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Réaliser un journal de famille

Le mardi 2 mai 2006, par Stéphane Goupil

Vous souhaitez créer un journal de famille afin de tenir au courant vos proches de l’avancement de vos recherches ? Auteur-éditeur du « P’tit Laboureur », Je vous propose de partager mon expérience en ce domaine.

Les raisons

Un journal pour communiquer et transmettre une histoire de famille

Nous voulions, ma femme et moi, informer la famille et les proches, de plus en plus dispersés sur le territoire national, de l’avancée de nos recherches généalogiques et historiques. Nous souhaitions également relater certains évènements familiaux actuels, importants tels que naissances, baptêmes, mariages, résultats d’examen... Car écrire une histoire de famille, ce n’est pas uniquement s’intéresser au passé : tous les ans ont lieu des évènements familiaux qui méritent d’être notés avant qu’ils ne soient oubliés. Qui n’a pas regretté la disparition d’un proche : « j’aurais dû lui demander ce qu’il sait sur untel. »

La réalisation

Avec un ordinateur et une petite équipe rédactionnelle, vous pouvez devenir le rédacteur en chef du journal de votre famille.

Le choix d’un logiciel

Pour réaliser un journal de famille en trois ou quatre pages recto-verso, vous pouvez utiliser soit un logiciel de création de publications de type « Publisher » ou un traitement de texte de type « Word. »

Au départ Publisher vous simplifie la vie car des modèles de mise en page existent. A partir de cette base, il est facile d’insérer des dessins, photographies. L’inconvénient majeur, c’est que ce logiciel crée des fichiers volumineux. Vous êtes obligés de compresser le dossier si vous voulez le transférer par messagerie ou l’exporter sur un site internet.

Word demande un minimum de connaissances dans la mise en page, en particulier : sauts (continus, de colonne, ...), insertion de colonnes, insertion de zone texte, insertion de dessin, d’image, de photos.
Il vous permettra d’atteindre le même degré de qualité qu’avec un logiciel de création de publications mais en utilisant peu d’octets. Vous pourrez donc transférer votre journal sans difficultés.

Conseil : Si vous ne possédez-pas la licence Word, sachez que vous pouvez télécharger gratuitement le traitement de texte OpenOffice à l’adresse suivante :
http://fr.openoffice.org/about-downloads.html

L’équipe rédactionnelle

Ma femme et moi avons décidé de la création de la publication. Solène, notre fille, a baptisé le journal "Le P’tit Laboureur" pour rappeler que les métiers pratiqués par nos ancêtres étaient essentiellement agricoles. Et ce titre illustre bien l’esprit du journal : cultiver la mémoire et transmettre une histoire de famille. Autrement dit, mélanger le passé et l’actualité, et, garder une trace (" un sillon ") pour le futur.

On le voit, le choix du titre est important et doit être évocateur d’un élément lié à la famille : ce peut être un nom de lieu, une expression courante, le nom ou surnom d’un ancêtre, le nom village...

Un enfant peut proposer un dessin, des membres de la famille des photos de vacances, un passionné d’informatique une aide à la conception, un passionné d’histoire, des documents, des sources. Mais parfois le rédacteur doit réaliser le journal seul. Il ne faut surtout pas se décourager lorsque les collaborateurs font défaut. Si vous êtes généalogiste et de surcroît passionné d’histoire, vous ne serez pas à court de sujets à traiter.

La méthode

Réalisé dans un format A4, le journal de famille présente sur ces pages des informations le plus souvent illustrées de photos. Il est publié trois ou quatre fois par an, ce qui est raisonnable. En effet, quand on finalise un numéro, il faut déjà penser au contenu du prochain journal.

