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L’un de vos ancêtres a-t-il eu les honneurs de la Gazette de France ?

Le jeudi 19 septembre 2013, par Thierry Sabot

Le généalogiste en quête de sources inédites pour suivre la trace de ses ancêtres, ne s’attend sans doute pas à trouver la mention de ceux-ci dans le plus ancien des périodiques français : La Gazette de France, fondée en 1631 par Théophraste Renaudot... Et pourtant, si l’un de vos ancêtres était un Grand de France ou si, humble parmi les humbles, il a eu une longévité exceptionnelle, étirée par exemple sur trois siècles, alors il y a de fortes probabilités pour que son décès soit mentionné dans la célèbre Gazette de France...

Chaque samedi, du 30 mai 1631 au 10 août 1792, la Gazette de France donnait avant tout des nouvelles en provenance des grandes villes de l’Europe : Londres, Amsterdam, La Haye, Hambourg, Francfort, Lubeck, Dantzig, Varsovie, Vienne, Rome, Naples, Turin, Gènes, Venise, Lisbonne, Madrid, auxquels s’ajoutaient les nouvelles et les indiscrétions de Paris et de la Cour à Versailles.

A côté de ces informations essentiellement politiques, la Gazette se terminait parfois par l’annonce des décès de personnalités de l’époque, les Grands de ce monde ou de la Cour, ou par les décès de gens modestes devenus centenaires... peut-être l’un de vos ancêtres...

En voici quelques exemples trouvés au hasard de mes lectures de la Gazette de France des années 1700 et 1701 sur le site Gallica de la Bibliothèque Nationale de France :

  • Les personnalités connues :

De Paris, le 15 janvier 1701
Le 7 de ce mois Monsieur Toussaint Rose marquis de Coye mourut âgé de 87 ans. Il était président en la Chyambre des comptes, secrétaire du Cabinet du Roy, et l’un des quarante de l’Académie Françoise.

Le 8, mourut aussi Monsieur Pierre Stoppa, lieutenant général des armées du Roy, colonel du régiment des Gardes suisses, et d’un autre régiment de la même nation, il estoit âgé de 77 ans.

De Versailles, le 18 février 1701
Dame Louise Catherine Fautereau de Meinières, veuve de Louis François de Brancas duc de Villars, mourut le 11 de ce mois, en cette ville, âgée de cinquante-un ans.

François de Clermont-Tonnerre, évêque-comte de Noyon, Pair de France, mourut le 15, âgé d’environ soixante et douze ans [1]. Il estoit Prélat, Commandeur de l’Ordre du St-Esprit ; conseiller d’Estat. Il estoit aussi de l’Académie Françoise.

De Paris, le 21 may 1701

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Un avis de décès avec de précieuses indications généalogiques.

De Paris, le 28 may 1701
Dame Charlotte Victoire d’Albert de Luyne, mourut en cette ville le 22 de ce mois âgée de trente-trois ans six mois. Elle avoit épousé le 29 d’avril 1682, Alexandre, Albert, François, Barthélémy Prince de Bournonville.

De Paris, le 11 juin 1701

Voici deux décès de personnalités : d’abord Madeleine de Scudéry, femme de lettres, qui connu un succès considérable avec son Cyrus ou sa Clélie, où elle peint la société précieuse du XVIIe siècle.
Ensuite, Monsieur, le duc d’Orléans, le frère du roi, mort d’une crise d’apoplexie après une dispute avec le roi au sujet du mariage de son fils Philippe d’Orléans (lire à ce sujet Saint-Simon).

De Paris, le 30 juillet 1701
Dame Marie de la Guiche duchesse douairière de Vantadour, mourut la nuit du 22 au 23, en son chasteau de Sainte Marie au Mont en Normandie ou elle s’estoit retirée depuis longtemps, âgée de soixante-dix huit ans. Elle demeura veuve à l’âge de 26, de Charles de Levy duc de Vantadour, Pair de France, chevalier des ordres du Roy, gouverneur du Limousin, mort en son gouvernement en may 1649.

A noter que parfois la Gazette précise la cause du décès comme dans l’exemple suivant :

De Paris, le 15 décembre 1786
Marie-Françoise de Charry des Gouttes, fille du chef-d’escadre de ce nom, épouse du comte du Myrat, colonel à la suite des troupes légères, est morte à Saint-Léger-en-Forès, le 19 du mois dernier, de la petite vérole.

