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L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles

Le jeudi 22 janvier 2015, par Michel Waller Gelabert

L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles a fait l’objet de nombreuses études et publications. Ils se sont installés en France et dans une moindre mesure en Allemagne et en Belgique en ouvrant des commerces de détail de fruits, parfois un café, un restaurant. Ils ont profité des liens familiaux avec les pionniers de ce mouvement.. Tous n’ont pas fait fortune mais cette diaspora a été très active et de nombreux Majorquins ont adopté leur nouvelle patrie. Certains exercent toujours cette activité professionnelle, la plupart ayant évolué vers le commerce de gros dans des entreprises familiales ou en intégrant des grands groupes de distribution. D’autres ont choisi un métier nouveau exercé dans le pays d’adoption, mais certains ont choisi un retour définitif au pays d’origine.

Prologue : les commerces de détail de Majorquins

Mais aujourd’hui, une question se pose : subsiste-t-il encore des magasins de détail tenus par des personnes originaires de Majorque, poursuivant ainsi une tradition commerçante plus que centenaire ?

J’ai posé la question aux membres de notre Association “Francavalldesoller” qui comporte évidemment de nombreuses personnes concernées par cette recherche.

J’ai ainsi obtenu quelques références à exploiter : Arbona à Châteauroux, Castanyer et Béguin à Issoudun, Calatayud à La Roche sur Yon...

Une autre méthode d’investigation consiste à utiliser les ressources d’Internet dont les moteurs de recherche sont d’une grande efficacité. Une de mes tentatives a été couronnée de succès : j’ai simplement utilisé des intitulés imaginaires mais plausibles d’enseignes de magasins. Parmi mes élucubrations j’avais choisi “Aux Produits d’Espagne”.

J’ai ainsi trouvé des commerces essentiellement tenus par des Espagnols du continent, Gomez, Hernandez, etc, également identifiables par la nature des spécialités vendues. Mais à Vendôme (Loir-et-Cher) j’ai trouvé un certain Andres Bernat qui tient une épicerie fine “Aux Produits d’Espagne”.

Sur mon écran, la boutique est apparue sur de nombreux sites web, rubriques diverses, municipales, articles de la presse locale, “Le Petit Vendômois”, “La Nouvelle République” ainsi que sur d’autres sites de tourisme et d’informations. Me rendant à Vendôme en juin 2014, j’ai rencontré André Bernat. Au cours de nos entretiens il m’a confié des documents de famille et des articles de presse. L’hebdomadaire “Veu de Soller” a publié le 14 mars 2003 un article intitulé “”Cent anys de comerç al cor de Francia” consacré à la famille Bernat. Compte tenu des nombreuses informations disponibles sur cette famille et son commerce, il y a matière à rédiger un historique de cette saga exemplaire. Partant d’une excellente interview réalisée à l’occasion du centenaire de la boutique “Aux Produits d’Espagne” par un animateur local d’association culturelle, Jacques Burlaud, j’ai simplement retranscrit le texte, avec des illustrations, quelques modifications et en y rajoutant beaucoup d’informations complémentaires fournies par André et sa sœur Francisca.

“Aux Produits d’Espagne”

Au cœur de Vendôme, au milieu d’une zone piétonnière, au 35 de la rue du Change, se trouve le magasin de la famille Bernat “Aux Produits d’Espagne”, l’un des commerces les plus célèbres de la cité, si l’on en juge par le nombre d’articles de presse et de reportages qu’il a suscités. Il est vrai que derrière une façade délicieusement vieillotte et un sympathique fatras de caissettes et de carton installés sur la rue, se cache une véritable caverne d’Ali Baba aux fabuleux trésors.

Il suffit d’ouvrir la porte pour que le charme agisse. Il règne dans la boutique une étrange lumière faite d’une infinie palette de tons chauds et de douce pénombre. Les murs disparaissent derrière un empilement de boîtes, de paquets et surtout de bouteille de vins et d’alcools dont la robe sombre s’égaye de jeux de reflets et de la géométrie colorée des étiquettes. Les caisses d’oranges, de pamplemousses, de tomates jettent des touches de feu autour de la balance à l’ancienne.

Affiches, publicités, emballages, accrochés jusqu’au plafond, occupent chaque recoin, renforçant l’impression que ressent le visiteur d’avoir pénétré dans un sanctuaire clos, intime, préservé, on est ailleurs. La séduction magique de cette boutique, bien loin de la froideur rigoureuse des supérettes et du snobisme mondain des épiceries fines, tient sans doute à son histoire et à celle de la famille qui la fait vivre depuis plus de cent ans, immigrés Majorquins du tout début du XXe siècle, les Bernat.

Mais laissons André Bernat, l’ultime représentant de cette dynastie familiale, nous conter cette histoire.

“ Elle a commencé avec l’arrivée de mon grand-père en France à la fin du XIXe siècle. Né en 1875 dans la petite ville de Soller à Majorque il a quitté son île en 1893 et s’est installé à Vendôme en 1902.

Les familles de mes ancêtres sont originaires de la petite ville de Soller, située dans la zone montagneuse de la Serra de Tramuntana au Nord Ouest de l’île de Majorque. Beaucoup de membres de ces familles qui n’ont pas émigré vivent toujours dans ce bourg.

L’île de Majorque, comme celles de Minorque, Ibiza, et Formentera forment la Communauté Autonome des Iles Baléares du royaume d’Espagne.

Nous venons de familles qui avaient du bien, du côté paternel comme du côté maternel. Ils possédaient une oliveraie et l’arrière grand-père faisait du transport d’olives et de marchandises entre Soller et Palma. Ils avaient une terre qui va jusqu’au haut de la ville, dite Can Turixant.

Nous nous appelons Can Culler (se prononce cann couère) : chaque famille porte un nom dit “malnom” en plus de son patronyme d’état civil. Comme dans toutes les îles, beaucoup de gens portent le même nom : le “malnom” permet d’identifier les familles.

Can Culler signifie “chez cuillère” : à côté de chez nous il y avait une fontaine et à notre porte il y avait une cuillère accrochée avec une petite chaîne. Les gens s’en servaient pour se désaltérer. Les familles gardent toujours ce “malnom”. Mais à l’état Civil chaque citoyen a deux patronymes, celui de son père et de sa mère. Mon père s’appelait Bernat Arbona. Il peut arriver qu’un homme et une femme ayant le même premier patronyme, par exemple Bernat, se marient, et dans ce cas ils s’appelleront Bernat Bernat. Les Majorquins sont identifiables à leur nom dont la liste est assez réduite. Voici les plus répandus : Mayol, Bernat, Arbona, Colom, Alcover, Puig, Magraner, Castaner, Bauza, Frontera, Oliver, Rullan, Sastre, Ramis, Vicens, Deya, etc...

Mes arrière-grands-parents étaient Bernat Morante. Ils ont eu six garçons et une fille. Ils vivaient sur les terres de la famille. Mais dans les années 1860/1880, à Soller, il y eut une grave crise économique due à la maladie des orangers et aussi à l’évolution de l’industrie textile qui passait des métiers à façon à domicile aux fabriques mécanisées. Cela a obligé nombre de Solleriques à émigrer pour trouver du travail, surtout dans les familles nombreuses. Les aînés restaient au pays et les plus jeunes partaient. Des garçons Bernat Morante, quatre sont partis. Le premier est parti à Marseille, a rencontré une Italienne, une veuve qui avait déjà deux enfants et ils sont partis en Italie. Un des aînés est monté à Paris puis est retourné à Soller. Un autre qui avait échappé au tirage au sort du service militaire, est parti à Porto Rico mais n’a pas fait fortune et est décédé jeune. Nous correspondons toujours avec la famille d’Italie. Ils ne sont pas commerçants, le père travaillait au Gaz et une petite fille est pharmacienne.

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Llaut Aurora de Soller Circa 1890

Mon grand-père François Bernat Morante est arrivé à Sète avec un voilier de Soller qui faisait le transport d’oranges et d’autres marchandises.

Depuis 1830 environ il y avait un grand trafic maritime et commercial entre Soller et les ports français, de Port Vendres à Marseille. Des voiliers, llauts ou pailebots apportaient des oranges de Soller du mois de décembre au mois de juillet puis revenaient de France avec toutes sortes de marchandises, de la farine, du blé, des machines, de la droguerie, pour Majorque ou la côte catalane. Après la saison des oranges, les voiliers, et à partir de la fin du XIXe aussi des bateaux à vapeur, transportaient de Soller ou de Palma vers la France de l’huile d’olive, du vin, des figues sèches, des amandes, etc...