Suivre un fil conducteur

Je vais vous proposer une démarche possible de création d’un numéro : Pour commencer, je décide d’un point de référence qui me sert de base de départ pour la trame : par exemple, un métier ancien ou une commune, ou bien un personnage qui a marqué l’histoire de la famille. Puis, je choisis un fil conducteur. Par exemple, dans un ancien numéro du « P’tit Laboureur », j’ai pris comme point de référence un personnage qui a alimenté la légende dans ma famille : Alexandre COPLO dont les ancêtres sont originaires du Cambrésis. Le fil conducteur sera donc :

  • Le portrait d’Alexandre Coplo.
  • Une région : le Cambrésis.
  • Sa ville natale : Amfreville la Campagne (généralités historiques, architecture, musée, sites...).
  • Un métier pratiqué : cordier.
  • Un évènement historique : la guerre de 14-18, sa désertion et une explication sur son registre matricule.
  • Un patronyme COPLO : nom rare et peu porté en France.
  • Des évènements familiaux : le mariage récent d’un cousin descendant de cette branche COPLO.

Bien sûr, il s’agit là de ma façon de procéder. Vous pouvez aussi compléter votre numéro par des statistiques, un sujet concernant la vie quotidienne, les coutumes, les croyances de nos ancêtres, une anecdote concernant un aïeul... On peut également ajouter un peu de terroir (recettes de cuisines régionales par exemples) mais aussi des devinettes, de l’humour, des légendes régionales...

Une forme journaliste à respecter

Le journal, qui doit comporter 6 à 10 pages de rédaction, répond à des règles très précises qui sont celles de l’écriture journalistique.

Le journal est composé d’un sommaire, d’un édito et d’articles variés qui mélangent le passé et le présent.

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Un des éditos

Les articles rédigés peuvent être des brèves, des reportages, des interviews, des portraits, sans oublier des jeux. La mise en page est similaire à celle des magazines grands publics.

Les textes sont présentés en colonne. Il est préférable de varier le nombre de colonnes par article (ex. : un premier article présenté en deux colonnes puis un suivant présenté en trois colonnes). Les titres et sous-titres sont écrits en gros caractères. Insérer des illustrations et parfois des encadrés peuvent mettre en valeur une partie du texte.

Respecter une certaine déontologie

Le rédacteur d’un journal de famille doit bannir les sujets qui fâchent et préférer les bonnes nouvelles aux mauvaises, les succès aux échecs. Il n’est pas d’usage de prendre position quant à la vie d’un ancêtre, il est préférable de rapporter des faits et uniquement des faits.

Avant la publication, il est souhaitable également de vérifier toutes ses informations par des tiers.

Derniers points importants avant l’impression : il faut respecter les règles du copyright et aussi l’obligation de citer les sources utilisées.

Quelques petites règles de rédaction :

  • Faites des phrases courtes : pas plus de quarante mots, si possible.
  • Veillez à la syntaxe : la structure habituelle de la phrase (sujet - verbe- complément) est celle qui est la mieux comprise et la plus « assimilable. »
  • Employez un vocabulaire accessible : ne jamais employer un mot que l’on ne comprend pas parfaitement soi-même.

La finalité du projet

Un journal pour qui ?

Un journal de famille a un tirage limité de vingt à cinquante personnes.

Au delà, le journal devient difficile à gérer, tant sur le plan rédactionnel que sur le plan logistique.

En effet, si le tirage est trop important, il est difficile de trouver des sujets qui intéressent tout le monde et le budget nécessaire est trop important.

En partant de mes enfants, nous remontons jusqu’à la quatrième génération soit les arrières-grands parents. Quatre générations, se composant de trois ou quatre frères et sœurs pour la première génération, puis ensuite deux à trois enfants pour chacun, les conjoints et les enfants, voire petits-enfants de ces derniers, peuvent permettre d’atteindre souvent un chiffre proche de cinquante. Nous le communiquons également aux cousins généalogiques.

Un journal pour quoi faire ?

Le généalogiste est avant tout un chercheur. Le journal donne l’opportunité de raconter et de partager ses découvertes. Et simultanément, il peut consentir d’interroger la famille quand les informations ou les documents lui manquent.
Certes, les plus anciens n’acceptent pas de prendre la plume mais, dans ce cas, les rédacteurs choississent souvent le biais de l’interview qu’ils retranscrivent et publient ensuite.

