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Un ancêtre compagnon couvreur

Le jeudi 26 mars 2009, par Rachel Le Saux

Voici la photo de la famille de l’un de mes ancêtres qui aurait été compagnon couvreur. Je dispose de quelques informations approximatives sur cet ancêtre et sa famille :

  • Identité : Frédéric THIBAULT.
  • Date de naissance : après 1879 à VILLEQUIERS (18).
  • Date de décès : après 1907 (envoie une carte de Corné (49) en 1907).
  • Circonstance du décès : chute du toit du château de (Blois ?).
  • Parents : Joseph François THIBAULT (1836-1902) et Madeleine GERMAIN (1842-1921).

Cette photo a été prise après 1890 avec, entre autres, sans doute sa mère et sa sœur (lui étant sans doute le plus jeune homme).

Mais cette photo suscite bien des interrogations :

  • Y a-t-il sur la photo jointe un ou plusieurs compagnon couvreur, pourquoi ?
  • Comment retrouver trace de sa carrière dans le compagnonnage (période, lieux où il a travaillé, surnom…) ?
  • L’engagement d’un compagnon se faisait comment ? Etait-il possible qu’un jeune homme soit encadré par 1 ou 2 tuteurs ?
JPEG - 33 kio
Quels sont ces outils ?

JPEG - 8.5 kio
S’agit-il d’une ceinture ?

JPEG - 10.7 kio
Le vin, la nourriture du corps

Merci à tous pour votre aide,

Rachel Le Saux.

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22 Messages

  • Un ancêtre compagnon couvreur 16 avril 2014 22:04, par Rachel LE SAUX

    Bonjour,
    Je serais très contente de pouvoir participer à votre prochaine parution mais je me dois de vous préciser que je n’ai pas pu jusqu’ici prouver l’appartenance de mon ancêtre à une loge campagnonique. La seule chose dont je sois sûre c’est qu’il était couvreur. Je suis contente que vous me demandiez ma permission pour utiliser ma photo car il y a quelques années une personne mal intentionnée s’est appropriée ma photo sans mon autorisation (via votre site alors que j’étais identifiable) et en a fait sa couverture de livre qu’elle a mis en vente via un éditeur. Le comble c’est que l’auteure du livre était archiviste ! Naïvement je n’avais pas mis de copyright. Bref, je vous autorise à utiliser ma photo. De plus, je peux désormais identifier mon ancêtre sur la photo et apporter d’autres informations le concernant chose que je ne pouvais pas faire à l’époque lorsque je vous avais sollicité.
    Dans l’attente de votre confirmation d’utilisation de ma photo,
    Bien cordialement.

    Répondre à ce message

  • Un ancêtre compagnon couvreur 16 avril 2014 12:11, par Thierry Sabot

    Bonjour à tous,
    Pour le Théma actuellement en préparation, celui sur les migrations de nos ancêtres, je recherche des photos libres de droits de reproduction de compagnons du devoir, de nourrices ou d’ancêtres ayant changé de régions au cours du XIXe siècle. Merci par avance pour vos propositions...

    Merci par avance pour vos propositions,

    Bien cordialement,

    Thierry Sabot

    Répondre à ce message

  • La Gazette Web 28 mars 2009 20:31, par GLB51

    Bonjour,
    Question 1 : oui, ce sont bien des couvreurs qui selon leurs outils travaillaient aussi bien l’ardoise que la tuile.
    Question 2 : attention, il faut différencier le compagnon qui correspond à un ouvrier qualifié et le compagnon du Tour de France qui, après ses voyages, arbore canne et couleur. Il est pratiquement impossible de retrouver l’itinéraire d’un compagnon des années 1890 pour plusieurs raisons : son nom compagnonique était confidentiel, il existait plusieurs sociétés de compagnons qui rivalisaient. De plus les écrits étaient très rares et peu subsistent à nos jours.
    Question 3 : le départ sur le Tour de France à cette époque se faisait de bouche à oreille et le jeune était remarqué sur divers chantiers pour ses valeurs professionnelles et humaines par un ou plusieurs compagnons qui l’encourageaient à faire son Tour de France et par lesquels il était reçu compagnon.
    En espérant avoir répondu à votre attente.
    Cordialement

