Il y a quelques années, j’ai découvert la généalogie sur internet. Mais tout n’était pas encore accessible. En 2009, je me suis rendue aux archives de Paris pour consulter des documents qui, à l’époque, n’étaient pas encore en ligne.
Je décidais de faire quelques recherches sur une branche parisienne qui m’était fort mal connue : il s’agissait de trouver les origines des parents de mon arrière grand-mère, Mathilde Galli.
Les souvenirs familiaux à ce sujet étaient rares : Mathilde était la fille de Pierre Galli, joaillier, et de Madeleine Claudine Blanche Rhod, « polisseuse sur or », à l’origine ouvrière chez Pierre Galli et son père Paul. De santé très fragile, elle était décédée à l’âge de 40 ans en 1899.
- Madeleine Claudine Blanche Rhod
Née de mère inconnue
Dans un premier temps, je trouvai l’acte de mariage de Pierre et de Madeleine le 15 janvier 1880 dans les archives parisiennes. C’est alors que je découvris avec surprise que Madeleine était « fille mineure de Victor Charles Rhod (…) et de mère inconnue ». Comment cela était-il possible ? Qui était la mère ?
- Mariage Pierre Galli / Madeleine Rhod à Paris 11e le 15 janvier 1880 (extrait)
« Acte de mariage (à Paris 11e) de Jean Pierre Antoine Charles Maurice Galli, bijoutier (…) et de Madeleine Claudine Blanche Rhod, polisseuse sur or, demeurant à Paris rue Gobert, 12, chez son père, née à Paris le 16 février 1859, fille mineure de Victor Charles Antoine Rhod, contre-maître en eau de Seltz, présent et consentant et de mère inconnue. » |
L’acte "reconstitué" de naissance de Madeleine, du 17 février 1859 à Paris 11e, indique qu’elle est « née la veille à une heure du matin rue de Cléry 31, fille de père et mère non désignés...sur les présentation et déclaration faites...par le Sieur Pierre Eugène Duval (46 ans) accoucheur demeurant rue de Cléry 31. »
Sa mère a donc accouché au domicile de l’accoucheur. Aurait-elle abandonné Madeleine ? Fut -elle recueillie et élevée par Victor Charles ?
Grâce à l’aide d’une correspondante, j’ai découvert alors l’acte de reconnaissance de Madeleine par son père, à Paris 10e arrondissement :
le 29 janvier 1870 « (…) a comparu Victor Charles Antoine Rhod, âgé de 32 ans, fontainier quai Valmy 129, lequel nous a déclaré reconnaître pour sa fille Madeleine Claudine, du sexe féminin, née à Paris le 16 février 1859, enregistrée le lendemain à la mairie de l’ancien 5e arrondissement comme fille de père et mère inconnus, en présence de Jean-Marie Durafort (43 ans) négociant rue de la Douane, 24 et de Jean Eugène Béché âgé de 34 ans, employé rue de Puebla, 27, qui ont signé après lecture »
En dessous figurent les actes de reconnaissance de Julienne Berthe ; née le 10 décembre 1862 à Paris 10e ; et de Gaston Augustin ; né le 15 décembre 1865 à Paris 11e ; sœur et frère cadets de Madeleine, avec les mêmes témoins [1].
Mais la mère n’est toujours pas nommée… Pourquoi une telle situation familiale ?
L’enquête continue...et Léon apparait !
En enquêtant sur ce Charles Rhod, j’ai pu reconstituer une partie de l’histoire :
Céline Aglaé Chemin, née le 12 (ou le 14) janvier 1828 à Neufchatel, en "Seine Inférieure" [2]avait épousé le 4 mars 1848 à Paris 11e Léon Antoine Gourdon, "fondeur en cuivre", qui travaillait dans le milieu des fontainiers. Les jeunes mariés habitaient alors tous deux au N° 18 de la rue Fontaine au Roi. Céline avait eu de Léon une première fille, Joséphine, née le 11 décembre 1848 à Paris.