Le journal de famille permet de remonter le temps en abordant des sujets très divers, sans chronologie aucune. Chaque article est une pièce d’un puzzle qui recomposé permettra de retracer son histoire familiale.

En somme, créer un journal est une belle aventure familiale qui permet de renouer avec certain membre et de resserrer les liens avec d’autres. La distribution du journal peut précéder ou suivre une réunion de famille et croyez-moi, les membres attendent avec impatience chaque édition.

Le coût financier

Si l’on considère que vous possédez déjà un logiciel de traitement de texte et un logiciel de traitement de la photographie, voici une estimation du côut unitaire d’un exemplaire (pour un tirage de 50 exemplaires) :

  • Coût du tirage : (coût brut en prenant en compte tous les éléments)
    papier : 1,20 Euros au total
    reliure simple avec agraphes : 0,30 Euros au total
    impression : 30,00 Euros au total
    soit un coût unitaire du tirage = 0,63 Euros
  • Coût de la distribution :
    enveloppes : 5 Euros au total
    timbres : 26,50 Euros
    soit un coût unitaire de la distribution = 0,63 Euros

Ce qui nous donne un coût unitaire brut total d’un numéro à 1,26 Euros.

Afin de réduire ce coût, plusieurs solutions s’offrent à vous :

  • Une participation financière des lecteurs (sous forme d’un abonnement, par ex.) : je le déconseille car les lecteurs ne sont pas prêt pour payer ;
  • Par contre, une participation en nature est très bien acceptée (en timbres particulièrement, car par ce biais, c’est une manière d’aider à la recherche généalogique, en général) ou bien une aide matérielle (quelqu’un se propose d’effectuer des photocopies pour un tirage en noir et blanc). L’option du tirage en noir et blanc et photocopie permet de réduire considérablement, voir éliminer l’un des principaux poste de dépense.
  • Un lecteur peut se proposer comme distributeur et donner des exemplaires de la main à la main à d’autres lecteurs ; ce moyen permet d’éliminer le problème des coùts de distribution.

Si l’on considère les dernières options énoncées, le coût net unitaire sera faible.

N.B : Sachez tout de même que des prix compétitifs existent en commandant directement vos fournitures sur Internet (en particulier pour les cartouches d’encre).

Mes satisfactions

Les lecteurs me disent que les articles diversifiés permettent de mieux connaître les origines de la famille et la vie quotidienne de nos ancêtres et contemporains, et d’en faire profiter tout le monde.
Confusius récitait : " Un être qui meure c’est une bibliothèque qui brûle". N’attendez-pas que vos ancêtres disparaissent. Leurs souvenirs sont la base qui forgeront plus tard la mémoire familiale.
La demande est forte, chaque nouveau numéro est très attendu et lu, aussitôt transmis. Toutes les éditions sont conservées précieusement par les lecteurs.

Un conservatoire pour les journaux de famille

Conscients de l’émergence de ce nouveau genre d’écriture familiale, les responsables de la Bibiothèque généalogique de France, centre de recherches généalogiques pour toute la France, ont mis en place un Conservatoire des journaux de famille.
Pour cela, il suffit de leur déposer 3 exemplaires de chaque numéro, qui seront consultables par tous.
Vous pouvez également communiquer votre exemplaires dans chaque cercle ou association généalogique des régions d’origine de vos ancêtres où il sera très apprécié par d’autres généalogistes qui y trouveront peut-être leur bonheur.

Du journal de famille à Internet

Bien sûr, il faut profiter des nouveaux moyens modernes de communication comme les blogs ou les sites internet thématiques.
Le P’tit Laboureur, le journal de famille, est relayé par un blog, outil de communication complémentaire, qui permet une diffusion plus large d’articles divers au fil de l’eau.
Le blog de la famille Goupil "geneahist-goupil - http://geneahist-goupil.over-blog.com" , présente sous une forme dynamique la généalogie de la famille, les portraits d’ancêtres et de nombreux documents iconographiques commentés.
A la fois guide de généalogie, blog d’actualité et site familial, le site de la famille Goupil a pour objectif de partager l’information et rassembler les vivants.