    Répondre à ce message

  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 18:22, par Agnésagathe

    Bonjour, Votre photo représente bien des ouvriers couvreurs mais cela ne prouve pas que l’un d’entre eux soit un Compagnon du devoir de Liberté. En effet si votre ancêtre l’était, dans votre famille, on retrouverait son Carnet de Compagnon, sa canne avec les rubans et autres décorations et enfin une photo en pied de la personne avec ses attributs ainsi que son "Oeuvre" c’est-à-dire la petite couverture faite au moment de sa réception comme Compagnon.
    Depuis 1650 mes ancêtres sont charpentiers-couvreurs mais un seul était Compagnon du Devoir et s’appelait "Berry la Belle Conduite" Il est décédé à 90 ans en 1943.
    Concernant les outils les informations fournies par les autres sont bonnes.
    Bonne recherches

    Répondre à ce message

    • bonjours pour info 11 février 2012 11:35

      madame j’ai lu avec intéré votre article
      sur vos ancètre couvreur
      s’agit t’il bien du coterie berthumier joseph C.P.C de la cayenne de tour ?
      je suis aussi compagnon
      merci de votre réponce
      pays philippon jean
      bordelais la constance
      C.Cuisinier DDU

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      • Identification personnages sur photo 19 février 2012 15:54, par LE SAUX Rachel

        En réponse à vos deux messages en date du 11/02/12.
        Bonjour Monsieur,
        En 2009, lorsque mon annonce était publiée sur Histoire & Généalogie, je n’étais pas en capacité d’identifier mon ancêtre sur la photo (mon arrière grand-oncle). Désormais, je sais qu’il s’agit de la personne à gauche qui tient dans une main un marteau et dans l’autre une tuile. Cette photo a probablement été prise entre 1904 et 1907 soit dans le Maine et Loire soit dans l’Indre et Loire. Malheureusement, à ce jour je ne connais pas l’identité des autres personnes qui posent pour la postérité avec mon ancêtre.
        Il semblerait que vous ayez identifié certaines d’entre elles, aussi pourriez-vous m’indiquer lesquelles ?
        Vos informations me permettraient de compléter l’itinéraire de mon ancêtre et peut-être de découvrir enfin s’il a pu avoir un lien avec le compagnonnage.
        Merci par avance pour vos précisions.
        Rachel LS

        Répondre à ce message

    • Un ancêtre compagnon couvreur 30 mars 2009 15:48, par auffette

      Bonjour,
      Les précédents messages ont bien cernés le problème :

      Seuls étaient compagnons du Tour de France ( du Devoir, ou du Devoir de Liberté ) ceux qui avaient accompli ce tour de France dans un métier donné, et avait réalisé " leur chef d’oeuvre". Mon beau-père était Compagnon Charron Du Devoir ( Emile Chabrol Dit Périgord La Sagesse ) Nous possédons sa canne. Je vous renvoie à ma chronique familale qui détaille le pommeau de cette canne dont la photo figure au centre du bandeau de ma page d’accueil, si cela vous intéresse.

      Voir en ligne : Geneanet

      Répondre à ce message

      • le pays chabrol 11 février 2012 11:31

        bonjours je regardait sur les compagnon et j’ai vu votre méssage, donc vous ete la belle fille du pays chabrol émile né en 1880 recu a bx en 1899 et abitant 11rue du maréchal joffre versaille (SO) en 1936
        je suis moi meme compagnon pouvez vous me dire la date du décé du pays merci
        jean philippon
        bordelais la constance
        C.Cuisinier DDU
        cayenne de uc lyon

        Répondre à ce message

  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 11:11, par Blondelon

    Bonjour.
    Je suis moi même ancien compagnon couvreur.
    La photo de gauche représente un marteau à ardoise et son enclume,à droite un martelet pour tailler les tuiles.
    En dessous un sac en ceinture pour les clous.
    Ces accessoires servent toujours.

