Le possessif s’impose, vous êtes tous les miens. Et une sorte de tendresse nait en moi envers certains de mes ancêtres, comme toi, par-delà les siècles, et par-delà vos disparitions.
Accueil - Articles - Documents - Chroniques - Dossiers - Album photos - Testez vos connaissances - Serez-vous pendu ? - Entraide - Lire la Gazette - |
Accueil > Articles > Chroniques familiales et aventures généalogiques
Dernier ajout : le 28 février.
Le possessif s’impose, vous êtes tous les miens. Et une sorte de tendresse nait en moi envers certains de mes ancêtres, comme toi, par-delà les siècles, et par-delà vos disparitions.
La tragédie subie par ma grand-tante Estelle Marie m’était tombée dessus ex abrupto lors de mon premier contact avec Valérie, ma nouvelle cousine au 8e degré, dont j’avais découvert l’arbre sur Généanet : « … zone d’ombre concernant mon grand-père … son acte de mariage… il est mentionné dessus que Léon Lagoutte est « … pupille de l’Assistance Publique de la Seine … ». Pendant plus de deux ans, j’ai mené une longue enquête et je suis parvenu à reconstituer l’essentiel du canevas du drame...
Avant d’écrire ce livre – dont la réédition est présentée par la Revue Française de Généalogie d’octobre-novembre 2018 - j’ai d’abord reconstitué la généalogie d’Aubin, listé ses relations familiales et de voisinage. La connaissance de ses familiers était la garantie de sélectionner par la suite, les évènements et les affaires qu’il avait eu le plus de chance de connaître à leur contact. Les articles précédents évoquaient les disputes de voisinage, les violences conjugales et l’enfance d’Aubin marquée par les guerres napoléoniennes. Après les maîtresses de ferme, les domestiques et les journaliers, nous abordons dans une série de portraits, les notables du village. Evoquons aujourd’hui la figure du curé.
Avant d’écrire ce livre – dont la réédition est présentée par la Revue Française de Généalogie d’octobre-novembre 2018 - j’ai d’abord reconstitué la généalogie d’Aubin, listé ses relations familiales et de voisinage. La connaissance de ses familiers était la garantie de sélectionner par la suite, les évènements et les affaires qu’il avait eu le plus de chance de connaître à leur contact. Les articles précédents évoquaient les disputes de voisinage, les violences conjugales et l’enfance d’Aubin marquée par les guerres napoléoniennes. Après les maîtresses de ferme, il est question aujourd’hui des jeunes filles à leur service, les domestiques de ferme.
Avant d’écrire ce livre – dont la réédition est présentée par la Revue Française de Généalogie d’octobre-novembre 2018 - j’ai d’abord reconstitué la généalogie d’Aubin, listé ses relations familiales et de voisinage. La connaissance de ses familiers était la garantie de sélectionner par la suite, les évènements et les affaires qu’il avait eu le plus de chance de connaître à leur contact. Les articles précédents évoquaient les disputes de voisinage, les violences conjugales et l’enfance d’Aubin marquée par les guerres napoléoniennes. Après les maîtresses de ferme et les domestiques, il est question aujourd’hui des journaliers.
Avant d’écrire ce livre – dont la réédition est présentée par la Revue Française de Généalogie d’octobre-novembre 2018 - j’ai d’abord reconstitué la généalogie d’Aubin, listé ses relations familiales et de voisinage. La connaissance de ses familiers était la garantie de sélectionner par la suite, les évènements et les affaires qu’il avait eu le plus de chance de connaître à leur contact. Les articles précédents évoquaient les disputes de voisinage, les violences conjugales, l’enfance d’Aubin marquée par les guerres napoléoniennes et la séduction dans le milieu rural. Parlons aujourd’hui des femmes, maîtresses de ferme.
Les humbles ne font jamais l’objet de livres. Ils n’apparaissent que furtivement dans les ouvrages généraux à titre d’exemple. C’est pourquoi, à la suite d’Alain Corbin et de son sabotier Pinagot, j’ai voulu écrire sur un inconnu : l’arrière grand père de mon grand père, Aubin Denizet. Sa vie enjambe la première partie du XIXe siècle.
Les deux articles précédents évoquaient les disputes de voisinage et les violences conjugales mettant en valeur les archives judiciaires dont on ne dira jamais assez la richesse pour l’historien et le généalogiste. Le sujet de cette semaine montre cette fois les ressources des archives militaires dans l’évocation de la jeunesse d’Aubin, « paysan sans histoire ». Qu’a-t-il perçu de l’occupation prussienne de 1815.
Après les disputes sur le ratirage – le vol de terre – et les dégâts commis par les animaux évoqués la semaine passée, intéressons-nous aux débordements de la vie conjugale. Une fois encore, ce sera par le prisme d’Aubin, c’est-à-dire par ce que lui a pu en connaître. Avant d’écrire sur ce sujet j’ai d’abord reconstitué la généalogie d’Aubin, noté les noms des parrains, des marraines, des témoins aux inhumations et aux mariages de ses proches, listé ses relations de voisinage, ses connaissances du conseil municipal. J’ai ainsi dressé la carte de ses affinités. La connaissance de ses familiers était la garantie de sélectionner par la suite les évènements et les affaires qu’il avait eu le plus de chance de connaître à leur contact. En voici quatre qui concernent un marchand de porc, un officier de santé, un colporteur et un maître d’école.
Douzat est un village petit et discret qui, de mémoire d’hommes s’est toujours tenu à l’écart des vanités, ambitions et vicissitudes du monde. Il n’y a jamais eu ici que des générations de paysans menant sereinement ou résignés une vie simple, banale et difficile. Pourtant, dans ce charmant village sans Histoire et sans histoires, se déroula un événement tout à fait insolite, mais qui passa totalement inaperçu du reste du monde et probablement des douzatois eux-mêmes. Cet épisode hors du commun, nous l’avons déniché dans les archives de la commune, entre les lignes de l’état-civil de 1845.
https://www.histoire-genealogie.com
- Tous droits réservés © 2000-2024 histoire-genealogie -
RSS 2.0
| Plan du site
| Mentions légales
| Conditions Générales d'utilisation
| Logo
| Espace privé
| édité avec