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Pailebot San Miguel et vapeur Villa de Soller circa 1910 devant le port de Soller

Mon grand-père n’est pas parti au hasard et vers l’inconnu. Des Majorquins étaient déjà venus en France avant lui. Il est arrivé à Marseille en 1893 puis est allé en train jusqu’à Nancy où il s’est placé pendant 7 ans chez des compatriotes. François voulait s’installer dans cette région qu’il connaissait bien.

Pour venir à Soller, ils prenaient le train pour Barcelone, puis le bateau pour Palma. Un long voyage, comme j’en ai fait dans ma jeunesse avec mes parents. Il fallait deux jours. Aujourd’hui, l’avion y va en une heure et demie.

A cette époque, contrairement à beaucoup de gens, les Majorquins établis en France voyageaient beaucoup. Ils revenaient à Soller voir la famille, prendre des contacts pour leur commerce de fruits. Beaucoup venaient aussi pour se marier avec une jeune fille du pays. Il y avait un curé qui préparait des rencontres de jeunes gens. Le jeune homme venait à Soller, rencontrait la jeune fille, ils se mariaient puis partaient tous les deux s’installer en France.

C’est ainsi que mon grand-père s’est marié à Soller avec Magdalena Arbona Oliver. Mais il a d’abord fait des voyages seul, aller-retour en France.

Ils avaient déjà eu un petit garçon né à Soller. Ils l’ont appelé Barthélémy, comme tous les aînés des familles de Majorque. C’est une tradition : le deuxième garçon porte le nom du père de la maman, le troisième ils l’ont appelé François comme son père. Ils ont eu sept enfants : Barthélémy, né à Soller et Anne, Catherine, Vincent, François, Jean Pierre, Marie Madeleine nés à Vendôme.

Mais au cours d’un séjour à Soller de trois semaines, il a retrouvé un camarade, Mr Morell, qui avait un commerce à Blois. Quand mon grand-père lui a dit qu’il voulait s’installer à Nancy, où il avait sans doute déjà repéré une opportunité, son ami lui a dit : “Tu ferais mieux de venir là où je suis, du côté de Blois. Il y a tout près un petit pays où il n’y a pas d’Espagnols". Et c’est comme ça que François, Magdalena et le petit Barthélemy se sont installés dans leur commerce à Vendôme en 1902.

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Rue du Change à Vendôme 1902

Venant de Majorque, ils étaient bien éduqués, savaient lire et écrire et entretenaient une correspondance avec la famille et leurs amis de l’île. Ils ont aussi appris le français en lisant les journaux et en parlant abondamment avec leurs clients.

Mon grand-père avait trouvé deux maisons mais il a préféré celle où nous sommes parce qu’il y avait une cave derrière. Il vendait du vin venant surtout du midi de la France. Mais il vendait aussi du Malaga et du rhum. Tout se vendait au détail : on avait une série de mesures en étain et chacun prenait la quantité de vin qu’il voulait avec leur bouteille. Quand ils étaient bien enrhumés, ils prenaient deux décilitres de rhum.

Le magasin fermait tard. Mon grand-père attendait chaque jour le passage des voitures à chevaux des hôtels qui allaient chercher les clients à la gare. Quand elles revenaient, il disait “les voitures sont passées, on peut fermer”, il était 21 heures. Vendôme était la ville de garnison du Vingtième Chasseurs. Nous avions une grosse clientèle d’officiers, des gens qui avaient beaucoup voyagé, connaissaient beaucoup de choses et faisaient marcher les commerces.

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Quartier du Vingtième Chasseurs

Nous ne vendions pas de légumes. Des commerçants ambulants, les maraîchers du pays, les proposaient dans les rues en se déplaçant avec des petites voitures à bras, les “baladeuses” des marchands de Quatre Saisons.

C’est mon grand-père qui a vendu les premières oranges et des bananes. Nous les recevions vertes. Il avait installé une barre au-dessus de la cuisinière pour qu’elles finissent de mûrir. Les gens se demandaient ce que c’était. Ils pensaient que c’était des cornichons empilés. Nous vendions aussi des citrons, des figues. Les agrumes arrivaient par wagons, souvent de Bordeaux où un Bernat et un Mayol faisaient commerce de gros. Mes oncles allaient plusieurs fois par semaine décharger les marchandises à la gare.

Mon grand-père est décédé en 1920. Son épouse et ses fils se chargeaient du transport des marchandises. Les filles travaillaient dans le magasin. Les fils partirent progressivement pour s’établir à leur compte. Le commerce familial passa donc aux mains de Madeleine et Anne Bernat avec son mari Barthélémy.

En 1920, ils ont acheté une camionnette et fait les marchés pendant au moins quinze ans. D’abord une Vinot Deguingand et ensuite deux Berliet. Quand il y avait un match de football, c’est Barthélémy qui emmenait tous les copains dans la camionnette.

Mon grand-père François et sa femme Magdalena ont donc eu sept enfants. Mes oncles se sont tous mariés avec des Françaises et sont partis s’installer ailleurs, à Tours, à Montoire... Chacun des trois frères a monté sa propre affaire. Ma mère Anne est restée dans le commerce de Vendôme avec son mari et sa plus jeune sœur Madeleine.

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Barthélémy Anne François Marie Madeleine Catherine Madeleine (mère) Vincent 1925

Mon père est né à Soller en 1895. Il est venu en France, à Paris, à l’âge de 17 ans, pendant la guerre de 14/18.

Il a commencé par travailler dans la restauration et a beaucoup voyagé. D’abord maître d’hôtel, il connaissait bien les vins et est devenu sommelier. Il ne disait pas toujours où il allait. J’ai appris ses voyages avec les cartes postales que m’a données un oncle. Il a travaillé à Nice, à Monte Carlo et beaucoup à Paris. Après il est parti pendant trois ans en Algérie faire les campagnes de dattes.

En 1935 il est revenu en France et il a rencontré ma mère. Il voulait monter un commerce à Paris mais ma mère ne voulant pas quitter Vendôme. Il a donc repris le commerce de mon grand-père. Ils ont eu deux enfants : ma sœur Francisca, né en 1939 et moi André né en 1946. Mon père a fait aussi les marchés mais a abandonné car les fruits se périmaient.

Le commerce a été très prospère de 1935 à 1939 ; mon père qui avait connu beaucoup de monde était très à l’aise avec une clientèle aisée. La période de la guerre a été très difficile, comme partout en France, avec les tracasseries des Allemands, les dénonciations, les arrestations. La reprise a été progressive avec des difficultés d’approvisionnement. Mon père est malheureusement décédé assez jeune en 1963, j’avais 17 ans. Avec l’aide de ma mère, de ma tante Madeleine et ma grande sœur Francisca nous avons continué le commerce. Ma sœur Francisca s’est mariée en 1984 et elle a donc quitté le commerce. Depuis le décès de ma mère en 1995, puis de ma tante en 2008, j’assume seul la continuité du commerce Bernat.

Le commerce a beaucoup évolué depuis sa fondation : l’épicerie “Aux Produits d’Espagne” est devenue une épicerie fine, plutôt spécialisée dans les produits de haute qualité, rares et originaux, ainsi que dans les vins, alcools, spiritueux de toutes origines, fromage à la coupe, confiseries, produits de préparations culinaires..

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Extrait du catalogue qui comporte 10 pages de spécialités fines

Notre histoire est celle de beaucoup de Majorquins venus s’installer en France, surtout dans les années autour de 1900. On en trouve dans presque toutes les villes de France. Ils ont montée des commerces de fruits et primeurs au détail, des affaires de vente en gros. D’autres ont tenu des restaurants, des cafés.

Tous n’ont pas fait fortune, c’est plutôt ceux qui se sont installés dans le Nord et l’Est qui ont le mieux réussi. En revenant se retirer au pays, les plus riches faisaient construire une maison qui montrait leur richesse, avec les plus belles décorations, fresques et plafonds peints, des beaux meubles dans le style moderniste des années 1900.

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Maison Can Prunera à Soller construite en 1906 par M. Magraner commerçant à Belfort

Ils faisaient aussi construire une belle tombe au cimetière de Soller, souvent avec un mausolée ou un groupe de statues pour y installer tous les défunts de la famille. Mais c’est surtout les émigrés d’Amérique hispanique, Porto Rico, Venezuela qui avaient les plus grandes maisons et les monuments au cimetière. Certains qui décédaient en France avaient demandé que l’on transfère leur corps pour être enterré à Soller. Le corps était alors embaumé et le cercueil plombé pour le voyage.

