre 14/18 ? Nos livres d’Histoire rapportent-ils ces « passages par les armes » que ces pauvres poilus, n’ayant plus voulu combattre (car s’étant révoltés contre leur hiérarchie), ont payé de leur vie, sous la fusillade de leurs propres camarades, bien obligés d’obéir aux ordres, cette rébellion justifiée !
Lorsque j’étais au collège, j’ai eu un exposé à rédiger sur la Guerre de 1914-1918 à partir de témoignages de personnes ayant connu cette période. C’était en 1966, j’avais alors interrogé ma grand-mère qui avait eu 19 ans en 1914. Elle ne s’était jamais remise de la perte de son unique jeune frère, suivie du décès de ses parents. Les notes qui suivent ont été quasiment prises sous sa dictée.
Il était sursitaire. Il faisait sa préparation militaire pour avoir la possibilité, à l’issue de son sursis, de choisir sa garnison. Il aurait opté pour Montauban, où il pourrait facilement avoir une chambre à la faculté de théologie protestante. « Les événements devaient bousculer ces judicieux projets. » conclut-il sobrement, plus de cinquante ans après, en rédigeant ses mémoires. Cent ans plus tard, ce sont ses lettres de guerre que je transcris...
Un de mes cousins en quête de souvenirs familiaux auprès d’une parente, s’est vu proposer une photographie, plus exactement une carte postale. Date et lieu d’expédition sont donnés : Ferrières 27 juin 1915. La rédaction permet d’identifier l’auteur sans hésitation : Maria Morel, ma grand-mère maternelle.
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