« Il existait plus de dix mille prêtres mariés, qui, entraînés par le vertige du temps, ou poussés même par la terreur, avaient cherché dans le mariage ; les uns la satisfaction de passions qu’ils n’avaient pas su contenir ; les autres une abjuration qui les sauvât de l’échafaud. Ils étaient époux, pères de familles nombreuses, et flétris par le préjugé public, tant qu’on ne leur procurait pas le pardon de l’Église. »