Quand nous retournions à Majorque nous retrouvions beaucoup de famille et d’amis. Nous parlons le majorquin qui est un peu différent du catalan par la prononciation et certains mots. Notre catalan/majorquin emprunte des mots au français et notre français emprunte parfois des mots au catalan. Cette langue catalane nous vient naturellement. Nous la parlons en famille, au téléphone quand nous parlons avec des Majorquins. Nous parlons aussi l’espagnol, le castillan. La tradition voulait que les enfants retournent en pension à Majorque pour apprendre le castillan. Les filles passaient un an dans une pension religieuse où elles apprenaient la langue, la couture, la peinture.

Mon père est décédé en 1963, lorsque j’avais dix-sept ans, je suis resté à Vendôme et j’ai appris l’espagnol, comme ça, en lisant, avec mes parents et des réfugiés républicains espagnols. Beaucoup étaient très gentils et c’était souvent ma mère qui leur écrivait leurs lettres. Nous sommes catholiques pratiquants. Beaucoup d’Espagnols d’ici ne savent même pas où est l’église, mais nous n’avons pas changé de conviction.

Il y avait aussi une association appelée “Les Cadets de Majorque” fondée par des Majorquins établis en France en 1953. Elle publiait un bulletin trimestriel avec des articles très intéressants sur Majorque, la France et d’autres pays où résidaient des émigrés de notre île. Notre famille était abonnée. Il y avait aussi une rubrique où on trouvait des nouvelles de toutes les familles, mariages, décès, naissances, voyages. Cela permettait de garder le contact avec la communauté des émigrés et de suivre la vie des familles. Le bulletin a malheureusement cessé de paraître en 1998.

Nous sommes plusieurs fois retournés à Majorque, à Soller pour revoir la famille et les amis. Du côté de mon père, ses parents, Andres Bernat et Francisca Mayol ont eu cinq enfants : Barthélémy mon père, Catalina, Damian, Andres, et Aina. Tous sont restés à Soller, sauf mon père. Catalina s’est mariée avec Pedro Antonio Bernat. Ils ont eu cinq enfants, Bernard, Pere, Andreu, une fille Margarita, et Miquel. Margarita s’est mariée en 1965 avec Antonio Deya. Ils ont eu deux enfants Tolo et Christine.

Je suis donc allé voir plusieurs fois mes cousins. Pere est passé en 2007 à Vendôme au cours d’une visite à Paris. Pere, Andreu et Miquel ont repris un atelier de ferronnerie qui est devenu la grande quincaillerie Bernat, bien connue. Nous sommes aussi parents avec la famille Arbona qui a une société de transport et de matériaux à Soller. Ma grand-mère, Magdalena Arbona avait un frère, Juan Arbona dont le fils a eu des jumeaux qui sont les patrons actuels de l’entreprise.

Ma sœur Francisca vit à Louhans en Saône et Loire avec son mari agriculteur. Mes oncles, qui sont tous décédés, étaient mariés à des Françaises. Installés définitivement en France, certains ont tenu des commerces. Mais aucun de leurs descendants n’a repris ce type d’activité. Parmi la nombreuse génération des petits enfants, certains reviennent en séjour de vacances dans la maison familiale de Soller, “carrer Isabel II”. J’y suis retourné en 2007 et je pense y revenir prochainement. L’histoire du magasin s’arrêtera sans doute quand je prendrai ma retraite, car je n’ai pas de successeur.

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La maison de Soller, carrer Isabel II
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Francisca Cadot et Andres Bernat dans la boutique de Vendôme

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187 Messages

  • Bonjour, Dans le même registre, mon grand père a tenu l’épicerie de la place delorme à Nantes après être arrivé de mallorca
    Il s’appellait Alcover mayol

    Répondre à ce message

  • Bonjour
    je ne suis pas originaire de Soller mais les grands parents de mon mari y sont nés.

    Jaime ARBONA RULLAN et Catalina FERRA OLIVER se sont mariés le 8 novembre 1913 à Soller. Ils ont émigrés d’abord en Belgique puis en France. Leur fils (mon beau-père) est né à Arles où ses parents ont crée un magasin de primeurs.

    j’aimerais que quelqu’un qui habite sur place puisse m’envoyer la photo de l’acte de mariage ?

    Cordialement
    Danielle Arbona

    Répondre à ce message

    • Bonjour Madame,
      Cette publication a suscité près de 150 comentaires et demandes. Je ne peux assurer les recherches généalogiques pour tous les demandeurs. C’est à chacun d’entreprendre ce travail, ne serait ce que pour démontrer sa motivation.
      Bon courage pour votre recherche. Si vous venez à Soller, à la rigueur nous vous dirons où vous adresser.
      Salutations

      Répondre à ce message

  • Bonsoir et merci pour ce forum.
    Je suis descente de Sollerique, par mon grand-père paternel Raphaël RULLAN EGEA né à Majorque. Ses parents étaient Antonio RULLAN CARBONELL et sa mère EGEA RODRIGUEZ, son parrain ANTONIO RULLAN EGEA. Je ne sais pas combien il y a eu d’enfants.
    Ma grand-mère paternelle, Jeanne SALOM PASTOR de Villafranca, près de Manacor était la fille de Miguel SALOM JAUME et de Jeanne PASTOR GARI.
    Je cherche à retrouver mes racines et comprendre l’histoire de ma famille côté paternel afin de la transmettre à mes petits-enfants.
    Mon grand-père a été boucher à Bordeaux ensuite à Toulouse. Il revenait régulièrement à Soller.
    Je crois que ses parents étaient chapeliers à Soller où dans la région. J’ai très peu d’indices. Je sais par Monsieur Ripoll Bauza, que je remercie, que mon grand-père a été baptisé à la Cathédrale de Palma en 1894.
    J’ai écrit aux archives de la Cathédrale, mais je n’ai eu aucune réponse.
    Si je pouvais recueillir quelques indices sérieux, cela me permettrait de remonter le temps et me plonger dans l’histoire Mallorquine de ma famille.
    Je vous remercie.

    Répondre à ce message

    • Hi !
      My first surename is Rullán. I dont know much about the origins of my family. However, my grandfather, Diego Rullan Egea, was born in Soller and died in Palma de Mallorca in 1962. His family owned a textil company (hats). In relation with my grandfather, I dont know his parents and siblings names.
      I’d be great to know more

      Répondre à ce message

      • Marina,
        Je regrette que vous ne nous recontactiez pas, car je suis pratiquement sure que nous avons un lien de parenté par nos grands-péres. Mon grand père, Raphaël RULLAN EGEA est décédé le 19 janvier 1962 à Toulouse en France.
        Ses parents avaient une fabrique de châpeaux à Majorque, peut-être Soller ?
        Il avait un frère qui s’est expatrié peu être en Argentine et il s’appelait Diégo.
        J’essaie de retrouver le plus d’informations possibles pour les transmettre à mes enfants et petits-enfants. Je serais heureuse si nous pouvions reprendre le contact et je vous transmettrais les renseignements que j’ai pu recueillir. Je ne parle pas anglais, mais je peux me faire traduire votre réponse. Bien cordialement

        Répondre à ce message

      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 4 novembre 2023 18:03, par RAYNAUD RULLAN

        Bonsoir Marina,
        J’écris en français car c’est plus facile pour moi.
        Je suis désolée que vous n’ayez pas répondu à mon mail, car je suis persuadée, que par nos grands-pères, nous avons un lien de parenté.
        Mon grand-père Raphaël RULLAN est né à Majorque en février 1894 et a été baptisé à la Cathédrale de Palma. Il est décédé en janvier 1962 à Toulouse en France. Son père RULLAN CARBONELL Antonio était de Palma et sa mère EGEA y RODRGUEZ Barbara était originaire de San Pedro ville de Biescas sur le continent. En faisant marcher un peu ma mémoire, je pense me souvenirs d’un frère à mon grand-père qui s’appelait Diégo qui a émigré en Amérique. Je ne sais pas s’il y a eu d’autres frères et soeurs. Les parents possédaient une fabrique de châpeaux, peut-être à Soller où dans les environs. J’aurais aimé rentrer en contact avec vous Marina. Dans quel pays êtes-vous ? ne coupez pas ce petit lien qui nous relie. Si vous souhaitez répondre en anglais pas de problème on me traduira. En vous remerciant par avance pour votre réponse.

        Répondre à ce message

      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 27 août 2023 12:10, par RAYNAUD RULLAN

        Thanks a lot for your message, it might be a brother of my grandfather Rafaël.
        Do you know the name and the localisation of the textil company ? It can help me to find others informations.
        Do you have also a picture of your grandfather Diego ?
        I retrieved my grandfather’s baptism certificate from the catedral of Palma with the ascendants.
        I have often heard of a brother who left for Argentina. Where are you from ?
        Maybe we have a family connection !
        Waiting for your reply. Sincerely.