En conclusion

Savoir que nous ne sommes pas isolés. Sentir que l’on fait parti d’un petit monde où nul n’est anonyme, ni étranger envers l’autre. La généalogie doit sans nul doute à tout cela une explication possible à son succès. Le "Journal de famille" doit, dans son sillage, devenir un moyen de communication familial à développer. Il doit permettre de resserrer encore plus les liens familiaux, améliorer la relation entre les générations et donner des nouvelles à ceux qui sont loin.
Le concept doit être souple et léger. Il ne s’agit pas de concevoir un Paris-Match et si votre journal a le look de la "feuille de chou" paroissiale, ce n’est pas pour cela qu’il ne sera pas apprécié. Le contenant, vous l’avez compris, compte infiniment moins que le contenu. C’est donc ce dernier qu’il sera important de travailler, ainsi que le public.

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10 Messages

  • Réaliser un journal de famille 10 janvier 2011 18:07, par André Vessot

    Bonjour Stéphane,

    En parcourant le site Histoire-Généalogie je suis tombé sur tes articles dont celui-ci consacré à la réalisation d’un journal familial , qui m’a fortement intéressé. Nous y avions pensé à l’occasion d’une rencontre entre cousins, mais le projet n’a pas vu le jour. Aussi je me contente, pour le moment, d’indiquer à mes cousins, mes filles et mes neveux et nièces, les liens de mes articles publiés sur ce site. Mais je reconnais que l’idée du journal apporte un plus.
    Est-ce que tu continues toujours de publier ce journal familial, ou bien a-t-il été remplacé par ton blog ?

    Bien amicalement.

    André

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  • Réaliser un journal de famille 25 mars 2010 18:04, par Sandrine

    Bonjour,

    C’est très gentil à vous de nous faire partager votre réalisation d’un journal de famille et je vous en remercie.

    Personnellement j’ai entrepris un autre travail : celui de transmettre à mes enfants un document que j’ai intitulé : "Fenêtre sur vos ancêtres maternels" et qui aborde en premier lieu l’un de leurs arrières grands-parents maternels car leurs grands-parents maternels ont déjà écrit séparément leurs "mémoires". Ce document est en fait construit en quatre parties : chacune part d’un de leurs arrières grands-parents et se poursuit en remontant le temps.

    En m’aidant de la mémoire des "anciens", des photographies dont je dispose , de celles puisées chez mes parents ou trouvées par ailleurs, de mes propres souvenirs et en y ajoutant des anecdotes et informations que la construction de mon arbre généalogique m’a permis de trouver,et si possible en y ajoutant une carte postale ancienne des villages concernés, je voudrais permettre à mes enfants d’avoir une trace de ceux qui les ont précédés.

    C’est un long travail (pas terminé) mais passionnant. Pour l’instant, c’est ma manière d’écrire les mémoires de ma famille avant ... d’entreprendre les miennes !

    Je ne sais pas si la réalisation d’un journal comme le vôtre serait possible compte tenu du nombre de membres que comporte ma famille biologique et de leurs centres d’intérêt. A laisser en attente pour l’instant et à mûrir.

