Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 20 novembre.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
Ce qui est rapporté ci-dessous concerne principalement mon arrière-grand-père, enfant trouvé. Il y avait, à mon humble avis, deux façons d’aborder cette étude, en rappelant qu’au début des recherches, internet n’était pas en encore répandu : ce qui d’ailleurs en faisait le sel ! et l’intérêt. Découvertes de régions, etc.
Il nous est probablement arrivé à tous, devant une vieille demeure ou en la visitant, de nous dire : « Si les murs avaient des yeux et des oreilles, ils pourraient nous en raconter des choses... ». Nous allons donc imaginer les murs du moulin de Pothières, en Côte d’or, dotés de la vue, de l’ouïe et de la parole. Découvrons donc ce que ce moulin pourrait nous raconter sur son histoire.
la généalogie, peut consister pour certains à bâtir simplement une pyramide de noms, dont la pointe est posée sur sa tête, et que l’on remplit de dates, de noms de lieux et de métiers. Il faut juste veiller à ce que cette dernière ne s’enfle pas sous le poids que l’on voudrait donner aux personnages dits "importants" éventuellement rencontrés.
Lors de mes recherches sur les collatéraux de mon arbre, j’ai pu trouver quatre Frères venant des Ecoles Chrétiennes dans ma famille aussi bien paternelle que maternelle. C’est pourquoi, je m’y suis intéressée de plus près en contactant les Archives Lassaliennes afin d’y obtenir plus de précisions les concernant.
Après des milliers d’heures passées en compagnie de mes ancêtres, ils font tellement partie de moi-même qu’une question saugrenue me taraude l’esprit : quelle part de chacun d’eux survit encore en moi ? En d’autres termes, que reste-t-il de leurs gènes dans mon propre génome ? Je vous propose de faire le point sur ce thème.
Nous sommes dans les Pyrénées-Atlantiques, qui étaient encore Basses à cette époque. Joseph BARBE, châtreur de son métier, a eu 13 enfants de ses deux mariages : Bernard et Marie de Marie Anne BUSTANOBY, épousée en 1807, et Pierre, Marie-Anne, Jean-Pierre, Gracieuse ou Engrâce, André, Jean-Pierre, Marie Caroline, Philippe, Thérèse, Eléonore et Baptiste, de sa deuxième femme, Marie FITERE-IRIGOYEN, épousée en 1833, alors qu’il avait 47 ans et elle 23.
Ma grand-mère maternelle, Marie-Louise Doutard (1887-1952), a été la dernière représentante de l‘une des deux branches « Catalanes » de mon arbre. Ses grands-parents à elle, des Margail et des Delonca, ont vécu à Ille sur Têt et à Canet en Roussillon où de nombreuses familles portent aujourd’hui encore ces patronymes. C’est dans les archives de la mairie d’Ille, en fouillant méticuleusement, que j’ai découvert la retranscription de l’acte de décès en 1818 d’un Étienne Delonca, bouvier à Thuyr et mort à Montpellier à l’âge de 45 ans. Qu’était-il allé faire aussi loin de chez lui à l’époque où les paysans de son espèce ne se déplaçaient qu’à pied ?
La première image qui me vient à l’esprit est celle d’une vieille dame, forte, habillée de noir. Mademoiselle Berthe est assise derrière le comptoir de sa boutique, je ne vois que sa tête et le haut de son buste. Autour d’elle tout est un peu sombre, dans des tons fanés. Ce que je décris semblerait bien triste, peu attirant, mais pour moi qui étais très jeune, c’était le contraire. Car, dans le Calvados, plus précisément à Douvres-la-Délivrande, la boutique de mademoiselle Berthe, c’était à mes yeux la caverne d’Ali Baba. Le comptoir et sa caisse étaient me semble t-il près de la porte d’entrée de la boutique, dans un angle du magasin, jouxtant une vitrine sur un des petits côtés du local.
Si la mention « dévoré » ou « mangé par la bête » ou « par le loup » est souvent utilisée par les curés dans les registres paroissiaux à l’occasion de l’inhumation des restes de cadavres humains, il est parfois délicat d’interprêter ces écrits. Une grande variété de termes désignent en effet les bêtes responsables des décès constatés par les curés. On parle certes souvent de « loups » mais aussi de toutes sortes de « bêtes » qu’il serait hasardeux de classer sans plus de précautions dans la catégorie « loup ».
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