  • Les centenaires du royaume :

Selon les contemporains (voir le Dictionnaire de Furetière) et les historiens, au milieu du XVIIIe siècle, l’espérance de vie à la naissance était d’environ 25 ans. L’historien Daniel Roche précise qu’« entre vingt et trente ans les femmes meurent un peu plus souvent que les hommes, à cause des maternités répétées ; entre quarante et cinquante ans, les hommes meurent bien plus souvent que les femmes, à cause du travail et des accidents. Partout les vieillards sont rares avant le XVIIIe siècle, et parmi quelques septuagénaires ou octogénaires chenus (les centenaires se comptent sur les doigts des deux mains : 42 à Lyon au XVIIIe siècle si les curés ne se sont pas trompés, et à Paris, n’oublions pas Fontenelle), les femmes sont majoritaires. On a donc assez peu d’occasions de voir un vieillard quitter une bonne vie comme le veut le mythe des ancêtres » [2].

On comprend que la Gazette de France s’intéresse de près à ces miraculés !

De Paris, le 1er may 1700
Monsieur Michel Antoine Baudrand prieur de Rouvre, et de Neufmarché, qui avoit composé plusieurs ouvrages de géographie, mourut en cette ville le 29 de ce mois.

De Paris, le 5 juin 1700
Antoine le Blanc maistre d’école du village d’Armantières, près d’Auchy, est mort au mois d’aoust de l’année dernière, âgé de cent hui ans.

Poncelet Noël, mort le mesme mois à Mainbressy, village du diocèse de Reims, âgé de cent quatre ans.

La veuve du sieur Romanet, bourgeois de Vienne en Dauphiné, y est morte en septembre, âgée de cent quatre ans.

Il est mort au village de Gahets, à une demie lieue de Bordeaus, un vigneron âgé de cent vingt-cinq ans, et au village de Génissac, à quatre lieues de la mesme ville, un habitant, âgé de cent sept ans et huit mois.

Antoinette de Labe est morte à Cassera, près de Leitoure, le 30 d’octobre, âgée de cent cinq ans.

Michel Saudrin du village de Bievre, près de Versailles, mort âgé de cent quatre ans.
Le sieur de la Valade prestre, est mort à Loudun, le 29 décembre, âgé de cent sept ans.

Le sieur de Sedre bourgeois de Saint-Bressou, à deux lieues de la ville de Ganges, mort dans le mesme mois, âgée de cent deux ans.

De Paris, le 9 octobre 1700
On a eu avis que Françoise Thierry femme de Nicolas d’Eriffay, vigneron, estoit morte dans la paroisse de Bellan à deux lieues de Chastillon sur Seine, âgée de cent trois ans et quelques mois, ayant travaillée à la dernière moisson avec beaucoup de force.

De Paris, le 13 novembre 1700
Françoise Bara, veuve de Rodolphe Rommet mourut à Bellesme au Perche, âgée de cent deux ans.

De Paris, le 29 octobre 1701

Voici la liste de quelques personnes qui sont mortes âgées de cent ans et plus, dont on a eu avis depuis quelques mois.

Le 1er octobre de l’année dernière le Père Paul Malherbe gardien des Cordeliers, mourut à Sezanne en Brie, âgé de cent ans.

Le 28, Antoine Huguier chanoine, mourut dans la même ville âgé de quatre vingt dix neuf ans.

Le 10, aussi du mois d’octobre, Jeanne Deflandesn, mourut à Savières, près de Chateauneuf en Thimarais, âgée de cent ans.

Le sieur de Laistre, mourut le 18 novembre, en cette ville, rue de la Ferronerie, âgé de cent deux ans.

Michelle Brehaude, mourut le 3 janvier dernier, dans la paroisse de St-Prix, près de cette ville, âgée de cent cinq ans
.
Jean Richart, mourut le 1er janvier dernier, à Savy, près de Chalons en Champagne, âgé de cent cinq ans.

Poncette Boniface veuve de Nicolas de la Croix, mourut le 12 mars à Reims, paroisse de Saint-Estienne, âgée de cent six ans.