Malheureusement leur acte de mariage a été détruit dans l’incendie de l’Hôtel de Ville de Paris pendant la Commune. Malgré tout, deux "fiches" de l’état-civil "reconstitué" et l’acte de mariage "reconstitué" ; [3] vont nous en apprendre un peu plus.
Outre sa profession et son adresse, nous n’avions que les noms et prénoms de ses parents : René Joseph Gourdon, déjà décédé en 1848, et Jeanne Cadou. Les actes en ligne sur Internet [4] nous ont permis de retrouver ce couple : Léon Antoine Gourdon est né le 29 mars 1823 à Nantes.
Ses parents se sont mariés à Nantes le 27 avril 1808 et ont eu 8 enfants entre 1811 et 1825. Léon Antoine est le 6e enfant.
Le père, René Joseph, meurt noyé à Nantes le 4 février 1829 ; sa veuve Jeanne Cadou lui survivra jusqu’au 20 décembre 1870. Elle marie tous ses enfants à Nantes. Hormis Léon, bien sûr, qui n’est jamais indiqué dans les actes
"Fondeur fontainier" et inventeur
Dans les annuaires parisiens est répertorié ; entre 1851 et 1855 au 3 rue des Gravilliers, puis au 18 rue Faubourg du Temple à partir de 1856 et jusqu’en 1858 ; un Léon Gourdon qui exerce la profession de "fondeur fontainier"ou de "fontainier". Dans la rubrique "fabricants de robinets", on trouve que ce Léon est l’inventeur d’un nouveau système de robinet [5].
- "Annuaire général..." (1851)
Dans le "Catalogue des brevets d’invention..." sont indiqués à son nom deux brevets d’invention en 1852 et 1853.
- Brevet d’invention (1852)
- Brevet d’invention (1853)
Est-ce bien "notre" Léon ? Un document va bientôt nous en apporter la preuve.
Mère et filles abandonnées
Quelques années après la naissance de Joséphine, Céline était enceinte quand Léon disparut on ne sait où. Antoinette, sa seconde fille née à Paris le 13 juin 1857, fut reconnue comme la fille de Léon mais Céline se retrouvait abandonnée avec ses deux enfants.
Fontainier né à Tonnerre, dans l’Yonne, le 16 mars 1837, Victor Charles Antoine Rhod avait fait la connaissance de Céline [6].
Il a dû pouvoir la « réconforter » au point que Céline fut enceinte de la future Madeleine en 1859. Mais elle était toujours mariée à Léon, le disparu, et si elle avait reconnu l’enfant, Léon aurait été considéré comme le père. Il valait mieux que les parents ne soient pas « dénommés ».
Madeleine fut néanmoins élevée par ses parents qui lui donnèrent plus tard une sœur, Berthe, et un frère, Gaston, déclarés nés de parents inconnus pour les mêmes raisons.
Joséphine, la fille aînée, se marie
En l’absence de son père Léon, qui ne pouvait donc pas donner son consentement, de lourdes démarches administratives ont été menées pour qu’elle puisse être autorisée à épouser Jean-Eugène Béché.
Le 30 juillet 1868, Joséphine, "piqueuse de bottines", née le 11 décembre 1848 à Paris, "y demeurant quai Valmy 219 avec sa mère, fille mineure de Léon Antoine Gourdon ; absent, ainsi qu’il résulte d’un acte de notoriété reçu par Monsieur le Juge de Paix du onzième arrondissement de Paris le huit juillet couru ; et de Célestine Aglaë Chemin son épouse, piqueuse de bottines, présente et consentante" épouse Jean Eugène Béché "employé de commerce" né à Paris le 25 janvier 1836 "y demeurant quai Valmy 219" [7]
Ma correspondante en 2009 a retrouvé l’acte de notoriété du 8 juillet 1868 concernant la filiation de Joséphine Gourdon. Voici le passage important :
« (…) Le Sr Léon Antoine Gourdon qui demeurait à Paris Faubourg du Temple n° 18, sur cet arrondissement, a quitté le domicile conjugal en mars 1857 et toutes les démarches que la dame sa mère et elle (= Céline et Joséphine) ont faites et fait faire pour avoir de ses nouvelles et savoir le lieu de ses nouveaux domicile et résidence sont totalement restées infructueuses, en sorte qu’elles ignorent complètement s’il existe encore ou s’il est décédé. »
Avant même son mariage, Jean-Eugène habite avec Joséphine et sa mère. Il figure parmi les témoins quand Victor Charles, en février 1870, reconnaît officiellement ses trois enfants.
