Marie Onime, déclarée de père et mère inconnus, exposée en 1856 dans le tour de l’hospice de Creac’h-Euzen à Quimper, aurait pu rêver d’une vie meilleure.
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Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 7 avril.
Marie Onime, déclarée de père et mère inconnus, exposée en 1856 dans le tour de l’hospice de Creac’h-Euzen à Quimper, aurait pu rêver d’une vie meilleure.
Lors de ses lectures sur la vie des ancêtres en Côte d’Or, Claude Annette VERDIER, un des piliers du Gerco, (le cercle généalogique "Généalogie, entr’aide, recherche en Côte d’Or)" a trouvé une liste nominative d’une petite partie des habitants de Seurre. Cette petite ville le long de la Saône se trouve à 50 km au Sud de Dijon. Ceux-ci ont joué bénévolement du 9 au 12 octobre 1496 "Le mystère de Saint Martin", patron d’une de leurs deux églises. L’autre est placée sous le vocable de Saint-Michel. Il est trop rare de trouver des écrits racontant une tranche de vie de nos ancêtres au XVe siècle pour ne pas en parler.
A Saint Sulpice en Pareds -paroisse du canton de la Chataigneraie en Vendée, c’est Messire Jacques AUDUIT, bachelier en Théologie, qui officie en tant que Prêtre Prieur de 1695 à 1743. Toutefois, les 13 et 14 Novembre 1703, deux actes portent la signature de "DELAHAYE religieux de l’estroite observance de Saint François du couvent de Fontenay". Pourquoi ? Lors d’une récente réunion du Cercle généalogique à Milhaud (Gard), le sujet ayant été évoqué, les avis étaient partagés. Trois hypothèses ont été émises...
La Gazette revient avec une toute nouvelle formule et notamment une mise en page plus attractive. Toute l’équipe du magazine-web www.histoire-généalogie est sur le pont pour vous proposer cette nouvelle Gazette dont voici un petit aperçu...
Pierre Bobinet, mon ancêtre est un « garçon de sexe féminin » ! C’est ce que révèle son acte de naissance établi le 5 Août 1807 par Monsieur René CARRE alors Maire de la commune de Saint Sulpice en Pareds – canton de la Chataigneraie – département de la Vendée. Il y a là de quoi rester perplexe et la curiosité ainsi éveillée, y voir une invitation à se plonger dans les archives, pour tenter d’élucider ce mystère.
Lors de mes recherches concernant Légère Gandeboeuf (voir une bien étrange mention sur un acte de mariage), j’ai découvert le compte rendu de l’audience du tribunal de Riom du 30 juin1826. Le mari demande l’annulation de son mariage pour "vice de conformation" (définition Terme de médecine : Vice de conformation, tout dérangement, apporté en naissant, dans l’ordre, le nombre ou la disposition des parties du corps) concernant son épouse. Le tribunal rend un jugement sur l’impuissance (qui semble plus le concerner) !!!
Initialement suspendu au plafond du greffe de la Chambre criminelle de la châtellenie bourbonnaise, au fil des siècles et des révolutions citoyennes, administratives ou culturelles, il a été décroché, remisé de salle d’archives en salle d’archives. Il a connu les greniers poussiéreux, les sous-sols humides. Tour à tour, son contenu a été transvasé, enregistré, classé, coté, à nouveau référencé, entreposé et… oublié.
La famille Della ROVERE est une famille italienne originaire du Piémont formée de deux souches : l’une noble et turinoise, l’autre roturière et savonoise. C’est à ces illustres familles italiennes que De ROYERE De FONVIEILLE Joseph Stanislas François et son frère Siméon Stylite François Régis ont usurpé le nom de famille et la parenté.
Passionné de généalogie, au fil des ans j’ai lu et consulté des milliers d’actes, aussi après avoir recherché un acte de mariage en 1695, j’ai été très surpris à la lecture de l’acte des fiançailles du 6 novembre 1694. J’ai voulu en savoir plus et j’ai consulté la plupart des actes signés par Martin GRONDEL.
Le fait que le patronyme officiel de Françoise n’apparaisse que de manière épisodique et aléatoire dans les actes de l’état-civil et que, en ses lieux et places, figure son prénom, seul ou le plus souvent accompagné des qualificatifs fille d’hospice, enfant d’hospice, enfant trouvé ou enfant naturel nous a longtemps laissés perplexes : comment un tel laxisme a-t-il pu s’introduire dans le domaine, qui se veut rigoureux, de l’état-civil ?
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