    Encore merci. Très cordialement.
    Sandrine

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  • Réaliser un journal de famille 28 février 2010 10:38, par Jocelyne Corbel

    J’ai eu cette même idée d’un journal de famille il y a 4 ans, le 1er avait 4 pages, le second 8 etc... Il paraît maintenant à 50 exemplaires avec entre 20 et 28 pages, tous les 2 mois. Vous dites qu’il faut mieux ne pas demander de participation financière, j’ai en effet commencé avec un carnet de timbres mais cela me revenait à trop cher car votre calcul n’est pas le mien, chaque envoi me revient à plus de 2€ et je crois que tout le monde trouve normal de participer aux frais. Le courrier des lecteurs permet à chacun de s’exprimer, d’annoncer les évènements petits et grands, viennent ensuite : "cette année-là" ( je reprends les évènements qui ont marqué ces mois-là avec photos de famille et rappel historique.), métiers de la famille, traditions, généalogie, humour, jeux, recettes et mots d’enfants de la famille etc... Le titre ? J’ai repris les noms de famille des ascendants de mes enfants : Corbel, Corbin , Travert, Levaillant, Poignant : A corbel ( et bin) et à Travers(t), Levaillant et Poignant journal de la famille.
    Et je sais que le journal est très attendu, surtout par la génération 50-80 ans. Mais les jeunes aussi !
    Longue route à tous ces journaux !
    Jocelyne Corbel

    Répondre à ce message

  • Réaliser un journal de famille 27 février 2010 13:37, par Anne Marie

    Je fais un journal de famille (qui est restreinte !!) mais tous les deux mois. Je commence par souhaiter l’anniversaire s’il nécessaire ensuite j’indique les dates de naissances mariages et décès de tous les ancètres en ligne direct que je connais.
    en général je fais un petit texte sur la Creuse puisque c’est de département de la famille, une petite histoire amusante, ou un évènement qui s’est produit
    ensuite je donne des nouvelles des uns et des autres quand j’en ai. Janvier Février avait la photo de la dernière née par exemple, puis je trouve un sujet comme le rude hiver 1889 1890, etc. une cousine ajoute un texte à sa guise et j’envoie le tout.
    Je trouve ma présentation un peu simpliste je vais donc étudier ce que vous préconiser.
    Tout le monde est content d’avoir des nouvelles des uns et des autres et je trouve que c’est une chouette idée.
    je le fais depuis 2 ans
    amicalement Anne Marie

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  • Réaliser un journal de famille 27 février 2010 09:53, par Nelly du 44

    Félicitations à l’auteur du "P’tit laboureur".
    J’ai envie depuis longtemps de transmettre l’histoire de mes ancêtres et de leurs villes et villages, comme de nombreux généalogistes amateurs.
    Lorsque j’en ai l’occasion, je ne manque pas de communiquer à mon entourage les souvenirs transmis par tous ceux qui m’ont précédé et aujourd’hui disparus avec leurs secrets.
    Les paroles s’envolent ... c’est pourquoi j’aimerais être capable de mettre sur le papier l’histoire de la famille. Pour le moment je ne sais pas par quel bout commencer.
    Merci pour cet article motivant qui me donne un certain "déclic".

    Répondre à ce message

  • Que voilàune bonne idée. 27 février 2010 09:50, par ildefonse

    Scinder l’histoire de la famille en livraisons successives trimestrielles me semble intéressante : elle me permets d’éviter de faire un seul ouvrage dans lequel je ne pourrai jamais tout mettre, car j’ai vraiment beaucoup de photos, d’anecdotes et de documents familiaux anciens, voire très anciens. Il me faut faire vite car j’ai déjà72 ans. Je m’y mets donc de ce pas !!
    Salutations. Ildefonse (c’est vraiment mon second prénom et mon pseudo habituel)

    Répondre à ce message

  • Réaliser un journal de famille 24 mars 2009 11:03, par Roland Lenoir

    J’ai consulté vos explications sur la création du "Petit laboureur".Je tiens à vous féliciter vos explications sont très précieuses.
    J’ai crée moi même un journal intitulé "Le petit LENOIR illustré" que je distribue à "mes lecteurs" par mail.
    J’ai réalisé de plus, deux numéros spéciaux sur la vie de notre famille pendant la période de l’occupation.
    Les membres de ma famille semblent heureux de recevoir le journal
    Encore bravo pour votre initiative
    Roland LENOIR

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  • > Réaliser un journal de famille 17 mai 2006 22:11, par Madeleine Arnold Tétard

    Je réalise moi-même un journal de famille depuis près de 25 ans puisque je l’ai créé en 1981 et qu’il continue sa route après une petite interruption de quelques années du à des ennuis de santé - notre association familial compte actuellement plus de 140 familles adhérentes pour une sortie semestrielle entrecoupée d’une Lettre d’Informations chaque trimestre reprenant les fluctuations de la famille.