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 11:07, par Claude Van hessche

    re-re-bonjour.
    Il semble vraisemblable que les deux adultes masculins soient effectivement des compagnons-couvreurs. La fierté de se montrer leurs outils à la main sur la photo semble conduire à cette hypothèse.
    Deux détails vestimentaires,le port de la casquette, ( la gribelle, en argot de couvreur parisien ) et le bas des pantalons ( visible sur le personnage de droite) resséré à la cheville pour ne pas s’ accrocher me confirme dans cette opinion.
    Maintenant, vous semblez faire une généralisation qui est peut-être erronée.
    Tous les ouvriers qualifiés du bâtiment en général portaient autrefois, la noble qualification de Compagnon.
    C’était avant que le jargon moderne n’ en fasse des "ouvriers professionnels", s’il vous plait, il semble heureux quand même qu’ ils soient désignés comme professionnels. Il est vrai que les balayeurs n’ étaient pas devenus de techniciens de surface.
    L’ apprenti ( ou arpette en argot ou attrape-science ou rappointit ) était qualifié de Garçon ( quel que soit son âge ce qui aboutissait parfois à des situations cocasses : un lascar d’ une trentaine d’ années appelant son garçon qui avait l’âge d’être son père !)
    Les Compagnons d’ expérience devenaient parfois, des maître-compagnon ou maître-Jacques.
    Il me semble que leur carrière se déroulait le plus souvent, schématiquement, de la façon suivante :
    en quittant l’ école, après le certificat d’ étude soit vers 11 ou 12 ans, le garçon pouvait être embauché et commençait son apprentissage comme garçon au " service" d’ un compagnon qualifié. Le terme de " service" semble ne pas avoir, hélas, été exagéré dans de nombreux cas. Il était souvent, au début au moins, chargé du remplacement et de l’ approvisionnement du fameux "kil de rouge" qui figure sur l’ une des photos. Son apprentissage durait souvent plusieurs années et les meilleurs sujets pouvaient devenir Compagnon , c’ est-à-dire, prendre les clous, ( les outils ) parfois juste avant le départ au service militaire, le plus souvent à leur retour. Il est à retenir, que la qualité de compagnon sous-entendait la propriété de son outillage personnel, dont les fameux marteau et enclûme faisaient partie au même titre que les mètre, niveau, cordeau, marteau, tenailles ou autre scie égoïne. Cette liste n’ était pas exaustive et il est facile d’ imaginer ce que la perte, ou le vol, de sa caisse à outils pouvait représenter pour un Compagnon.
    Sans cette caisse à outils, dont la composition figurait dans les conventions collectives, la considération de compagnon ( donc la rénumération ) devenait alléatoire et laissée au bon vouloir ( ou mauvais vouloir) de l’ employeur éventuel.

    En posant vos questions, vous semblez faire allusion, à une catégorie particulière de la classe ouvrière, les Compagnons du Devoir. Ces professionnels, représentant une petite minorité dans les effectifs des métiers de la construction, ont fait l’ objet de nombreux ouvrages et d’ études précises. Ils appartiennent à une organisation précise et spécifique. Certains les considèrent comme une sorte d’aristocratie ouvrière détentrice des Connaissances et du Savoir, amoureuse du bel ouvrage. D’ autres, comme membres d’ une secte égoïste et prétentieuse parfaitement inadaptée à toutes considérations économiques. Il ne m’ appartient pas de prendre ici, position dans cette affaire. Son évocation n’ a pour intérêt que de préciser la confusion à éviter quand on évoque les Compagnons.

    Lorsque, en 1957, ( j’avais à peine 18 ans) j’ ai eu, ce que je considère comme un honneur de commencer mon parcours professionnel dans le Bâtiment, plus particulièrement dans la Couverture-Plomberie, j’ ai eu la chance de me " frotter" ( ce n’ est pas une litote) à des Compagnons âgés de près de 70 ans, qui étaient montés sur le tech’ ( le toît en argot) à onze ans. C’ étaient des personnages ( c’ est la moindre des considérations que l’ on puisse leur accorder) tenant leurs connaissances professionnelles de maitres qui eux-mêmes les tenaient de professionnels ayant exercé sous le Second-Empire.