Cette reconnaissance a sans doute été initiée par Joséphine pour protéger ses jeunes frère et sœurs. Preuve de cet attachement : c’est en utilisant les prénoms de ces derniers qu’elle nommera ses propres enfants [8]
Les témoins du mariage de Joséphine et de Jean Eugène sont :
- "Jean Marie Durafort, fabricant d’eaux gazeuses", 41 ans, domicilié au 24, rue de la Douane
- François Dieudonné Boudet, "employé", 33 ans, "demeurant même maison"
- "Eugène Jean Baptiste Thieblemont, fabricant de ressorts", 41 ans, 154 rue Oberkampf
- "Julien François Legoix, chapelier", 32 ans, 15 rue de Berlin
Le fabricant Durafort
- Victor Charles Rhod est "contremaitre en eau de Seltz" et habite en 1880 au 12 rue Gobert à Paris...c’est l’adresse d’une des usines de Mr Durafort.
- En 1897, Victor Charles habite 180 Boulevard Voltaire à Paris...pas loin du tout du 162 Bd Voltaire où est installée l’activité de Mr Durafort.
Victor Charles Rhod est très probablement employé par Mr Durafort. Mais plus qu’un simple "patron", le fabricant "d’eau de Seltz" Jean-Marie Durafort, est un proche de sa famille.
C’est un des témoins au mariage de Joséphine, puis de celui de Charles. Il est également témoin aux mariages d’Antoinette, la soeur de Joséphine, et de Julienne Berthe, la soeur de Madeleine Claudine Blanche.
Il l’est également, nous l’avons vu, pour les actes de reconnaissances des trois enfants de Charles.
Né à Bourg en Bresse le 8 avril 1826 [9],Jean Marie Durafort épouse le 12 juin 1860 à Paris 3e "Mélie Simion". Il est "fabricant d’eau de Seltz" et habite 18, Impasse de la Pompe ! [10]
- Publicité de Durafort (1864)
"Réclame" parue en 1864 dans le "Nouveau guide des voyageurs, promeneurs, baigneurs, touristes en France et à l’étranger" Indicateur Bracke. Les adresses à Paris de l’ "Etablissement du château d’eau" sont "24 rue de la Douane" et "169 quai Valmy". Le quai Valmy est l’adresse en 1870, au numéro 129, de Victor Charles Antoine Rhod, et au numéro 219, celle de Jean Eugène Béché lorsqu’il se marie en 1868. |
Très entreprenant, il développe considérablement son industrie, obtenant de nombreuses Médailles d’Or dans les expositions en France comme à l’étranger. En août 1893, il s’associe avec son fils Victor Ernest et ils créent la Société Durafort et fils, lui apportant, en dot de son mariage avec Esther Lefebvre, une partie des actifs de son entreprise [11].
Jean Marie Durafort décède à 71 ans, le 5 mars 1898, dans son domicile du Boulevard Voltaire. Ses obsèques ont lieu le 8 mars "en l’église Sainte Marguerite, sa paroisse" et il est inhumé au Père Lachaise [12].
- 1870 publicité pour l’entreprise Durafort
Deux mariages...mais pas d’enterrement !
Charles et Céline peuvent annoncer officiellement cette fois-ci la naissance de leur 4e enfant, Eugène né le 8 décembre 1870, qui ne survivra malheureusement que quelque mois, mort le 22 août 1871.
Il semble donc qu’ils aient alors à cette date la confirmation du décès de Léon, le premier mari de Céline.
Le 25 janvier 1873, ils se marient et mentionnent la mort de ce dernier :
- Extrait de l’acte de mariage de 1873
« Mariage de Victor Charles Antoine Rhod (…) et de Céline Aglaé Chemin (…) veuve de Léon Antoine Gourdon décédé le douze mai mil huit cent soixante huit » sans autre précision sur le lieu !