    Notre bulletin de liaison s’appelle BONJOUR LES COUSINS (titre déposé) et comporte 12 pages plus la couverture comprenant l’édito et multiples informations. Il s’adresse à tous les descendants de Claude ARNOLD et Marie SEUFFERLIN couple de nos ancêtres ayant vécu au 17e siècle en Alsace et nous permet de réunir ponctuellement les descendants lors de grandes COUSINADES qui ont lieu en Alsace tous les 3 ou 4 ans - Nous fêterons d’ailleurs les 25 ans de nos Cousinades en 2008 par une très grande fête où nous espèrons réunir plus de 300 cousins.. Ce sera la 6e cousinade du genre (1983 - 1985 - 1990 - 2002 - 2005)

    Avec un autre journaliste familial nous envisageons de créer une Fédération des journalistes familiaux, idée qui avait été émise il y a plusieurs années par un autre de nos collègues François LORIDON créateur de "Nous les Loridon" et que nous espérons bien mener à terme ... avec peut être votre aide..

    Bonne route à votre Pt’it Laboureur et si je peux également faire partager mon expérience en la matière, vous pouvez me contacter à krismad chez wanadoo.fr

    Toutes mes amitiés
    Madeleine ARNOLD TETARD
    Présidente Association Internationale des Familles ARNOLD et Alliées

    Voir en ligne : BLOG FAMILIAL ASS.I.F.ARNOLD

    Répondre à ce message

    • > Réaliser un journal de famille 1er décembre 2008 11:33, par Madeleine ARNOLD TETARD

      Bonjour Stéphane,
      Très heureuse d’avoir partager l’antenne ce matin sur RCF avec vous et de discuter de notre passion commune la généalogie mais aussi des aspects de construction de notre JOURNAL DE FAMILLE.
      Dommage que je n’ai pu écouter l’émission en entier car problème de connexion .. mais je ne doute pas que la fin fut aussi captivancte que la partie où nous sommes intervenus vous et moi..
      Toutes mes amitiés
      Madeleine ARNOLD TETARD
      BONJOUR LES COUSINS
      http://assifarnoldinfos.canalblog.com/
      krismad chez wanadoo.fr

      Voir en ligne : http://assifarnoldinfos.canalblog.com/

      Répondre à ce message

    • Bonjour à TOUTES & à TOUS !

      Cette idée du "P’tit laboureur" m’inspire énormément. Notre famille avait été sciendée en deux groupes lorsque j’étais né en 1946 à EL-MAIN. Moins cinq je serai né à Alger d’ailleurs.

      Le groupe familial ou conjugal dont je fais partie, n’avait pas de champs. Donc, ne pratique pas l’agriculture. Mon aïeul AMAROUCHE Larbi était soldat lors de la grande guerre et meurt pour la France, raison pour laquelle une licence de café maure avait été attribuée à ses ascendants et descendants par la suite. Mon pére redevient chauffeur en obtenant son permis de conduire le 3 Mars 1949 à Alger où nous habitions auparavant. Mon grand père dispose de la gestion d’un journal.

      Donc, vous me donnez l’idée d’appeler notre journal de famille : "Le petit périodique," à la place du "P’tit laboureur." Mais malheureusement, notre famille actuellement vit une situation du " chacun pour soi." Je me limite donc un petit peu.

      Bonne continuation à toutes et à nous tous !

      AMAROUCHE

      Voir en ligne : Du P’tit laboureur au "P’tit périodique."

      Répondre à ce message

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