Si certains métiers ou professions anciennes existent encore, certains ont disparu au fil du temps. Passons-en trois en revue au travers de quelques personnages.
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Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 7 avril.
Si certains métiers ou professions anciennes existent encore, certains ont disparu au fil du temps. Passons-en trois en revue au travers de quelques personnages.
Traditionnellement réservées aux périodes de vacances et de réjouissances familiales, les maisons de famille ont souvent joué un rôle de révélateurs des forces et vulnérabilités familiales. Elles ont offert en outre dans les années de la pandémie 2020, un refuge à des familles citadines. Ce nouveau contexte a ainsi confirmé et renforcé le fondement généalogique de ce type de demeures en rapprochant des générations et en ravivant ou renouvelant des relations d’habitude épisodiques ; pour autant cette promiscuité subie a aussi pu révéler, réveiller ou exacerber des tensions ou des conflits latents. L’avenir nous dira ce qui en résultera pour les maisons de famille dont le déclin et le retour ont été tour à tour augurés.
Les édiles de Ferrières-sur-Sichon ont le souci de marquer leur reconnaissance à l’égard de quelques concitoyens particulièrement méritants. A cet effet, le site internet officiel de la commune propose la rubrique « Ces Farrérauds mémorables ». L’abbé Louis Perraud, est le premier cité. Curé de la paroisse de 1886 à 1918, c’est aussi un érudit, passionné d’histoire et de généalogie.
À la recherche de mes ancêtres, j’ai été confrontée à une situation bien surprenante dont les acteurs principaux sont Gilles VANDÉ et Mathurine GANDRIAU, qui devenue veuve, a épousé Jean OGIER en secondes noces.
Au tout début il y a une histoire d’amour au XVIIIe siècle, celui de Julie et Saint-Preux, du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut. Trouver les documents qui la racontent. Découvrir sa fin amère et déconcertante. Penser que les obstacles qu’on lui a opposés en sont la cause. Découvrir que cette histoire intéresse parce que représentative des bouleversements que connaissent alors la famille et les individus qui la composent des dernières années de l’Ancien Régime à l’Empire.
Il y a quelques années mon mari et moi-même avons participé à une « cousinade » organisée en Normandie par la famille de ma belle-mère, dont le nom de jeune fille est COLOMBEL. Nous avons alors entrepris de nous plonger à notre tour dans cette généalogie Colombel en remontant le fil patrilinéaire à partir des recherches déjà effectuées. Après plusieurs années de travail et de décryptage paléographique des documents anciens conservés aux Archives Départementales et Municipales, nous fûmes confrontés à une histoire intrigante : après avoir retrouvé la trace de plusieurs générations d’aïeux paysans ne sachant pas écrire, ne laissant comme seule trace sur les actes qu’une croix au tracé mal assuré, nous avons découvert un ancêtre nommé Noël, visiblement éduqué, utilisant une signature élaborée. On aurait pu penser qu’il appartenait à une famille aisée mais il laissa pourtant derrière lui une descendance analphabète et pauvre. Voici ce que nous avons réussi à savoir de son histoire.
Récit de la vie ordinaire d’un laboureur de Bourgogne du nord, au 18e siècle. En parcourant la branche bourguignonne de notre généalogie, nous nous sommes intéressés au parcours d’André GAUTHEROT, laboureur à Bellenot, petit village de Bourgogne du nord. Sa vie est un témoignage d’une période charnière de notre histoire car il a vécu sous l’ancien régime, connu la révolution et le début de l’Empire. Laissons-lui le soin de nous la raconter.
Je devais m’y attendre : dans ma quête de « cousins » bourbonnais égarés au bagne de Brest, au motif de la pratique du faux-saunage, j’allais rencontrer à leurs côtés, quelques « clients » peu fréquentables... a priori.
Tôt ce matin d’août, il s’est muché dans la haie qui borde l’enclos bucolique. La jalousie, la rancune qu’il nourrit à l’égard de son beau-frère se sont transformées en haine inexpiable. Le tremblement d’impatience et de colère qui l’agitait tombe soudain. Il le voit, il arrive le bougre ! Son fusil a été soigneusement chargé et armé. Lentement il épaule, vise et tire... juste.
Voici un article sur mon arrière-grand-père Antonin Chancel qui a joué un rôle modeste mais intéressant dans le contexte de la guerre franco-prussienne et celui de la Commune de Paris, il y a exactement 150 ans. Peut-être que des lecteurs y verront la photographie de l’un de leurs ancêtres, camarades d’Antonin Chancel...
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