« Mais pourquoi oublie-t-on les vieux ? Pourquoi donc nous les jeunes, qui leur devons tant, n’avons-nous pour les voir que des occasions trop rares ?
Pourquoi donc aussi ce nom de vieux à des hommes de trente ans ? » C’est l’interrogation d’un sportif de vingt ans, Auguste Férole, en décembre 1908 dans le "Bulletin du C.A. XIVe", club sportif du XIV° arrondissement de Paris. Ce jeune homme mourra, à peine âgé de trente ans, dans un hôpital de l’arrière, à quelques jours de l’Armistice.