        Répondre à ce message

  • Bonjour,
    jai eu un plaisir fou à lire vos articles, j’aimerai retracer le parcours de mon Grand Pere et son épouse
    Peut-être impossible, mais je tente.
    Famille FERRER ORELL/ RAMIS RAMIS
    Après mariage LE 11 septembre 1913 FERRER-RAMIS à Soller
    Bartolomé a acheté (vers 1914,) le grand bar/restaurent de la gare d’Epinal et travaillé au consulat d’espagne a Epinal.
    Juste mon désir, c’est de savoir si cette version est la réalité, pour que je puisse le transmettre à mes petits enfants, Une fierté pour moi parque je me sens Mallorquine dans âme.
    Merci par avance si une personne peut répondre à mes questions
    Cordialement
    Me CERULEI Viviane.

    Répondre à ce message

  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 23 avril 2023 09:17, par Leclair Hélène

    Bonjour
    Je reviens de Majorque où j’ai visité ma fille qui y passe une année. J’ai adoré cette découverte en particulier Soller qui m’a enchantée avec ses orangers. je suis herueuse d’avoir lu votre article, d’y avoir retrouvé des noms et des photos de mon séjour.
    La boutique Aux produits de l’Espagne à Vendôme a-t-elle fermé, ou Mr Bernat a-t-il trouvé repreneur ?
    Merci
    Cordialement,
    Hélène Leclair (44)

    Répondre à ce message

    • Bonjour,
      Je n’ai pas contacté André Bernat dpuis deux ans. je pense q’il n’a pas trouvé de successeur. Le local sera sans doute repris par un commerce contemporain standard, vêtement ou autres franchises diverses. Comme à Soller où des commerces plus que centenaires ont fermé et la boutique réouverte pour répondre aux achats stéréotypés des touristes.
      Soller vous a enchanté et bien pour moi Soller est désenchanté, je connais cette ville depuis 1960. Elle a perdu son son âme. Bienvenu aux touristes, selfie et Instagram.......

      Répondre à ce message

  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 8 août 2022 18:42, par Anouk Morell-Coll

    Bonjour, je m’appelle Anouk Morell-Coll, fille de Dominique Morell-Coll, petite fille de Barthélémy Morell-Coll. Je suis tombée sur votre article par hasard en cherchant le nom de mon grand père sur l’internet. Je cherche à comprendre un peu plus sur mon histoire, et l’histoire de ma famille. Mon grand père est né en 1909 à Soller, a émigré en France en 1923. Il était le fils de Jean Baptise Morell et Catherine Coll-Mayol. Je cherche tout simplement à comprendre mon histoire, l’histoire de ma famille. Je pense que j’ai assez de détails pour faire les premières démarches mais je ne sais pas ou me diriger. En espérant que vous pourriez peut être m’aider.

    Répondre à ce message

  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 8 décembre 2021 22:47, par Ramis Frédéric

    Bonjour je suis moi même petit fils d’immigrés mallorquins ramis de felanitx du côté de mon père et ferragut juan de lloseta, inca du côté de ma mère, tous travaillaient dans les fruits et légumes, arrivés dans les années 1915-20,à Avignon, mes tantes les soeurs de ma mère ont tenuun commerce aux halles, et mes cousins ferragut une grande épicerie dans Avignon, je vais régulierement a mallorca voir les cousins et fils de cousins avec lesquels je n’ai jamais perdu contact ... je suis content de retrouver les mêmes histoires de famille dans ces recits !!! Frederic Ramis .

    Répondre à ce message

  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 4 août 2021 10:56, par Capo Canellas Jean-Francois

    Bonjour,
    je suis tombé sur votre article par hasard.
    je suis descendant de majorquins qui ont tenu un commerce à Millau dans l’aveyron.
    Ce commerce a été créé par Jean Bernat (de Soller me semble t il mais je vais le vérifier) et repris par mon arrière grand Père Jacques Capo Canellas qui a épousé une femme issue de Soller mais née à Toulouse (Claire Alcover) et nièce de Jean Bernat. J’ai plein de papiers (actes notariés etc…), de photos avec le magasin avec une enseigne « Chez l’espagnol ». Cela a ete le magasin de fruits et légumes de Millau le plus réputé jusque dans les années 1970. Dites moi si tout cela vous intéresse. Bien cordialement

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    La publication de cet histoire est vraiment fantastique et agrémente l’arbre généalogique de mes deux petits enfants.

    En effet leur grand-mère paternelle s’appelait Raymonde BERMENGO.
    Je pense que tout a commencé vers 1901 avec l’arrivée dans la Drôme de Paul BERMENGO (fils de Michel BERMENGO et de Jeanne Marie MAYOL) et de sa femme Pauline Maria Paula COLOM (Fille de Jean COLOM et de Marguerite FRONTERA) accompagnés de leurs 6 enfants tous nés à Soller entre 1880 et 1900. Ils étaient "marchands de primeur". Malheureusement Paul BERMENGO est décédé en 1903 et sa femme est restée seule avec les enfants.

    Leur 2e enfant Michel BERMENGO né en 1882 à Soller est le père de Raymonde BERMENGO. Il est resté dans la Drôme où il a crée sa famille.

    Dans l’arbre généalogique que j’ai pu réaliser on retrouve des noms tels que NOGUERA, VINCENS, PALMEDA.

    Les 5 frères et soeurs de Michel sont partis vivre pour certains dans l’Eure (Pont-Audemer) et pour d’autre dans l’Eure-et- Loire (Châteaudun).

    Si certaines personnes pensent faire faire partie de cette famille, je serais très contente de leur communiquer l’arbre généalogique.
    Je fais appel aussi à toute personne qui pourrait m’apporter plus d’informations sur les couples BERMENGO/MAYOL et COLOM/FRONTERA de Soller.

    Bien cordialement à toute la communauté originaire de Soller.

    Catherine Vergoignan

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    • Bonjour Mme Vergoignan,
      Voici quelques éléments sur cette famille BERMENGO
      Miguel BERMENGO était le fils de Pablo BERMENGO et Juan Maria LENGUASCO, des italiens, originaires de Oneglia (Imperia) sur la côte ligure, et qui avaient émigré à Soller vers 1820, avec leurs enfants Antonio, Miguel, Josep, Maria.
      Miguel BERMENGO LENGUASCO s’est marié vers 1848 avec Maria MAYOL COLOM. 
      Ils ont eu plusieurs enfants, nés à Soller dans les années 1850s… :
      Maria BERMENGO MAYOL, marié à Miguel COLOM ARBONA
      Pablo BERMENGO MAYOL, marié en premières noces à Antonia BAUZA ENSEÑAT et en deuxièmes noces à Paula Maria COLOM FRONTERA (fille de Juan COLOM ARBONA, de Jose et Paula, et de Margarita FRONTERA CASTAÑER, de Bernardo et Francisca)
      Miguel BERMENGO MAYOL, émigré à Besançon, puis Troyes...
      Jaime BERMENGO MAYOL

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      • Bonjour,
        Merci beaucoup pour tous ces renseignements et quelle surprise d’apprendre que la famille BERMENGO viendrait d’Italie.
        Je viens de faire quelques recherches dans les archives italiennes. Je n’ai pas trouvé de BERMENGO à Oneglia mais par contre j’ai trouvé Paul François BRUNENGO marié en 1811 à Oneglia avec Jeanne Marie LANGUESCO.
        Est-ce qu’il se pourrait que le nom de BRUNENGO ait pu devenir BERMENGO ??? Si sur les actes manuscrits, les r, u, m, n ressemblent tous à de u !!! est-ce une pure fantaisie ou pourquoi pas ?
        Paul François BRUNENGO né le 28/11/1787 à Oneglia (fils de Antoine BRUNENGO et de Marie Angélique BERIO) s’est marié le 11/01/1811 à Oneglia avec Jeanne Marie LANGUESCO née le 10/05/1781 à Oneglia (fille de Bernard LANGUESCO et de Blanche Marie AMADEO).
        Paul BRUNENGO serait le second d’une fratrie de 8.
        Merci encore à vous.
        Cordialement.
        Catherine Vergoignan