Le 14 du mesme mois, Jean Davau mourut à Epeuille dans le Nivernois, âgé de cent deux ans, ayant veu trois siècles.

Le 28, Nicolas Flandre mourut à Esceuil la Montagne diocèse de Reims, âgé de près de cent un an.

Le 15, la dame de Tonancourt, mourut à trois lieues de Lisieux, âgée de cent huit ans.

Le 2 février, Jean Treny mourut à Lacharmie en Périgord, âgé de cent six ans.

Le 18 avril, dame Gabrielle Guillochon, veuve du sieur Pierre Brisson, seigneur de Champereau, mourut à Gemages près de Bellesme au Perche, âgé de cent & un an. Elle a laissé cent neveux ou nièces vivants.

Le 20 juin, Guillemette Dupré, mourut à Fecamp, âgée de cent trois ans et trois mois.

Le 15 août, Hubert Couture messager à pied de Lillers à Arras, mourut âgé de cent deux ans, ayant fait huit jours auparavant son voyage ordinaire  [3].

Comment la rédaction de la Gazette de France avait-elle connaissance de ces décès de centenaires ?

On sait que la Gazette disposait d’un réseau de correspondants dans toutes les grandes villes de l’Europe. Pour le royaume de France, les nouvelles et les informations remontaient jusqu’à Paris par l’intermédiaire des gazetiers, des correspondants provinciaux, et probablement des curés lettrés, sans doute lecteurs assidus du périodique qui était vendu essentiellement par abonnement [4]. Chaque numéro de la Gazette se terminait par l’indication de l’adresse du journal à Paris.

On peut supposer que certains curés envoyaient occasionnellement à la Gazette les nouvelles insolites de leur paroisse. Une aubaine pour les généalogistes et les historiens locaux ! ... et une source documentaire à découvrir d’urgence sur Gallica [5].

Note : Il serait sans doute intéressant (ou amusant) de vérifier dans les registres paroissiaux, lorsqu’ils sont disponibles, la véracité de ces décès mais aussi l’âge des centenaires mentionnés ci-dessus. Toutefois, il y a de fortes chances pour que les âges soient approximatifs comme c’est le cas pour Germain Tapin décédé en 1700. La Gazette lui donne 103 ans (voir ci-dessus) alors que le registre précise environ 104 ans :
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Registre paroissial de Nettancourt (Meuse), E dépôt 285 (21), 1693-1712, vue 95/286.

Il sera également bien difficile de retrouver les actes de baptême de ces centenaires. La tâche s’annonce ardue, nécessairement longue, et j’avoue que je n’ai eu ni la patience et ni la disponibilité de me lancer dans une telle épreuve... Mais si le cœur vous en dit... N’hésitez pas à me tenir informé de vos découvertes... Merci par avance...


[1On remarque l’imprécision sur l’âge du défunt, pourtant bien né en 1629.

[2Daniel Roche, Les Français et l’Ancien Régime, tome 2, culture et société, Paris, Armand Colin, 1991, p.158.

[3A 102 ans, être encore obligé de faire à pied une quarantaine de kilomètres pour porter des nouvelles nous donne une indication sur la triste condition sociale des personnes âgées au début du XVIIIe siècle.

[412 000 abonnés provinciaux en 1758 !

[5Où la collection est quasi complète de 1631 à 1792.

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15 Messages

  • Bonjour

    Je recherche des info sur mon grand père boidin jules
    désiré joseph qui à fait 14/18 et médailler de la croix
    guerre avec palmes et médaller du combattant peut hétre
    qu’il et dans la gazette il étai de bouvigny- boyeffles.

    Et bien sur, des recherches sur la ville de cuinchy les
    la bassée de la famille boidin de 1500 à 1750 ou des
    ouvrage sur la ville de cuinchy avant 1650.

    cordialement monsieur boidin.

    Répondre à ce message

    • Bonjour Monsieur,

      Il n’est pas possible que La Gazette de France ait parlé de votre grand-père : la période est bien trop récente !

      Par contre, vous pouvez retrouver sa fiche matricule si vous connaissez sa date et son lieu de naissance.
      Il a été recensé à l’âge de ses 20 ans et son parcours militaire a été au fil des années inscrit sur cette fiche.
      La plupart des départements ont numérisé ces documents et les ont mis en ligne.

