Georges J. Arnaud a écrit "L’étameur des morts". Plus modestement, je viens de rédiger "la mort de l’étameur" à partir d’un acte de décès retrouvé dans les registres de Condrieu.
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Dernier ajout : le 28 janvier.
Georges J. Arnaud a écrit "L’étameur des morts". Plus modestement, je viens de rédiger "la mort de l’étameur" à partir d’un acte de décès retrouvé dans les registres de Condrieu.
« Malgré la tristesse et les malheurs du temps présent, les fêtes mondaines se multiplient d’une manière effrayante. Le Dimanche de Quasimodo (19 avril 1903) le quartier des Croix (dans le village des Roches de Condrieu, en Isère, aux confins de Saint Clair du Rhône) appelait à lui ceux et celles qui ont laissé de côté toute vertu, ou simplement toute convenance et toute honnêteté, pour bal et galop infernal !
"Jeudi 20 juin 1940, dix heures : les généraux Hartung et Olry ont donné l’ordre de faire sauter le pont du Rhône, inauguré le 11 juillet 1937..."
Cet ordre précipité n’était motivé par aucune urgence, les Allemands se trouvant à ce moment là à 30 kms au Nord...
Le 21 février 1871, « au dépôt de prisonniers d’Ottobenren » Jean Claude Chevallier, garde mobile de vingt-sept ans, meurt de la variole. Peut-être s’agit-il d’Ottobeuren en Bavière ? Le 8 mars de la même année, « à l’Ambulance des Sœurs de la Charité » d’Ornans, dans le Doubs, décède Jean Jules Aubert, Mobile du Rhône au 65e Régiment (1er bataillon, 2e compagnie) il était né à Condrieu le 9 novembre 1847.
« Quelques jours après, on dit chez nous qu’il y avait sur le bord de l’eau le cadavre d’une femme qui s’était noyée. J’allai voir. Je reconnus la jeune fille à la tête pâle... »
« ...D’un procès verbal dressé par les brigadiers de gendarmerie de Condrieu... Messieurs Barthès Baptiste André et Raquidet Jean Jules, gendarmes à cheval à Condrieu, il résulte qu’il a été le même jour, à deux heures du soir, retiré des eaux du Rhône, au lieu du Sablier, le cadavre d’un inconnu du sexe masculin portant l’uniforme militaire de pontonnier... »
Le 18 février 1885, Marius Fond, maire de la ville de Condrieu, transcrit sur les registres d’état civil un extrait du procès verbal de gendarmerie dressé la veille « par Messieurs Heymès Henry et Javelot Antoine, tous deux gendarmes à cheval à la résidence de Condrieu » :
« ...Il résulte qu’il a été ce même jour, à huit heures du matin, retiré des eaux du Rhône ; au lieu dit le Four à Chaux...(à Condrieu) le cadavre d’un inconnu de sexe masculin dont le signalement suit : paraissant âgé (…)
Louis CHAUMARTIN évoque dans sa préface "un pays où j’ai été élevé et d’où il me reste encore des souvenirs à la fois si chers et si tristes ". Dans son poème "mon pays ", il dit "beau pays où j’ai vu le jour... témoin de mes premières amours" : nul doute, Louis CHAUMARTIN est Rochelois.
Défendre son église à tout prix jusqu’à en oublier "la douceur évangélique" ? Les inventaires "sacrilèges" du début de l’année 1906 en sont la cause. C’est pour nous l’occasion de croiser quelques "Militants de la Foi".
" Le choléra, après avoir sévi pendant deux mois dans la ville de Condrieu, vient de frapper un coup terrible dans ma paroisse dans l’espace de huit jours. La population est effrayée et réclame des prières publiques pour la cessation de ce fléau. J’ai profité de cette occasion pour ranimer la foi de mes paroissiens et je les ai engagé à recourir avec confiance à la Sainte-Vierge ".
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