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        • Bonjour Mme Vergoignan,
          Oui, tout correspond :les dates, les prénoms,...il est donc très possible et même très probable que cette famille BRUMENGO ait vu son nom changé en BERMENGO à son arrivée à Sóller....Ces modifications orthographiques étaient très courantes pour les noms "importés". L’exemple le plus flagrant est le cas d’un suisse nommé SCHMIDT qui a vu son nom, par correspondance phonétique, transformé en XUMET à son arrivée à Soller.
          Pour en avoir le coeur net, il faudrait consulter l’acte de baptême de la petite soeur de Miguel, prénommée Maria BERMENGO LENGUASCO qui semble être née à Soller vers la fin des années 1820s. Son acte de baptême devrait indiquer les prénoms de ses grands-parents...Mais malheureusement ces actes ne sont pas en ligne et il faut aller aux archives diocésaines à Palma pour cela...
          Je vois aussi apparaître dans ce que vous trouvé le nom BERIO..et il se trouve qu’il y avait une autre famille d’italiens, originaire de Oneglia immigré à Soller à la même époque (un peu plus plus tard), en l’occurrence un certain Francisco BERIO RAMELLA...Possiblement la même famille élargie...fils de Gaspar BERIO et Maria Luisa RAMELLA...
          JC.Rotger

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          • Bonjour,
            Paul François BRUNENGO et Jeanne Marie LANGUESCO ont eu un 1er fils Jean Antoine né le 04/12/1811 à Onéglia. Cet enfant semble correspondre au 1er enfant du couple BERMENGO-LENGUESCO de Soller... un commencement de confirmation de la modification du patronyme quand le couple est arrivé aux Baléares...
            Les archives d’Oneglia sont très restreintes et les naissances (période napoléonienne) s’arrêtent en 1814.
            Quant à la famille BERIO/PAMELLA, Gaspar Dominique BERIO (muletier), fils de François BERIO (charpentier pour les moulins) et de Jeanne BERIO est né le 06/01/1790 à Oneglia et il a épousé le 11/05/1809 à Onéglia Marie Louise RAMELLA (couturière) née le 03/07/1788 à Oneglia et fille de Jean Baptiste RAMELLA (muletier) et de Thérèse GAZZANO. Entre 1809 et 1814, à Oneglia, je n’ai pas trouvé d’enfants nés de ce couple.
            Cordialement.
            Catherine Vergoignan

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            • Bonjour,
              Oui, il y a vraiment très très peu de doutes : ces Brunengo et Bermengo sont certainement les mêmes...La coincidence serait trop forte...
              Je vous envoie par mail des copies d’actes de Soller qui devraient vous intéresser.
              Quant à ces Berio, ils sont quitté Oneglia peu après leur mariage, sont passés par le Bar-sur-Loup puis Nice ou Francisco Berio Ramella est né en 1819, avant d’émigrer à Soller dans les années 1840s...C’est donc moins sûr qu’il soit lié aux Brunengo/Bermengo. Là il peut s’agir d’une conicidence, d’autant que Berio semble être un nom très courant en Ligurie...

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              • Bonjour,
                Je serais très contente, en effet, que vous puissiez m’envoyer certains actes de Soller concernant les BERMENGO venus s’installer en France.
                Par ailleurs, j’ai trouvé un site dans lequel on peut voir qui, où et à quelles dates des habitants de Soller ont émigré : https://dspace.uib.es/xmlui/bitstream/handle/11201/149160/Quetglas_Cifre_Antoni_7pdf.pdf?sequence=7&isAllowed=y
                Très intéressant !
                Merci pour votre aide.
                Cordialement.
                Catherine Vergoignan

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                • Extrait d’une étude illustrée sur la Casa Bala de Sóller
                  "Can Bala ou Sa Casa Vermella est une maison classée de style Art nouveau*. Elle est située dans le quartier de la Alqueria del Comte, anciennement nommé Navarra.
                  Elle fut construite par Antoni Magraner Berio en 1918. Ce dernier avait émigré dans sa jeunesse à Puerto Rico, et était employé comme simple travailleur dans une plantation de café. 
                  De là, il partit vers la France, à Belfort, montant un négoce d’import / export de fruits. A son retour à Sóller"
                  il entreprit la construction de cette bâtisse."
                  A Belfort sur le méme site se sont succédés deux Magranner, (cf étuce JC Rotger) le premier Magraner Oliver a fait construire le palais moderniste Can Prunera , le second, plus tard a fait construire la Casa Bala (vermell) sur le terrain du moulin de son beau père Berio d’origine italienne ,charpentier de moulin.
                  Jean Christophe pourrais tu éclaircir la première filiation Magraner / Magraner et le lien avec Bério.
                  PS : Etude de la Casa Bala par Michèle Castaner, (locataire) à disposition.
                  Merci Salutations

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                  • Bonjour Michel,
                    Antonio MAGRANER BERIO était le fils de Jaime MAGRANER PONS et Maria Luisa BERIO RULLAN (1857-1941), celle-ci étant la fille de Francisco Dominico BERIO RAMELLA, italien, né à Nice en 1819, fils de Gaspare Dominico BERIO, et de Maria Luisa RAMELLA, originaires de Oneglia sur la côte ligure…
                    Ce Francisco BERIO RAMELLA émigra de Nice à Sóller dans les années 1840s. Il était charpentier/mécanicien spécialisé dans la fabrication de moulins et aussi dans la construction de voitures à cheval…
                    Il se maria à Soller 2 fois, en 1854 avec Antonia RULLAN GAMUNDI, avec qui il eut 3 enfants (dont la Maria Luisa BERIO RULLAN déjà citée), puis en 1862 avec Teresa FRAU OLIVER, avec qui il eut 6 autres enfants.
                    La plupart de ses enfants émigrèrent à Puerto Rico et leurs descendants y sont encore. Mais une partie de ses petits enfants partirent en France, dont la fratrie MAGRANER BERIO :
                    Josep et Francesc MAGRANER BERIO à Amiens, où ils tenaient la maison de gros en fruits et légumes « Magraner Frères », Antonio MAGRANER BERIO à Belfort, Jaime MAGRANER BERIO à Perpignan, Joan MAGRANER BERIO à Besançon puis au Creusot,….

                    L’autre MAGRANER à Belfort, Joan MAGRANER OLIVER (1876-1949), celui qui fit construire "Can Prunera", il était d’une autre famille MAGRANER, sans lien de parenté (en tout cas pas avant plusieurs générations). Son père était Josep MAGRANER COLOM et sa mère Florentina OLIVER RIPOLL.

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                    • Merci Jean Christophe, tu es une encyclopédie inépuisable !
                      Voilà de quoi éclaircir ces filiations qui restaient jusqu’à présent non définies. Pour ma part je n’ai pas la patience ni la constance dans mes recherches pour aller aussi loin et précis que toi .La généalogie m’a rebuté après quelques investigations restées dans l’impasse pour remonter mon ascendance allemande de tailleurs de pierres et sculpteur de cathédrale. Je préfère raconter des histoires et faire revivre des vies passées Je t’envoie le topo sur la Casa Bala. Amicalement

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                • Bonjour Mme Vergoignan
                  Je vous les envoie.
                  Pouvez me donner votre adresse e-mail, ici ou me l’evoyer à jc.rotger[arobase]orange.fr

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 13 décembre 2020 14:47, par Olivier MAYOL

    Bonjour,
    Quel plaisir de découvrir autant de destins croisés !
    J’y apporte ma -petite- contribution : mon arrière grand père Juan (Joan ?) Mayol (né en 1961) était originaire de Fornalutx, il s’est marié avec Catalina Arbona (née en 1866 ?), et a émigré d’abord à Nantes, où mon grand-père Jean est né en 1899, puis à Rennes, où il fonda les magasins de fruits et légumes Mayol Arbona. Mes grand-tantes (Catalina et Magdalena), ainsi que mon grand-oncle Jacques ont fini leurs jours à Fornalutx (mes grand tantes) et Palma (Mon grand-oncle). A Rennes il y avait une autre famille Mayol-Vives de Soller, arrivée dans les mêmes années, qui tenaient également des magasins de... fruits et légumes.
    Je suis allé enfant plusieurs fois à Fornalutx, à Sa Coma, là où habitaient mes grand-tantes. Je fus très surpris de voir le nombre impressionnant de Mayol. Nous avions également rendu visite à un Vives (Gaby, Antoine ?) qui avait une maison à Soller.
    Merci pour votre article très intéressant !
    Bien à vous,
    Olivier Mayol

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 23 novembre 2023 09:00, par Michel Henri Maudet

      Je connais très bien La Famille Mayol Vives de Rennes qui sont partie de ma Famille Vicens Soller Le Mans

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 24 novembre 2023 10:53, par Vincent Mayol

