L’expérience de la mer

Le 12 mars 1907, l’Iéna est dans le bassin Missiessy à Toulon, les travaux de visite de la mèche du gouvernail et de carénage du bâtiment sont presque terminés. Tout paraît normal dans la vie du bâtiment.

La Compagnie perpétuelle des Indes, plus généralement appelée Compagnie des Indes, dont le capital était constitué à la fois de fonds étatiques et de capitaux privés, avait mis en place une direction représentant ces deux caractères. Dans ce texte, il est décrit l’organisation de la direction générale et son fonctionnement.

Depuis des centaines d’années, dans les îles du Pacifique, les naturels pratiquent un sport "à la page" : le surf.
Relation d’un navigateur du 18^e siècle.

L’article présente les différentes phases de la construction du môle-abri du port de Lomener de la commune de Ploemeur dans le Morbihan (1893 - 1932).

Un domestique noir embarque clandestinement à bord de la Flore pour suivre son maître. Il est découvert et l’équipage a une attitude bienveillante envers lui.

La fonction d’expert judiciaire existait déjà au XVIII^e siècle. C’est ainsi que le sieur Courant, capitaine du vaisseau L’Assemblée Nationale, demande que des experts soient désignés pour vérifier la solidité des cuves à eau qu’il doit embarquer .

Le 10 mai 1777, le vaisseau particulier Le Comte de Maurepas quitte Lorient pour le Bengale avec comme capitaine le sieur Jean Muterse. C’est un navire de 900 tonneaux avec 36 canons.

Le 19 février 1752, le vaisseau de la Compagnie des Indes " Le Prince " (port de 900 tonneaux et 20 canons) partant pour l’Inde talonne dans la rade de Lorient sur le banc du Turc. Suite à cet incident, il fait de l’eau et est donc obligé de revenir au port pour caréner.

Au XIX° siècle, les marins inscrits maritimes recevaient à l’âge de 50 ans après vingt-cinq ans de service ou de navigation, soit au compte de l’état, soit sur les navires de commerce, une pension annuelle versée par l’état dite de " demi-solde ".

Au XVIII° siècle, une des pratiques de capture maritime de navire ennemi était le rançonnement. Comme son nom le laisse entendre, cette pratique consistait à prendre en otage une partie de l’équipage d’un navire pour l’échanger contre une rançon.