En faisant des recherches pour mon livre « Le maître de Guengat », j’ai été effaré de constater l’emprise de l’alcool sur mes ancêtres bretons et leurs contemporains au XIXe siècle.
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Savoir, voir et entendre.
D’après le titre de la troisième partie de l’ouvrage de Pierre Goubert et Daniel Roche : Les Français et l’Ancien régime (Tome 2, Armand Colin, 1984).
Dernier ajout : le 28 février 2024.
En faisant des recherches pour mon livre « Le maître de Guengat », j’ai été effaré de constater l’emprise de l’alcool sur mes ancêtres bretons et leurs contemporains au XIXe siècle.
La publicité médicale était courante dans la presse au début du XXe siècle. En exploitant un numéro caractéristique du Nouvelliste du Morbihan, il est présenté les différentes publicités qui y étaient affichées.
Cette rubrique vous invite à découvrir ou revisiter la langue parlée par nos ancêtres, la langue de la maison, pour reprendre une expression d’Henriette Walter. Car, si aujourd’hui la langue française est omniprésente sur tout le territoire, jusque dans les villages et les petits « lieux-dits » les plus reculés, il fut un temps où le français n’était pas uniformément répandu dans le pays. Or ce temps n’est pas si ancien. Il suffit d’évoquer le souvenir de nos grands-parents ou arrière-grands-parents pour retrouver quelques bribes de patois et la magie de quelques belles expressions bien mystérieuses à nos oreilles.
Cette rubrique vous invite à découvrir ou revisiter la langue parlée par nos ancêtres, la langue de la maison, pour reprendre une expression d’Henriette Walter. Car, si aujourd’hui la langue française est omniprésente sur tout le territoire, jusque dans les villages et les petits « lieux-dits » les plus reculés, il fut un temps où le français n’était pas uniformément répandu dans le pays. Or ce temps n’est pas si ancien. Il suffit d’évoquer le souvenir de nos grands-parents ou arrière-grands-parents pour retrouver quelques bribes de patois et la magie de quelques belles expressions bien mystérieuses à nos oreilles.
Cette rubrique vous invite à découvrir ou revisiter la langue parlée par nos ancêtres, la langue de la maison, pour reprendre une expression d’Henriette Walter. Car, si aujourd’hui la langue française est omniprésente sur tout le territoire, jusque dans les villages et les petits « lieux-dits » les plus reculés, il fut un temps où le français n’était pas uniformément répandu dans le pays. Or ce temps n’est pas si ancien. Il suffit d’évoquer le souvenir de nos grands-parents ou arrière-grands-parents pour retrouver quelques bribes de patois et la magie de quelques belles expressions bien mystérieuses à nos oreilles.
Approcher le quotidien de nos ancêtres est difficile. Comment saisir les moments simples de leur journée, entendre les paroles qu’ils ont prononcées ou encore connaître les personnes qu’ils ont rencontrées ? A ce sujet, les archives de justice sont une mine d’or, notamment les interrogatoires contenus dans les dossiers de cour d’assises. Mais il y a aussi des affaires plus ordinaires jugées au civil et qui donnent lieu à des enquêtes qui, en creux, révèlent les habitudes d’une vie tranquille de village. C’est le cas d’un extraordinaire témoignage sur la banalité des derniers jours de la veuve Galicier, une vieille femme de Viabon, un village situé entre Chartres et Orléans, un dossier retrouvé dans la série U des archives de l’Eure et Loir. A l’appui de cette source de justice, j’ai utilisé également les archives de notaires. De quoi s’agit-il ?
Cette rubrique vous invite à découvrir ou revisiter la langue parlée par nos ancêtres, la langue de la maison, pour reprendre une expression d’Henriette Walter. Car, si aujourd’hui la langue française est omniprésente sur tout le territoire, jusque dans les villages et les petits « lieux-dits » les plus reculés, il fut un temps où le français n’était pas uniformément répandu dans le pays. Or ce temps n’est pas si ancien. Il suffit d’évoquer le souvenir de nos grands-parents ou arrière-grands-parents pour retrouver quelques bribes de patois et la magie de quelques belles expressions bien mystérieuses à nos oreilles.
Voici une rubrique qui vous invite à découvrir ou revisiter la langue parlée par nos ancêtres, la langue de la maison, pour reprendre une expression d’Henriette Walter. Car, si aujourd’hui la langue française est omniprésente sur tout le territoire, jusque dans les villages et les petits « lieux-dits » les plus reculés, il fut un temps où le français n’était pas uniformément répandu dans le pays. Or ce temps n’est pas si ancien. Il suffit d’évoquer le souvenir de nos grands-parents ou arrière-grands-parents pour retrouver quelques bribes de patois et la magie de quelques belles expressions bien mystérieuses à nos oreilles.
C’est sous l’impulsion de l’abbé Edouard Paradis (1881-1915) que naît l’œuvre des Saines Vacances Lyonnaises ou Caravane scolaire. Chaque année un groupe de jeunes Lyonnais partait ainsi à l’aventure sur les sentiers de montagne. Avec d’autres enfants, mon père a fait cette expérience extraordinaire qui a donné un sens à sa vie.
Je ne vais pas raconter l’histoire d’une marionnette bicentenaire mais celle d’un petit théâtre Guignol de quartier en 1924, intimement mêlée à celle de mon père qui lui a prêté sa voix pour la joie des gamins du patronage.
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