        Bonjour Michel, cher cousin !
        En effet je sais que mon arriere grand-père a été associé avec les Vicens.
        Mon grand-père s’était installé à La Fleche et ma grand-mère ma Marie y a élevé seule ses 4 enfants à la mort de celui-ci.
        Mes racines mallorquines me sont très chères et j’y retourne régulièrement même si je n’ai plus que très peu de lien avec Soller.
        Papa a du me donner des photos de lui petit quand il allait en vacances chez les "Maudet". J’essayerai de les retrouver et nous en reparlerons.
        Voici mon mail : vince.mayol chez gmail.com. Sinon je suis sur Facebook et linkdin
        Au plaisir d’echanger et d’enrichir mon arbre genealogique,
        Vincent

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    • Bonjour Olivier,
      Votre commentaire m’intéresse puisque j’ai bien connu Gaby Vives de Rennes. Mon grand-père était cousin de son épouse Antoinette Mayol toujours à Rennes. Mon père,(Gabriel !)est son filleul. Je cherche justement à enrichir mon arbre généalogique côté Mayol et je bloque à mon arrière grand-père Matéo né en 1873 à Déïa. Mais je crois que nous avons des Arbona dans notre arbre.
      En tout cas je me souviens que petit en vacances à Soller, Mamie Mayol m’avait présenté à un oncle Jacques Mayol à Palma.
      Contactez-moi et nous en reparlerons.
      vince.mayol(aroba)gmail.com
      Cordialement
      Vincent Mayol

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  • Bonjour

    Le hasard m’a fait "tomber" sur ce site ,je suis contente d’avoir pu lire ,le contenu
    Mes arrières grands parents étaient de Soller ,peu de documents par ailleurs ,enfant j’y suis allée quelques fois ,mais le coût était important donc limité
    Il y a quelques année sje suis allée sur la tombe ,mais plus de tombe à son nom ,probablement rachetée ,du fait que plus personne s’en occupait ;Son fils est parti tenir un commerce à Voiron

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    • Bonsoir

      Effectivement tous ces biens ,que ce soit /Immobiliers ,tombes etc....semblent ne pas avoir été géré aux bénéfices des personnes qui sont partis ,Ensuite ,les familles ne s’en pas trop préoccupées .Quand j’ai essayé de retrouver la tombe de mes ancêtres au cimetière de Soller ,il y à un certain nombre d’années ,le gardien à vérifier sur son registre ,m’a dirigé sur une tombe qui avait un numero précis ,et là ,rien ne correspondait à la famille ,en discutant avec une dame du village ,j’ai su que la tombe avait été racheté par une personne qui habitait le Port de Soller

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 5 novembre 2020 19:06, par Waller Michel

      Effectivement, à Soller, de nombreuses tombes ont été abandonnées ; les héritiers ne se sont pas manifestés ou n’ont pu fournir les documents justifiant de l’attribution de la concession. Ces tombes sont reprises par la mairie, cédées à un mestre d’obres local qui la rénove et la revend, une opération lucrative.......Il en est de même pour des maisons, terrains qui se sont perdus. D"autres biens, au gré des successions se retrouvent en indivisions inextricables, héritiers dispersés de par le monde, situations récurrentes de ces terres d’émigration. Les héritiers restés sur l’île sont face à des impasses juridiques ;
      Permettez moi un conseil, si vous êtes attachés à vos racines, et soucieux de garder vos héritages, veiller à la mise à jour claire de vos biens, ce qui n’est pas toujours facile aux Baléares..... !!!

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 14 octobre 2020 08:09, par christine Avril Pons

    Bonjour
    Au hasard des mails je découvre ces pages qui me passionnent car mon père Rafael Pons né le 3/1/1891 à Soller a immigré en France en 1904 Où lui aussi est venu rejoindre frère et soeur.
    Je m’y intéresse seulement maintenant c’est pouquoi j’ai lu avec autant d’intérêt l’histoire de votre famille.
    Merci
    Belle journée.
    Au plaisir d’en savoir plus.
    Cordialement
    Christine Pons

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 12 octobre 2020 16:18, par Michel Sancho

    bonjour
    je viens de découvrir que mon arrière grand-mère maternelle était née à Soller en 1872. En cherchant où était Soller j’ai découvert votre article et les commentaires.
    Je n’ai que peu d’informations, elle était marié avec un Antonio Gamundi, leur fille, ma grand-mère était née en 1898 à Lyon et sa soeur en 1905 à Sète
    Son nom était TOUS, est-ce un nom espagnol ? comme mon arrière grand-père GAMUNDI est-ce espagnol ? Ma seule autre info est qu’elle a été naturalisée en 1938 et est morte à Toulouse en 1961 (je l’ai rencontrée tout petit !)

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 23 avril 2020 11:28, par marie MARFAING

    Bonjour

    Merci pour cet article très intéressant, j’ai appris beaucoup de chose, ma grand mère que je n’ai pas connu se nommait Catherine CATALA BERNAT elle a émigré en Algérie avec ses parents et son frère ainé BARTHELEMY !
    les CATALA sont de PALMA et les BERNAT de SOLLER.
    J’ai eu la chance de visiter cette île que j’ai trouvé magnifique.

    Cordialement

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  • Mon arrière grand père, Pedro Bernat (qui s’appellait ensuite Pierre) est né à Soller à la fin des années 1800,je ne sais plus exactement quand je dirai vers 1892 puis a émigré en France à Saint Quentin il me semble chez son frère. Puis il a emménagé à Berck, et est devenu grossiste en fruits et légumes. Mon grand père Michel Bernat a reprit l’affaire avec son frère Jean-Pierre Bernat. Mon grand père est resté sur Berck il est encore en vie (88 ans) et son grand gère à déménagé à Montpellier à la retraite et est décédé à 89 ou 90 ans il me semble l’année dernière. Leur autre fête encore en vie, Robert Bernat a vécu aussi à Berck et tenait une épicerie, et vit désormais à Issoire.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 7 avril 2019 12:43, par LECOMTE Viviane

    Bonjour,

    Mon grand-père s’appelait François Bernat et était également originaire de Soller.
    Je crois qu’il a vécu à Saint-Quentin où il s’est marié avec ma grand-mère. Ils sont venus ensuite vivre à Saint-Dié(88) où ils ont eu 6 enfants 4 filles et 2 garçons :
    Françoise, François, André, Antoinette (ma maman) Micheline et Christiane.
    J’ai très souvent entendu parler de Soller où j’ai très envie d’aller sur les traces de mes ancêtres. Peut-être sommes-nous issus de la la même famille.
    Cordialement
    V. Lecomte

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 7 avril 2019 12:04, par LECOMTE Viviane

    Bonjour,
    Mon grand-père s’appelait François Bernat et était également originaire de Soller.
    Je crois qu’il venait de Saint-Quentin où il s’était marié avec ma grand-mère. Puis ils sont venus vivre à Saint-Dié où il était garçon de café. Ils ont eu 6 enfants, 4 filles et 2 garçons : Françoise, François, André, Antoinette (ma maman) Micheline, et Christiane. Peut-être sommes-nous originaires de la même famille. J’ai très souvent entendu parler de Soller où j’ai très envie d’aller faire un petit tour sur les traces de ma famille.
    Cordialement
    V. LECOMTE

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    • Bonjour
      Descendant également d’un émigré de Soller, Francisco BERNAT OLIVER (mon arrière-grand-père) qui a fondé, lui aussi, un magasin de fruits et légumes à Hyères (Var), je suis en mesure de vous informer que nos arbres généalogiques respectifs se rejoignent au niveau de son père Antonio BERNAT SERRA

      En effet, votre arrière grand-père Antonio BERNAT OLIVER était frère avec le mien.

      A votre disposition pour partager plus si vous le souhaitez.
      Bien Cordialement
      Jean BERNAT

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  • Bonjour
    Je découvre le forum au hasard de mes recherches.. Le grand père de ma femme, côté maternel s’appelait Laurent Ramonell, il est né à La Ciotat le 21 août 1898. Fils de Jacques Ramonell lui-même né à Bénisalem et de Isabelle Maria BAUZA née à Soller. Il a tenu longtemps un magasin de fruits et légumes avec un grand rayon de fruits espagnols. Il est décédé le 12 juillet 1979.