      Cordialement.
      Michel Guironnet

      Répondre à ce message

  • L’un de vos ancêtres a-t-il eu les honneurs de la Gazette de France ? 17 décembre 2016 18:12, par Sylvie Cauche-Laouchez

    Bonjour,
    Antoinette des Homs de Favols est décédée en 1711 à l’âge de 111 ans. Voici l’article paru dans La Gazette :
    "Gazette de Paris, 1711 :

    « On a avis de Cahors du 31 du mois dernier, que Dame Antoinette Deshons (des Homs), veuve de Messire Samuel de Durfort, seigneur de Couserans, estoit morte depuis quelques jours, en son château de Cofoul (Caussoul), paroisse de Tourniac (Troniac), diocèse de Cahors, âgée de 111 ans. Elle estoit allée la veille de sa mort à pied à l’église, où elle fit une confession générale de ce qu’elle avait fait depuis l’âge de 5 ans, avec une mémoire admirable qu’elle avait toujours conservée, aussi bien que son bon sens. »

    On trouve son décès dans les BMS de Trognac (Saux) dans le Lot, le 4 avril 1711 :
    " Le 4 avril 1711 Noble antoinette Deshons veufve à feu noble / Samuel de Durefort, agée de 111 ans 10 jours et munie des / sacrements a été par nous sousigné inhumée dans notre église, en présence / d’ André Bosquet, et d’ Antoine Lasjoanies, ledit Bosquet avec nous sousigné /non ledit Lasjoanies pour ne scavoir en foy de quoy
    signé : Daudé curé.

    La précision du curé sur l’âge d’ Antoinette laisse à penser qu’il a vérifié son acte de naissance.
    Toutefois l’acte de naissance d’ Antoinette n’apparaît pas dans les BMS de Saux.

    Il existe bien un lieu-dit Caussoul dans la commune actuel de Saux.

    La famille des Homs de Favols (seigneurs de Tourniac) est originaire de Bias (47) où leur château est toujours visible. Je n’ai pas trouvé trace d’Antoinette dans cette paroisse, mais elle a épousé en 1res (?) noces un magistrat de Tournon en Agenais, Jean de Rattier, décédé avant 1658.

    Voilà ce qu’on peut trouver ... et sans doute plus encore en cherchant mieux, à partir d’une annonce de La Gazette de Paris de 1711.
    Amitiés à tous.
    Sylvie

    Répondre à ce message

  • On peut aussi beaucoup s’interroger sur cette dame dont aucune vérification n’a pu être faite sur le décès ou la naissance.
    Pourtant la gazette de 1786 du 15 août numéro 65 page 272 signale :
    Extrait d’une lettre du château de la Roque, du 8 août 1786. Ce château, lieu de la naissance du feu archevêque de Paris, vient d’être le théâtre d’une fête vraiment singulière et unique.
    L’abbé Prunis, prieur de Saint-Cyprien, censeur royal, assisté de son chapitre, a fait la cérémonie. Le sieur Maraval curé de l’endroit a prononcé un discours analogue aux circonstances.
    Monsieur le comte de Beaumont, maréchal-de-camp , commandant en Périgord, seigneur du lieu , à l’occasion du renouvellement de la cinquantième année de deux mariages Bernard Roye et Catherine Boissel et celui de Jean Marquaix avec Marie Tessier, auquel ont assisté cinquante enfants, petits-enfants, ou arrière-petits-enfants des vieux époux , a donné un repas, où était entre autres choses remarquable, une table de deux cent soixante-deux couverts, dont Marie Diudet, âgée de cent quinze ans, a fait les honneurs.
    Cette femme n’a jamais été malade ; lorsqu’elle est attaquée de quelque légère incommodité, elle boit de l’eau fraîche. Elle a fait, pour assister à la noce, un trajet de quatre lieues, tantôt à pied, tantôt sur la Dordogne en bateau ; lorsqu’elle s’est trouvée sur les terres de monsieur le comte de Beaumont, on l’a conduite dans une des voitures de ce seigneur, au son du tambour, des fifres et des hautbois, jusqu’au château de la Roque.

    Répondre à ce message

  • des grosses différences parfois : dont voici un exemple :
    Jean MALO. vu sur le bms de Bergerac
    Jean Malo âgé d’environ 59 ans a été enseveli le 1er mars 1741. Curé de la Madeleine à Bergerac.

