Nous avons pu retracer la carrière de la plupart des médecins de cette association, mais manquons encore d’informations sur le parcours de certains qui ont probablement exercé dans d’autres départements. Nous venons faire appel à votre aide concernant :
1. Etienne Marchand, « médecin docteur » résidant au bourg de Saint-Germain-Lespinasse (42) selon l’extrait de recensement de 1846 ci-joint (AD42- recensement 1846 p5/18). Ce recensement est la seule information que nous ayons et laisse à penser qu’Etienne serait né vers 1812, fils de Joseph également « médecin docteur » et né vers 1769. Nous n’avons trouvé aucun document orientant vers son lieu de naissance, sa faculté d’étude, le sujet de sa thèse, ses lieux successifs d’exercice professionnel, un possible mariage et ses lieu et date de décès…
2. Antoine Baraduc, né le 02/11/1807 à Clermont-Ferrand (63) « docteur en médecine » exerçait à St-Symphorien-de-Lay (42) puis est parti à Chécy dans le Loiret (45) et il s’est marié le 27/07/1854 (à St-Jean-de-la-Ruelle 45) avec Camille Constance FILET ; nous perdons alors sa trace. Nous ne savons pas dans quelle faculté il a été diplômé et n’avons pas trouvé d’information sur son sujet de thèse. Son frère Hippolyte (1814 Clermont-Ferrand -1893 Condat (15)), ancien interne de Paris qui a exercé à Paris puis à Condat, était également présent au congrès de 1845.
3. Claude Marie Constantin Malfroy, né le 01/03/1801 à St-Claude (39) « médecin » a exercé à Charlieu (42) notamment de 1845 à 1851 puis à Roanne en 1854 et il est décédé dans la commune voisine de Briennon (42) le 14/05/1854. Nous ignorons tout de son lieu de formation et de son installation initiale.
4. Nous recherchons enfin la faculté de formation, le sujet de thèse et le parcours médical initial de Jean-François Monon né le 24/07/1816 à Néronde (42), « docteur médecin » qui a exercé à St-Just-la-Pendue (42) notamment entre 1846 et 1859, puis dans sa ville natale Néronde de 1860 jusqu’à sa mort en 1868.
Merci d’avance à ceux qui, habitant notamment dans d’autres départements (cf. facultés de médecine à Paris, Montpellier et Strasbourg, Loiret etc…), pourraient apporter une aide précieuse pour notre recherche.