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  • Bonjour, j’ai un arrière grand père originaire des Iles Baleares il travailler avec ses parents dans leur commerce en détail dans ’lYonne, j’ai pas plus d’information son nom de famille était Sumurot , j’aimerais savoir si ce nom est originaire de la bas ou modifie parce que son nom ne sonne pas catalan.
    Merci de votre aide

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    • Bonjour BIGL,
      Effectivement, ce nom SUMUROT ne vient pas des Baléares. Et je ne vois pas trop de quel nom cela pourrait être une variante. Peut-être sa mère était elle des Baléares et aurait épousé un français de ce nom. Il y avait des MIRO à Auxerre, originaire de Soller, mais cela semble trop éloigné.
      Dans quelle ville de l’Yonne étaient-ils installés et savez vous à quelle date à peu près ?

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      • Merci du retour, un mystère cet arrière-grand-père il a abandonné ma grand-mère petite, d après ceux qu’ils l’ont connue le nommé Rico.J’ai effectué un test ADN le résultat m’a donné les Îles Baléares comme région à 15 %, environ et j’ai des cousins ADN éloignés originaires des Îles Baléares et la région de Valence.Le commerce de fruits et légumes de mon arrière-grand-père et de ses parents se situe à Montargis il me semble dans les années début 1900.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 18 octobre 2018 17:45, par GUASP ROCA Michel

    Bonjour,pour apporter un peu à votre article, mon père né Francisco GUASP ROCA en 1908 à Soller venu en France à l’âge de 12 ans rejoindre son frère aîné Juan qui s’y trouvait depuis quelques années,à effectivement travaillé dans des commerces d’alimentation tenus par d’autres émigrés sur la cote d’azur (Canne en particulier) puis dans l’est de la FRANCE lorsqu’il a rencontré ma mère,Lorraine d’origine, se sont mariés puis a ouvert en 1935/36 une épicerie à NANCY (Mthe & Mlle) au 226 de la rue du Montet (avenus du Gle LECLERC maintenant). Il avait donné pour enseigne à son commerce :" AUX JARDINS D’ESPAGNE". Il a dû cesser, pour raisons familiaies, son activité dans les années 1950 après l’avoir revendu à un fils d’émigré de Soller également qui s’appelait Mathieu COLOMB qui avait lui même une soeur mariée avec un autre émigré de Soller, Pierre ARBONNA, qui tenait un commerce de gros en fruits et légumes à NANCY en partenariat avec toujours un autre émigré du nom de François PUIG. Je ne sais pas ce que sont devenus ces messieurs PUIG dit "Paquot" ni ARBONNA mais le commerce de mon père n’existe plus depuis les années début 1975, montée en puissance des grandes surfaces. On est bien dans la logique de votre étude. Cordialement.

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  • Passionnants échanges sur les origines Mallorquines de nombreux patronymes que je connais... il suffit d’aller au MIN à Lille pour y retrouver des Ballester, ou Mora...sans compter les Coll, Ferra (famille par alliance), Canals, Puig, Alcover....du temps où Les Halles de Lille se trouvaient en centre-ville, rue Massena ou de Solférino...
    il y avait également un Bernat qui était grossiste en Fruits & Légumes à Berck sur mer il y a une quarantaine d’années

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 7 août 2018 09:31, par Marie Manfroy née NOGUERA

    Bonjour,

    Très intéressant article, qui me replonge dans mon histoire familiale !

    Mon grand père Amador NOGUERA-COLOM né à Binairaix (Soller)en 1888 , est arrivé à Nîmes à l’âge de 7 ans, " placé " chez un patron majorquin. En 1913, il reprend à Lille, avec un certain Oliver, puis après la guerre 14/18 tout seul, un magasin de fruits " Au soleil d’Espagne " gros et détail. Il se marie avec une fille de Caimari. Il y avait une grande communauté de Majorquins sur Lille. Sur le recensement des années 1920, il y a un nombre impressionnant de "Solleriques" résidant dans le quartier des Halles à Lille, Nous avons tenu ce commerce de gros jusqu’à fin 2016.
    Nous revenons toujours à Soller où nous avons de la famille et toujours la maison familiale.

    Les Solleriques ont beaucoup émigré car il y avait les bateaux qui partaient de Soller sur Séte ou Marseille avec leurs cargaisons d’oranges.

    Je fais des recherches généalogiques,au fil de mes passages sur Soller.

    Nous avons retrouvé beaucoup d’archives du temps du magasin, et beaucoup d’émigrés Majorquins sont passés chez mon grand-père avant de s’installer à leur compte.

    Il existe aussi un livre avec les listes d’émigrés de Soller pendant les différentes périodes.

    Un grand merci

    Marie Manfroy ( Noguera )

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    • Eh bien qu’attendez vous pour écrire l’histoire de votre famille, des voyages, du commerce comme moi, bon français, marié à une descendante d’émigrés, je l’ai fait pour l’histoire d’André Bernat de Vendôme, dont je fréquente la famille à Soller. Il est dommage que tant de liens, d’archives disponibles ne soient pas exploitées.
      Mon cousin Mayol de Lorient, lié aux mayols de Metz, de Boulogne a publié l’histoire des majorquins de Lorient dans la revue de généalogie de Bretagne ’La Chaloupe’ dans 6 numéros successifs, passionnant avec des tas de détails sur le quotidien des émigré. Allez au travail, les descendants, ne laissez pas perdre votre histoire.
      Allez au travail tous Les commentateurs, que ma publication vous incite à écrire à votre tour

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    • Merci pour l’intérêt porté à mon article.
      A Soller, je suis Président de l’Associacio França a la Vall de Soller’ dont vous pouvez consulter le blog où vous trouverez des informations sur notre mission, nos activités et des articles très divers sur Majorque, dont celui ci, à la rubrique "Histoire et culture"
      Blog : http://afvsoller.blogspot.com/
      Si vous passez à Soller, faites nous signe, et si vous le souhaitez, vous pourriez rejoindre notre association.
      Bonne lecture Michel Waller

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  • Je viens de lire votre interessant article lors de chercher à internet information sur François Morante de Sete donc mon ancetre,le grand père de mon père, Salvador Vidal faissait le commerce des oranges, petit pois, pommes de terre, etc., depuis San Pol de Mar à 40 km de Barcelone ver le litoral nord. Il faisait ce commerce a beaucoup des endroits comme Perpignan, Rivesaltes, Montauban, Lyon, Nimes, Bordeaux, Sete, Toulouse, etc.
    Mon ancetre dans son cahier l’apelle Francisco Morante. Je crois que la langue (les deux parlait catalan) il etait un plus de proximité.
    Je voudrait savoir si vous savait quelque plus d’information sur ce sujet ou des autres commerciants qui faisait le commerce avec l’Espagne.
    Mon ancetre faisait ce commerce pendent aprox. depuis 1875 jusqu’a debut du xx siècle. Merci

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  • Les sollerics de France 13 janvier 2018 16:03, par Michele Moreno Bilger

    Je lis avec attention tous ces messsages et ils me touchent beaucoup. Ma Mère s’appelait Paquita Segui Canals. Mon Mateo Segui avait le restaurante El Kiosko à la plage. Mon grand Père avait son affaire à Marseille au Cours Julien, là où ma Mère est née en 1917.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 13 décembre 2017 15:06, par christine Pons Avril

    Bonjour,

    Mon père Rafael Pons Roca, né à Soller en1891, décédé à Saint-Malo en 1976, avait immigré en France en 1904-1905.
    Marié en 1946 avec ma mère Léone Lenoir, il a eu 5 enfants, je suis née en 1951.
    J’aimerais connaître les descendants de ma famille paternelle.
    J’ai rencontré en 1985, à Soller où nous étions allés avec mon mari à la recherche de mes ancêtres, un de ses neveux Felipe, décédé peu de temps après et en 2004, des cousins Tolo Palou qui nous ont accueillis très gentiment ã Soller.
    Aujourd’hui, je dispose de temps pour poursuivre ces recherches, aussi je vous remercie si vous pouvez m’aider à remonter le temps.

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    • Bonjour,
      Il me semble que ce Rafael PONS a vécu à Avranches, où il tenait un garage, dans les années 1910s-1920s avant de s’installer à Saint-Malo.
      Il avait un frère ainé Juan PONS ROCA qui lui s’était installé à Saint-Lô. Il était marié à Catalina VALCANERAS MASCARO. Ils y avaient un commerce de fruits et légumes.
      Il y avait 2 familles de majorquins commerçants de fruits et légumes à St-Lô : les PONS et mes grands-parents.
      J’ai quelques détails sur cette famille PONS de Saint-Lô. Voici mon e-mail si vous souhaitez échanger sur ce sujet : jc.rotger chez orange.fr

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 14 décembre 2017 10:42, par Christine Avril Pons

        Bonjour,

        Quelle émotion nous procure votre réponse !!!