    Quel écart ! Entre l’acte vu dans le BMS de Bergerac âgé de 59 ans et la publication du 22 juillet 1741 dans la Gazette où on le dit âgé de 107 ans.
    Réf Gallica Gazette 1741 22 Juillet page 348 (12/12).

    Répondre à ce message

  • Les décès de centenaires et + 1er novembre 2013 20:45, par PUYSSÉGUR Françoise

    Voici l’acte concernant le décès de Pierre MAMIN 11/11/1699 à l’âge de 107 ans visible sur le site en ligne des archives de la Gironde

    http://gael.gironde.fr/

    GENISSAC : Baptême ou naissance ; Mariage ; Sépulture ou décès 1692-1704 E DEPOT 2228 ; GG 2 ; page 60

    Pour le moment je n’ai pas trouvé trace de l’autre acte
    Cordialement

    Répondre à ce message

  • Bonsoir,

    Dans la Gazette du 5 juin 1700 est noté :
    « Antoinette de Labe est morte à Cassera, près de Leitoure, le 30 d’octobre, âgée de cent cinq ans »

    Je pense qu’il s’agit, pour Cassera, de Castéra-Verduzon, effectivement « près de Leitoure », c’est-à-dire Lectoure, ville du Gers. En gascon, la graphie est « Leitora » ce qui, phonétiquement, s’en approche beaucoup.

    Retrouver l’acte de sépulture d’Antoinette permettrait de confirmer cette hypothèse.

    A noter que « La Gazette de Lyon » de juin 1700 reprend à l’identique la liste des centenaires de « La Gazette de France » Qui a fait un « copier-coller » sur l’autre ?

    Cordialement
    Michel Guironnet

    mes articles publiés sur Histoire-Généalogie.com
    http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?auteur20

    Répondre à ce message

  • Bonjour ;

    Je viens de trouver à Gemages 61 le 18 avril 1700 le DC de Gabrielle Guillochon
    Gemages 61 EDPT 248_2_2
    BMS 1674-1699 1700-9
    vue 101/147
    mais dans cet acte le curé ne mentionne pas l’âge de la défunte !
    Il semble cpdt que ce soit bien elle "Gabrielle Guillochon veuve Pierre Brisson bourgeois de la ville de Bellesme

    en présence de Louis Chollet curé de la Chapelle Soef et de Pierre Boul prêtre de st-Germain- de - la-Coudre

    Bonne recherche pour les autres
    Crdt
    Odile

    Répondre à ce message

  • Pierre Pieton, décédé à Hautvillers (Marne) à l’âge de 117 ans (!) le 15 septembre 1695.

    Vérifiable dans les registres en ligne de Hautvillers, "Baptêmes, mariages, sépultures 1692-1703", sur http://archives.marne.fr/?id=recherche_guidee
    (vue 35)

    Répondre à ce message

  • nous avons eu un de RAGARU juge au Chatelet , anobli sous Louis XIV et résidant à Argenteuil . Vers 1750 . Aurait’il fait lobjet d’une publication ?
    Merci

    Répondre à ce message

  • Dans ma famille l’on dit que nous aurions une arrière arrière grand mère du côté paternel qui se serait appelée Laure GUY Ranon de Marcillac mariée à 17 ans et qui aurait été "dame de compagnie" de l’Impératrice Eugénie ?
    Je ne suis pas sûre du tout si le nom est exact. J’ai retrouvé une GUY Laure Jeanne Marie née le 28/02/1849 à Paris ou Versailles la première fois puisqu’elle a été mariée deux fois :
    BROUARD Modeste né le 18/10/1830 à Huisseau sur Cosson 41 et mort à Le Mans le 3/01/1871 (Franc tireur du Loir et Cher)
    PUISSANT Anselme Germaine (Marine Marchande). Tout cela pour vous dire que je ne vois pas de particule au nom de GUY Laure. Pourriez vous me renseigner , une de mes tantes me dit aussi qu’un arrière grand oncle du côté maternel BLANCHARD aurait été échanson sous NAPOLEON III ? Je ne sais pas si l’on peut trouver quelque chose et où ? Merci à vous. Bonne journée.

    Répondre à ce message

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