Entraide généalogique ou historique

La numérisation des Registres paroissiaux mis en ligne par les Archives de Niort a permis aux amoureux de l’histoire de découvrir pour certains de leurs ancêtre des destins étonnants dont le souvenir s’était totalement perdu. Ainsi mes cousins et moi, en explorant la lignée de chacun de nos grands- parents, après avoir eu la chance de les connaître tous les quatre, avons trouvé et mis en forme pour nos petits-enfants une multitude d’informations absolument ignorées dans nos familles.

Ma première intention était simplement de partager avec les lecteurs de la gazette le plaisir que m’a procuré la lecture d’un acte : ce n’est pas tout le monde qui se nomme « constitutionnel » et qui bénéficie d’un tel parrainage. Ma curiosité m’a poussée à en savoir plus sur le héros de la fête et ses parents. Et c’est là que j’en appelle à la sagacité des fins limiers de la gazette.

J’aimerais vous soumettre un petit sujet de réflexion, auquel je ne trouve pas de réponse satisfaisante. A St Denis (La Réunion), le 22 janvier 1885, Françoise Salvan, 30 ans, veuve de Pierre Lucien, déclare la naissance de Emmanuel, fils jumeau de sa sœur de 18 ans, Dorothée. La petite jumelle a vécu 8 jours. Sur l’acte de décès, la maman est désignée “demoiselle”. Or, il se trouve que Pierre LUCIEN a épousé Marie Dorothée, et non pas Françoise. Qui est vraiment la mère de cet enfant ?

J’ai des difficultés à vérifier l’identité d’un de mes ancêtres, le futur époux. C’est une énigme que je reprends régulièrement mais je ne trouve toujours pas de réponses. Sa commune de naissance, selon les historiens, était communément appelée durant cette période St Jean des Voleurs et où il était aisé d’obtenir de faux papiers. ​Cet ancêtre avait-il quelque chose à cacher ?​ peut-être mais quoi ?

Mon arrière, arrière grand-père s’appelle Pierre La Liberté. Il est né le 03 février 1792 à Ceaucé dans le département de la Mayenne. Aujourd’hui, son village a été annexé avec le « Ceaucé » du département voisin de l’Orne. Il a été déclaré illégitime. Donc, le père de Pierre est inconnu. En fait, il s’agit de trouver pourquoi né de père inconnu, il ne s’appelle pas comme sa mère et son frère « Domagné », mais « La Liberté ». D’autant plus que ce nom va changer sans arrêt, selon les actes.

Clément Beauregard et Jeanne Michelon se sont mariés 2 fois en l’espace de 4 mois. Qu’a-t-il donc pu se passer entre mars et juillet pour que le mariage soit célébré une deuxième fois ? Le premier mariage a-t-il pu être annulé ou invalidé, et si oui, quelles pourraient en être les raisons ? Et si tel est le cas, pourquoi n’en est-il fait aucune mention dans l’acte de St Aulaye ?

Que ce soit du côté de mon père ou de ma mère, nous connaissons assez bien nos ancêtres depuis au moins cinq cents ans. De génération en génération, des documents et des objets nous ont été transmis qui nous font même mieux connaître nos ancêtres que de simples actes d’état civil. Cela est valable pour nous qui disposons de ces preuves matérielles. Mais d’autres descendants de nos ascendants, cousins éloignés, peuvent s’interroger sur la sincérité et la justesse de ces sources. Surtout lorsqu’une énigme demeure.

Serait-il possible d’avoir un éclaircissement sur le terme suivant qui touche aux métiers, trouvé dans les documents fiscaux d’un village savoyard au milieu du XVIII^e siècle : le terme de "begattier" cité comme une des "industries et activités" des habitants, dans une liste des paiements de la capitation établie en 1743 par un curé de village.

Georges Louis Gallié, mon arrière grand-père, dit « Alphonse », dans certains actes, est né à Sommières, département du Gard, le 17 mars 1856. Le 13 janvier 1880, il épouse à Nîmes, LEMASSON Augustine Aimée, fille de Jean Baptiste LEMASSON, porcelainier. Il était bijoutier. Après son divorce, le 8 octobre 1890, on perd sa trace... pour le retrouver peut-être en Allemagne. Qui pourra m’aider à le retrouver ?

Appoline GRIVEL sa fille, est née à la Cluse-et-Mijoux (Doubs) à l’Auberge Frambourg, lors d’un déplacement de ses parents, son père Antoine travaillait au chemin de fer de ce même lieu. D’après la mairie de la Cluse-et-Mijoux, lettre du 14 mars 1997 qui m’adressait l’acte de naissance d’Appoline : « Aucune trace de cette famille à la Cluse-et-Mijoux après 1860 »...