La photo des cinq filles de Jean Batiste Mondon, de Feurs dans la Loire (42), après le décès de leur mère Marie Joséphine Bietrix en 1907.
Elle sont devenues Mesdames Fessy, Bechetoille, Pichot, Rérolle, Richard.
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Accueil > Album photo > Galerie d’ancêtres
Dernier ajout : le 7 novembre 2020.
La photo des cinq filles de Jean Batiste Mondon, de Feurs dans la Loire (42), après le décès de leur mère Marie Joséphine Bietrix en 1907.
Elle sont devenues Mesdames Fessy, Bechetoille, Pichot, Rérolle, Richard.
On reconnaît tout en haut à droite mon grand-père Auguste, à sa gauche Marie ma grand-mère maternelle, à l’extrême gauche ma future mère Henriette (floue) à son coté mon oncle Raymond, sur le même rang tout au bout à droite mon futur père Paul.
Assis en bas à gauche l’Antoine mon bisaïeul, à droite de la mariée Henri Martin son père à son coté sa femme ma grand tante Marie.
Jean, né à Saint-Point (Saône et Loire) le 21 avril 1874, soldat au 334e régiment d’infanterie, est tué à la guerre le 6 mai 1915 dans les Vosges.
Il habite alors à Coublanc (entre Charlieu et Chauffailles), marié depuis le 13 novembre 1903 avec Julie Grapeloup (née le 8 juillet 1875), avec qui il pose sur cette photo prise au début du siècle.
Voir sa fiche très complète en cliquant sur le Pdf à son nom sur le site de Coublanc 71 dans les pages consacrées aux Morts pour la France de la (…)
Adieux des Agents Forestiers de la Haute-Saône à M Perrin, conservateur
(Vesoul, 15 juin 1910).
Sur la photo :
Dumont, De Larminat, H. Perrin, Bettend Vautrin, Baudement, Roux, Gérard, Decaux Guittard, Humbert, Batho, Kornprobst, E. Perrin (assis), Jacquet, De Belenet, Lallemand. En médaillon : F. Truchet.
(de gauche à droite) Marcel Bordot (cousin germain de notre grand-mère), Marie Augustine Faucournier épouse Bordot (tante de notre grand-mère), Paul Emile Faucournier ? (grand-père de notre grand-mère), Henriette Prétot épouse Faucournier et Paul Auguste Faucournier (nos arrières grand-parents).
Photo aimablement communiquée par C. Poinsot.
Nous sommes sans doute quelques années avant la Grande Guerre... La famille Benas s’est mise sur son 31 ! Pourquoi ? Peut-être parce que ce n’est pas tous les jours que le photographe passe à cette époque ! Peut-être ont-ils demandé à celui-ci de « leur tirer le portrait » et, ayant pris rendez vous pour le cliché (pensons au temps de pose plutôt long), ils se sont mis « beaux ». Mais peut-être est-ce à l’occasion d’une réunion de famille autour des grands parents ?
Ce que je sais, c’est (…)
Photo prise lors d’une période d’exercices dans le 1er Régiment du Génie, Cie 7/4, du 5 au 26 juillet 1919.
Marcel (classe 1906, Langres 552), fut affecté au 1er groupe d’aérostation, 39e compagnie automobile d’Aérostiers de campagne du 4 août 1914 au 27 janvier 1919.
Sergent le 17 juin 1915.
Suite à un exercice de tir à la cible, au fusil, en 1909, il fut classé 11e.
En récompense, il reçut un cor de chasse brodé or (sur la manche gauche de la veste).
Sur la manche droite de la (…)
Eglantine et Honoré habitent La Crèche, un petit village des deux Sèvres. C’est une famille aisée, famille d’agriculteurs, famille très croyante, protestants convaincus.
Eglantine, née en 1865, a réussi son brevet supérieur ; Elle et Honoré prendront parti pour le capitaine Dreyfus et, même après que l’innocence de Dreyfus soit reconnue, le couple sera victime d’une certaine exclusion.
Leur fils, Georges, militaire de carrière, est en 1918 à Dakar. Sa femme, Véra vient de donner (…)
Né en 1850 à Labâtie d’Andaure (07), il est le fils de Jean-Pierre Blache et de Jeanne Boissy.
Son père le déclare à l’état civil deux jours après sa naissance à ... quatre heures du matin !
En 1882, il se marie avec Marie-Philomène Guironnet, tandis que son frère épouse la soeur de Marie-Philomène. Il exerce la profession de cultivateur et sa femme est ménagère. Deux enfants naîtront de cette union : Marie-Philomène en 1885 et Louis en 1888, tous deux nés à Nozières (07).
Entre 1888 (…)
Nous sommes en 1926, au 91 boulevard de la Boissière à Montreuil sous Bois.
De gauche à droite la marchande de couleur Marie, derrière au balai sa fille aînée Renée, le chien de la maison, au centre la fille cadette Henriette, de l’autre côté du poteau le maître coloriste Antoine Monange, assise une amie de la famille, à gauche debout Paul le fils aîné.
On se croirait dans un film de Chaplin n’est-ce pas ?
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