Le fait que le patronyme officiel de Françoise n’apparaisse que de manière épisodique et aléatoire dans les actes de l’état-civil et que, en ses lieux et places, figure son prénom, seul ou le plus souvent accompagné des qualificatifs fille d’hospice, enfant d’hospice, enfant trouvé ou enfant naturel nous a longtemps laissés perplexes : comment un tel laxisme a-t-il pu s’introduire dans le domaine, qui se veut rigoureux, de l’état-civil ?