    L’ un de mes plus douloureux souvenirs, pour montrer leur agréable personnalité, réside dans l’ anecdote suivante : alors que, frais sorti de l’ école, j’ étais chargé chaque jour de porter sur le livre d’ ordre de l’ entreprise, les effectifs de chaque chantier et que j’ interrogeais, bien pôliment, Monsieur Léon G... sur son affectation, je m’ entendis répondre : " qu’ est-ce que çà peut te foutre ? ".

    Les Compagnons, en particulier les couvreurs, ne manquaient pas de personnalité. Le fait qu’ils risquaient constamment leur peau en faisant les acrobates et la fin tragique de votre ancêtre le demontre explique sans doute celà malheureusement. Ne parait-il pas que le fait d’ avoir du caractère ne signifie pas forcément bon caractère. ( quelle vieille bourrique quand même)

    Il est juste d’ ajouter que quelques années plus tard, il arrivait, au-même Monsieur Léon, de me conseiller de venir le voir sur un chantier particulier, pour m’ expliquer certaines particuliarités à découvrir.

    Parfois, en région parisienne, les couvreurs étaient soupçonné de ne pratiquer cette profession que comme une " couverture " ( évidemment), leur activité réèlle pouvant les conduire à un exercice s’ apparentant plus au commerce de certains poissons. Ils possèdaient souvent dans leur caisse à outils, une paire de jumelles, le toit, constituant un observatoire de choix, vers les chambres à coucher.... Mais c’ est une autre histoire.

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    • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 20:37, par kzyves

      Bonjour les gens,
      Étant toujours en activité de couverture zinguerie mêmes si je suis en fin de carrière, je confirme évidemment les noms d’outils cités précédemment et j’ajouterai q’’aujourd’hui nous utilisons toujours ses mêmes outils.
      je suis passionner par ce métier et pour l’avoir pratiquer sur notre Capital pendant plusieurs années je vous garantis que je n’ai jamais vus de
      ( marchand de poisson ; ; ; ; ; ; ; ) sur aucun toit .... Ce métier est trop physique mêmes encore maintenant sans parler des " un temps pourris " alors si il y a ou eu des brebis galeuses elle n’ont forcément pas fait carrière.
      Je trouve également détestable que l’on associe encore " la bouteille " au gens du bâtiments........... Je vous assure que les temps ont bien changer.
      J’en suis le premier ravi.
      Cordialement.

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      • Un ancêtre compagnon couvreur 27 septembre 2010 10:56, par vertu de lorraine

        tout à fait d’accord avec vous, maître, trop de gens nous prennent pour des éponges, il faut tout de mème en rappeller l’origine, je fus moi mème jeune garçon à 14 ans, durant trois ans j’ai servi de boy ( larbin ) les chevronnés et maîtres avant de poursuivre ma carrière au sein mème de la corporation, pour devenir à l’heure actuelle maître compagnon.
        et lors de fin de chantier, une bringue était souvent offerte pour fêter le bouquet final, pour les eglises, le coq était trinballé dans une charrette décorée à travers la ville ou les haltes étaient fréquents pour se rincer la gorge. à ce jour, la tradition se perds et pour cause, l’alcool étant interdit au chantier comme au volant, nos jeunes lapins recrues sont de plus en plus des atlètes et non des éponges, ceci dit j’ai une grande fierté que d’avoir pris cette voie que la jeunesse actuelle devrait regarder de prés. a défaut d’eterniser les salles de lycées, facs, université et autres aux frais des parents soucieux de leur réussites et souvent vouées à l’echec pour finir pétard dans la main dans les rues. mème le sevice militaire leur est supprimé,
        enfin, avis aux amateurs, sachez que je fais parties de la population française à qui on doit le respect pour son courage, sa force, sa fierté et pour ses trente et un an de cotisation sous les chaleurs, pluie, vents,et neige à souffrir du dos, bras, jambes, genous etc... de n’avoir jamais pointé comme c’est la nouvelle mode actuelle

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 10:52, par martine

    il ne s’agit pas d’une ceinture mais d’un "tablier à pointes" (peut être nom local ) le couvreur qui montait sur le toit avait sa réserve de pointes à l’intérieur.J’ai vu mon père et mon grand père couvreurs utiliser cet accessoire.

