Les contrats de mariage dressés par les notaires nous donnent une idée de la vie quotidienne et du niveau de vie de nos ancêtres. Mais notre curiosité reste quelques fois sur sa faim. Dans ceux du 17e siècle dressés par les notaires du Nivernais, je rencontre très souvent après le montant de la somme que la mariée apportera en dot, après les habituels éléments de literie, les aulnes de toile et les serviettes, un certain poids d’étain en œuvre qui m’intrigue.