Entraide photographique

C’est une petite photo amateur trouvée à Issy-l’Evêque (71). Ces hommes présentent le fruit de leur labeur : un vaste plancher. Pour quel usage ? A quelle occasion ? Je ne connais ni le lieu ni l’époque. Qui pourra m’éclairer ?

Je vous joins une photo de la fanfare d’Argenteuil. Nous pouvons lire "Union et avenir d’Argenteuil". Cette photo aurait été prise entre 1920 et 1923. Mon grand-père, Victor Plusquellec serait au 1^er rang, le 2^e en partant de la gauche (je ne suis pas certain de sa position). Juste au-dessus de lui en blanc son beau-frère Pierre Lesage. Mon père n’avait que cette photo de son père.

Je vous envoie une première carte postale qui m’émeut en voyant ces deux petites alsaciennes au milieu d’un groupe de militaires. Je n’ai aucun renseignement, comme d’habitude nos ancêtres ne notaient rien derrière, sauf s’ils s’en servaient pour correspondre. La seconde est une fanfare militaire , et si vous aviez le moyen de faire apparaître le numéro de la Compagnie se serait bien.

Ces deux photographies sont du début du siècle, région de Quineville-Cherbourg dans la Manche. Un cousin me les a prêtées après les avoir retrouvées dans les dossiers de son grand-père décédé en 1954. Peut-être que les lecteurs de la Gazette pourront m’aider à les dater et éventuellement identifier les personnages.

Combien de ces jeunes gens nés en 1890 sont revenus de la grande boucherie ? Les neuf hommes de ce document sont peut-être les seuls survivants, déclarés bons pour le service, sur un nombre de 35 naissances en l’année 1890 (16 filles, 19 garçons selon les tables décennales des A.D. 71)...

Il s’agit d’une carte postale envoyée par un nommé Robert Luttringer, un alsacien de la vallée de la Thur (Thann, St Amarin) alors qu’il se trouvait évacué dans le sud de la France durant la guerre 1914-1918. La destinataire est une amie ou parente Emma Wittler domiciliée à Fellering dans la vallée.

Voici la photo de la famille de l’un de mes ancêtres qui aurait été compagnon couvreur. Je dispose de quelques informations approximatives sur cet ancêtre et sa famille. Cette photo a été prise après 1890 avec, entre autres, sans doute sa mère et sa sœur (lui étant sans doute le plus jeune homme). Mais cette photo suscite bien des interrogations...

Il s’agit de tombes situées dans le cimetière d’Epargnes en Charente-Maritime. Elles sont assez fréquentes dans cette région et j’en compte plusieurs aux noms de mes ascendants et collatéraux inhumés dans ce village. J’ai été très émue, alors que je tentais de déchiffrer les inscriptions de ces tombes, de découvrir que certaines appartenaient à mes racines... Ce fut extraordinaire.

Au dos de la photo, il est écrit « grand-père Basquin Cattenières ». Je sais pour l’avoir entendu dire qu’il était sur la photo. Il habitait Cattenières, il y était né en 1858. Plus personne, dans les proches, ne peut l’identifier et nous n’avons pas d’autre photo. De plus, je ne connais plus personne qui habite Cattenières.

Cette photo a probablement été prise en été car les femmes les plus jeunes portent des vêtements clairs et la vigne qui grimpe sur le toit est bien feuillue. La forme du toit qui avance sur la façade est typique des fermes du Jura. Je reconnais trois personnes : l’un de mes arrières-grands-pères Claude-Etienne Bonin (au dernier rang, 4^e en partant de la gauche) et ses deux filles, au 2^e rang en partant de la droite, en 3^e position Alice et en 5^e position Jeanne, ma grand-mère. Jeanne née en 1906, semble avoir 18-20 ans. Ce mariage date donc du milieu des années 1920.