Entraide généalogique ou historique

Provenant d’une succession familiale et plus précisément de l’héritage d’une grand-mère domiciliée de son vivant au Pouliguen (Loire-Atlantique), j’ai en ma possession depuis des années un ouvrage très particulier et probablement unique. Cet ouvrage daté de 1896 a été rédigé par la jeune Marie GRUYERE alors âgée d’environ 14 à 16 ans et offert à sa mère à l’occasion de sa fête. J’ignore toutefois qui était Marie GRUYERE...

En décembre 2014, après plus de 10 années de recherches infructueuses , j’avais demandé l’aide des lecteurs de la Gazette pour trouver des informations sur mon Sosa 16 : Michel FALLET, « originaire du Piémont ». J’ai ainsi fait un pas de géant car beaucoup de personnes m’ont apporté leur aide et permis de découvrir son acte de décès. Par chance, cet acte indiquait le lieu de naissance de cet ancêtre à Pertusio en Italie.

Mon ami Christophe Ripoche est toujours à l’affut de faits et anecdotes concernant l’un ou l’autre des villages portant le nom de Saint Léger. Ses trouvailles lui servent à enrichir les pages du site des « Saint Léger de France et d’Ailleurs » Connaissant mon « virus » pour nos Poilus, au début de 2010, il m’a demandé - encore une fois - de l’aider à retrouver le Poilu Boubilla, décoré de la Croix de Guerre en mai 1916 à Saint Léger les Domart. Le problème est que nous n’avons ni son prénom, ni son régiment !

Dans cette rubrique, d’habitude, c’est le lecteur qui lance "une bouteille à la mer" pour ouvrir de nouvelles pistes de recherche.
Une fois n’est pas coutume, cette fois, c’est le "personnage mystère" de cet article qui a jeté, volontairement (?), une bouteille dans le Rhône.
J’ai besoin de votre aide pour le retrouver.

J’ai fait la connaissance de François par un fait divers recueilli dans le journal « La Lanterne » du 26 avril 1901 (d’où l’intérêt de consulter la presse en ligne !). On y découvre un enfant de 14 ans qui abandonne le domicile de ses parents à cause des mauvais traitements qu’ils lui faisaient subir. Il fait le voyage à pied, vivant de mendicité avant d’être arrêté. Par la suite, tout ce que je sais désormais sur lui vient de sa fiche matricule...

Je creuse depuis environ quatre années l’arbre généalogique de ma famille.
Je suis parvenu à remonter dans l’histoire des GABARDO en Vénétie (Italie) jusqu’en 1370, en revanche je suis bloqué (temporairement, je l’espère) en ce qui concerne ma belle famille. Le problème que je voudrais résoudre est : quelle est la mère de CHABOUD Frédéric ? S’il s’agit de Cécile ROGUE ou MOGUE ou HOGUE c’est le mystère complet, aucune trace de cette personne. Alors, y-a-t-il une erreur de l’état civil ?

C’est en feuilletant un vieil album-photos que je découvre, à l’intérieur, une grande photo... C’est un groupe de militaires qui pose. Au dos une inscription manuscrite : L’escadrille de Chasse - ? - Athènes. Il ne m’en fallait pas plus pour préparer un article à soumettre à la perspicacité des lecteurs de "La Gazette du Vendredi".

Je possède deux photos de mon grand-père en uniforme allemand, et je souhaiterais retracer son parcours militaire dans la mesure du possible. Il est né le 15 avril 1880 à Lingolsheim dans le Bas-Rhin où il a toujours vécu. Il était le fils de Jacques Meyer et de Eva Stumpf. Mon grand-père paternel était menuisier et demeurait rue des Juifs n° 5 à Lingolsheim (67380).

Cette photographie date peut être de la fin du 19^e siècle ou du tout début du 20^e. Il s’agit visiblement d’une photo de mariage, les mariés étant assis au milieu du premier rang. Si l’on peut supposer qu’elle a vraisemblablement été prise en Bretagne, le lieu précis reste indéfini. Les costumes féminins et notamment les coiffes permettront peut-être à certains d’entre-vous d’en situer l’origine.

Je profite de votre rubrique d’entraide généalogique dans votre magazine-web pour vous soumettre un acte que je ne suis pas sure d’interpréter correctement. Il s’agit de l’acte de baptême d’un de mes ancêtres, enregistré à Mariac, Ardèche, en date du 18 juin 1766. Je ne comprends pas comment le nouveau-né peut avoir comme parrain un frère utérin qui porte son propre nom de famille (JAVON).