Il est pourtant précisé que dans les pièces annexes à ce mariage figure l’acte de décès du 1er mari de Céline. Il doit bien être mort et enregistré quelque part. Ce n’est donc pas une date donnée par défaut après une période d’absence et un jugement par un tribunal d’instance.
"La contractante nous a attesté par serment, ainsi que les témoins, que sa mère (Marie Férond) était décédée à Paris avant mil huit cent soixante, et qu’elle ignore le lieu de décès et celui du dernier domicile de ses aïeux."
Les témoins du mariage de Victor Charles et de Céline Aglaë sont :
- Jean Marie Durafort, "fabricant d’eaux de Seltz", 46 ans, toujours domicilié au 24, rue de la Douane
- Constant Margerie "contrôleur des eaux", 38 ans, 133 rue de Bagnolet
- "Chemin Louis Stanislas, tourneur sur métaux, âgé de trente cinq ans, 129 quai de Valmy, frère de l’épouse"
- Eugène Thieblemont, "fabricant de ressorts", 45 ans, maintenant au 14 impasse Godelet
Le frère cadet de la "jeune mariée", Louis Stanislas Chemin, est né à Paris (ancien 6e arrondissement) le 20 novembre 1838. Ses parents sont donc venus dans la Capitale après la naissance d’Adolphe Désiré Eugène, un autre frère, à Nantes le 30 mai 1832 [13]. Est-ce à Nantes que Céline rencontre Léon ? Louis Stanislas décède quelques mois après le mariage de sa soeur, le 13 mai 1873. "Fontainier", célibataire, il habite 63, rue Saint Maur. Les déclarants en mairie sont Jean Béché, employé, 37 ans, "neveu du défunt" domicilié à la même adresse (c’est le mari de Joséphine Gourdon) et Charles Rhod, fontainier, 36 ans, 129, quai Valmy, "beau-frère du défunt" (le "jeune marié" de janvier) |
Antoinette Louise, la soeur de Joséphine, épouse six ans plus tard, le 23 octobre 1879 à Paris 11e, Louis Ernest Bachellier. "Employé, demeurant rue de la Goutte d’Or, 31". Louis Ernest est né à Méru dans l’Oise le 26 mars 1854.
Dans l’acte de mariage, il est bien précisé qu’ "Antoinette Louise Gourdon, polisseuse, demeurant à Paris, rue Gobert, 12, chez sa mère" est née à Paris le 13 juin 1857 "fille de Léon Antoine Gourdon, décédé, et de Céline Aglaë Chemin, sa veuve, sans profession"
Rappelons qu’en juin 1857, Léon a déjà quitté le domicile conjugal depuis mars.
Une mention dans l’acte intrigue plus qu’elle n’explique :
- 1879 mariage Bachellier Gourdon (extrait)
"Les pièces produites...sont les actes de naissance des futurs, décès du père de la future" suivi d’un passage rayé : "mariage des père et mère de la future" remplacé par "deuxième mariage de la mère de la future servant à rectifier l’acte de décès de son père."
Leurs témoins sont :
- "Jean Marie Durafort, fabricant d’eaux gazeuses" 53 ans, installé depuis un an 162, Boulevard Voltaire. Il est dit "ami de l’épouse"
- "Auguste Louis Laumonnier" lui aussi "fabricant d’eaux gazeuses", 26 ans, 64 rue Fontaine au Roi, "ami de l’époux"
- "Paul François Azelart, loueur de voitures", 55 ans, 63 rue Ordener, "ami de l’époux"
- "Victor Charles Antoine Rhod, fontainier", 42 ans, 12 rue Gobert, "beau-père de la mariée"
La mort bien mystérieuse de Léon
Une à une, toutes les tables de décès de Paris entre 1860 et 1872 sur les 20 arrondissements, ont été dépouillées pour tenter de trouver le décès de Léon Antoine Gourdon. Chou blanc total ! A priori, il n’est pas décédé à Paris.