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 09:44, par Claude Van hessche

    Re-bonjour,
    la photo de droite semble montrer une essette, sorte de marteau portant un tranchant perpendiculaire à son axe, qui sert à tailler le bois de charpente, à arracher les anciens lattes de bois qui supportent les ardoises. Peut-être cet outil était-il également employé pour tailler des tuiles ?, ce que semble tenir en main le compagnon qui tient l’ outil.

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 09:36, par Claude Van hessche

    Bonjour, je confirme la photo de gauche montre bien un marteau et une enclûme d’ ardoisier. On peut ajouter que ces outils existent pour droitier ou gaucher. C’est la position des tranchants (biseaux) qui permet de les différencier. L’ ardoire reçoit le traçé de la découpe par passage de la pointe du marteau puis le petits trous sont perçés toujours avec la pointe du marteau, au long de cette ligne. L’ ardoise est alors placée et maintenue sur l’ enclûme, le tracé au droit du biseau de l’ enclûme. Puis par petits coups de marteau, l’ ardoise est découpée. L’ expérience, fait glisser la pointe du marteau le long de l’ enclûme.
    Il se peut que mes explications soient erronées, elles évoquent des souvenirs remontant au siècle dernier, voilà plus de cinquante ans. Que les professionnels veuillent bien me le pardonner.

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 09:19, par HAPPE

    Bonjour
    Les outils que nous distinguons sur la premiére photo sont une enclume et un marteau d’ardoisier ses dits outils servaient à la coupe des ardoises et au persage avant la pose de celle ci , j’ai appri à m’en servir dans mon apprentissage en école et chez un maitre compagnon , ayant été ouvrier couvreur zingueur à mais début .
    voila se que je puis vous apprendre à se sujet .
    Bien à vous Christian

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 08:55, par DOME

    bonjour la maison mére des compagnons du devoir de france est a PARIS les couvreurs sont surnomés les COUCOU les charpentier les bois de bout . les plombiers sont des MAGNIENS et encore bien d’autres le patron est un SINGE ce qui n’est aucunement insultant .suivant la region d’ou vous venez le compagnons en portent le nom suivait son surnom qui designait son metier pour les outils vous avez les reponses maintenant pour les tuteurs je ne sais pas mais les PREVOTS et MERES des maisons des compagnons pourraient vous le dire BONNE CONTINUATION CORDIALEMENT
    DOMINIQUE REIMS

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 08:19, par Moreau Claude

    rebonjour
    j’ai oublié de vous donner la definition de ce que vous pensé etre une ceinture,c’est un sac ventral qui permettait de metre les pointes qui servaient a fixer les ardoises.ce sac se mettait autour de la taille du couvreur comme une ceinture

    cordialement .

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 08:15, par Moreau Claude

    bonjour

    la deuxieme photo a gauche represente un marteau de couvreur qui servait à clouer les ardoises et en dessous une enclume de couvreur qui servait à tailler les ardoises.
    la derniere photo represente un outil a long manche qui servait a fendre les blocs d’ardoises pour en faire des ardoises de couvertures

    Répondre à ce message

  • Un ancêtre compagnon couvreur 28 mars 2009 07:28, par francofm

    Vous pouvez vous adresser aux archives du musée du compagnon à TOURS 37000 cloître Saint Julien 8, rue Nationale tél 02 47 61 07 93 qui peut être pourra vous donner des renseignements, mais sans le surnom du compagnon je crains que cela soit facile ?
    Bonne chance.

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  • Un ancêtre compagnon couvreur 27 mars 2009 13:40, par MOREL Jean-Louis

    Bonjour
    Concernant l’homme au centre, il tient dans la main droite un marteau d’ardoisier, lequel est en appui sur un autre outil d’ardoisier, appelé enclumette (utiliser pour retailler les ardoises).

    Cordialement
    Jean-Louis MOREL

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