Il est peut être retourné "au pays"...mais ce n’est qu’une hypothèse. En tous cas, les recherches du côté de Nantes n’ont rien donné !
Morts de Céline et de Blanche
Aucune correction ou officialisation ne semble avoir été faite pour reconnaître que Céline était bien la mère des trois enfants de Charles Rhod qui sont tous désignés dans leur acte de mariage par la formule "de mère inconnue".
Céline meurt le 27 février 1897. Sur l’acte de décès de "Céline Chemin, femme Rhod" rédigé le lendemain à Paris 11e apparaît en témoin Gaston Rhod, présenté sur le document comme son fils :
« (…) Acte de décès de Céline Chemin, âgée de 69 ans, ménagère (…) épouse de Charles Antoine Rhod, âgé de 59 ans, fontainier (…) Sur la déclaration de Gaston Rhod, âgé de trente un ans, ajusteur, demeurant Boulevard Voltaire 180, fils de la défunte (…) » Elle sera incinérée au Père Lachaise le 1er mars.
Sa fille Madeleine la suit dans la tombe deux ans plus tard.
Le 3 juin 1899, en mairie du 3e arrondissement de Paris, est rédigé l’acte de décès de "Madeleine Claudine Blanche Rhod", 40 ans, sans profession, "décédée en son domicile rue Turbigo 45, hier soir, à onze heures et demie, fille de Victor Charles Antoine Rhod", 62 ans, "rentier rue du Belair, 24 au Perreux (Seine) et de mère non dénommée ; épouse de Jean Pierre Antoine Charles Marie Galli", 44 ans, "bijoutier rue Turbigo 45."
- Faire-part de décès de Madeleine Rhod
- Madeleine Blanche Rhod, épouse de Pierre Galli,
est inhumée le 5 juin 1899 au Père Lachaise.
Un peu de psychologie pour terminer
Une petite remarque à propos du couple Charles Rhod / Céline Chemin : Charles avait à peu près dix ans de moins que Céline et cette différence d’âge me paraissait peu habituelle.
J’ai découvert il y a quelque temps que Louis Victor Rhod, le père de Charles, avait quitté Nicole Choupe, la mère de ce dernier sans doute depuis une assez longue période. Il n’apparaît pas dans l’acte de décès de cette dernière en 1866 et, lors de son mariage avec Céline en 1873, Charles précise qu’il ignore ce qu’est devenu son père.
Filae m’a permis de le retrouver par hasard : il s’était installé seul, semble-t-il, à Vraincourt en Haute Marne, où il est décédé le 3 septembre 1877. Les témoins du décès savaient seulement qu’il était marié mais ignoraient tout de lui...
Charles et sa soeur ont donc été abandonnés avec leur mère par leur père qu’ils n’ont jamais retrouvé apparemment. Et je pense que l’abandon par Léon de sa femme et de ses filles a dû rappeler quelques souvenirs à Charles.
Bref, on peut se demander si cela n’explique pas l’attachement de son couple malgré la différence d’âge. Cela réjouirait sans doute le Dr Freud !
Pour en savoir plus, un extrait de mon arbre sur geneanet.
Céline Aglaé Chemin 1828-1897
De son mariage en 1848 avec Léon Antoine Gourdon 1823 †1868
Deux enfants :
- Joséphine Désirée Gourdon 1848-1911 mariée en 1868 avec Jean-Eugène Béché (né en 1836)
- Antoinette-Louise Gourdon 1857 -mariée en 1879 avec Louis Ernest Bachellier
(né en 1854)
De son mariage en 1873 avec Victor Charles Antoine Rhod 1837-1908
Quatre enfants :
- Madeleine Claudine Blanche Rhod 1859-1899 mariée en 1880 avec Pierre Galli 1854-1912
- Julienne Berthe Rhod 1862- mariée en 1885 avec Jean Alphonse Pierrot
- Gaston Augustin Rhod 1865-1907 marié en 1890 avec Catherine Goubert
- Eugène Charles Georges Rhod 1870-1871