        J’ai du mal à y croire...
        Un oncle qui vivait si près de nous et si loin à la fois.
        L’avez-vous connu ? Est-il retourné vivre aux Baléares ? En quelle année est-il décédé ?

        Je mets en copie ma soeur qui vit en Guadeloupe et ma nièce, Sandrine Pons, fille de mon frère Luc, pour qui je fais ces recherches généalogiques.

        Au plaisir d’en savoir plus !!! MERCI !!!
        Cordialement
        Christine

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  • Excuse me for my lack of French
    I am going to write it in English, in case you are no longer familiar with mallorqui.I am trying to reach an hypothetical French root somewhere
    My grandfather, Bernat Vicens Sampol, born in Marseille, 11th of April 1910, son of Bernat Vicens Llado and Francisca Sampol Llabres ( I think ;)... )They both were born in Mallorca, emigrated at some point to France, and had a grocery shop in the area of Marseille’s port.Apparently they had to sell due to port expansion, so they returned to Mallorca mid of 1920s. I think they had some family there, just wondering.

    Salut a tots,
    Bernat Vicens Iddon

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 15 octobre 2022 15:13, par Galéoté Didace

      Je suis né à Marseille et je suis petit fils de Pierre Pons Llabres d’Establiments et de Isabel Bernat Colomb de Soller née en1898.ils ont vécus à Mulhouse,Belfort,Nancy et sont descendus à Marseille en 1932.ils étaient propriétaires de la brasserie du chapitre,qui est devenu un bureau de poste. Mes grands parents sont retournés vivre à Establiments jusqu’à la mort de mon grand père. Je retourne toutes les années à Mallorca et j’ai un ami qui vit à Soller Thomas Roméro.

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 16 août 2017 10:47, par Frederic ARMAND

      Hello,
      Granson of Solleric , I live near Marseilles and I am studying the Mallorcan immigration ;
      I have found your grandfather’s birth certificate ; I have also find the family constitution in 1921 census ; They used to live 7 rue Bonneterie ( This street destroyed by the Nazis in 1943 )
      I also have the registration under the commercial register of Marseille in 1920
      Infortunately , the documents are in French ; If you are interested , please contact me by mail "armandfrede chez sfr.fr"

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  • Bon dia a tots
    Mem si qualqu em pot ajudar a trobar alguna arrel a Franssa.
    Es meu padri, Bernat Vicens Sampol, va neixer a Marsella l’11 d’abril de 1910. Els seus pare, Bernat Vicens Llado y Francisca Sampol LLabres ( crec que eren els seus noms), tenien un negoci de queviures al port de Marsella, negoci que varen vendre ( crec que per l’expansio des port) i tornaren a Mallorca ( Binissalem), crec que entre 1926 i 1927. No se exactament d’on eren originaris es meus padrins, segurament de pobles mallorquins diferents. Tampos se quan varen arribar a Marsella o si abans passaren per algun altre lloc. Se que tenien algo de familia quan se’n varen tornar a Mallorca.
    Es meu nom es Bernat Vicens Iddon, salut a tots

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 22 juin 2017 15:28, par Mme Jane Forsyth

    Bonjour
    J’ai pense que j’ai oublie de mettre mon addresse email quand j’ai laisser le message conccrnant le traffic sur le Paillebot Miguel CALDENTEY entre soller et Port-Vendres.
    Merci

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 22 juin 2017 15:23, par Mme Jane Forsyth

    Bonjour
    Je suis Presidente d’une Association qui est en tren de produire une tapisserie de l’histoire de Port-Vendres. J’ai commence le dessin pour un panneau de depicter la jumelage entre Soller et Port-Vendres.
    Je voudrai savoir comment les oranges etait transporter (par example, en boites ou panier)et aussi les grains, dans le Paillebot Miguel CALDENTEY.
    Merci si vous puvez m’aider.

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    • Bonjour à tous, je ne pensais pas déclencher une telle source d’information et d’échanges avec mon modeste article qui a au départ valeur d’exemple dans sa simplicité. Je suis Président de l’Association França a la vall de Soller. Allez sur le site afvsoller.blogspot.com vous y trouverez à la rubrique Histoire et culture des articles divers sur Soller, le commerce maritime..... etc. Notre association est membre du Comité de pilotage du jumelage Soller Port Vendres et à ce titre à la source d’informations sur le trafic maritieme. Jane je peux vous aider pour votre tapisserie, j’ai eu un contact récent avec Sally O Fareel au sujet des peintres de Marseille. Contactez moi direct à mwlgbs chez orange.fr.

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  • Bonjour, mon arrière grand père a eu le même parcours il est arrivé de Majorque dans les années 1890 dans la Drôme où il a épousé mon arrière grand mère, malheureusement mon grand père ne nous a jamais parlé de sa famille ni à mon père ni à nous. Il s’appelait Juan Puig,en lisant ce superbe article, je me dit que j’aurais aimé connaître un peu plus de mon histoire.
    V.Puij (et oui le G a été changé en J)☹

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  • mon grand père JAIME VICENS GUISCAFE né le 14 juin 1984 à SOLLER est venu en france avec ses amis CASTANER, OLIVER.... et d’autres il s’est installé à LILLE en tant que commerçant de produits qu’il importait d’Espagne il avait un commerce de détail et grossiste sa maman Maria VICENS GUISCAFE avait un commerce sur le port de SOLLER où l’on vendait de tout vêtements alimentation produits divers nous avons de la famille à SOLLER Pedro TOCHO VICENS

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 13 mars 2017 00:10, par DELANNOY VICENS MARYSE

    Mon grand père JAIME VICENS est venu en France dans les années 1910 aussi avec les castaner, Alcover ..... et d’autres amis après avoir eu un restaurant en belgique il s’est installé à LILLE où il avait un commerce important et aussi de gros il a installé la famille de ma grand mère dans le commerce elle aussi espagnole et avait une belle situation malheureusement il est décédé à 50 ans sa maman tenait le magasin principal sur le port d SOLLER il exportait des fruits et autres en FRANCE où on y vendait de tout il lui reste de la famille à SOLLER notamment PEDRO TOCHO VICENS c’est bien de relater ces personnes qui ont quitté un lieu si beau pour faire fortune c’est un bel hommage

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 22 décembre 2016 18:47, par colon claude

    bonjour mes grands parents sont nés à Soller de nom COLOM. j’aimerais savoirs si des descendants sont encore à Soller. une érreur a été commise lors de l’inscription à la mairie de marseille sous le nom de colon et non colom. Mon grand père avait comme prénom joseph. mercci.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 22 décembre 2016 15:47, par Pierre PUIG

    Bonjour
    Merci pour votre article très intéressant. Mes grands parents maternels et paternels ont émigrés de soller a Thaon-les-vosges pour les premiers, a Sète pour les seconds ou ils ont tenu des commerces de fruits et légumes.
    Mon père est venu de Sète à Nancy ou il a épousé ma mère dans les années 30 puis après la guerre, il a ouvert un commerce de fruits et légumes en gros a Nancy.
    Merci pour votre travail !

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  • Bonjour, à cette liste de noms, vous pouvez ajouter Jean Alcover qui figure dans le recensement de 1911 du Touquet Paris Plage dans le Pas-de-Calais, il est né à Soller, Espagne, en 1885 (difficile à lire). Il a été jusqu’après la 2e guerre mondiale, grossiste débitant de boissons dans cette ville... si ça peut aider.
    Bien cordialement.
    Philippe.

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 14 décembre 2016 04:24, par Xavier Oliver

      Bonjour,
      Très heureux de redecouvrir l’histoire des sollerics.
      Mon grand-père était Sébastien Oliver né à Palma mais dont le père était de Soller. Il est venu en France, à Bort les Orgues en Corrèze vers 1930 et a épousé sa cousine, fille de Gabriel Oliver de Soller je pense.
      Sébastien avait repris le commerce "Aux produits d’Espagne" ouvert par Gabriel, rue de Paris à Bort, et se ravitaillait à Clermont-Ferrand chez des grossistes des Bâleares. Mon père et ma mère ont pris la suite pendant quelques années.
      Pourriez-vous me dire qui contacter pour avoir plus d’informations sur ma famille sollerics ?
      Bien cordialement,
      Xavier

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 15 août 2020 23:26, par frederic ARMAND

        Bonjour Xavier ,
        Je viens de lire votre message sur le forum et j’ai peut être un "tuyau" pour vous ; En effet j’ai une amie originaire de Bort les Orgues et qui apparentée aux OLIVER Marchand de primeurs . Elle possède une photo prise devant le magasin avec Gabriel OLIVER sa femme Jeanne BAILLY et leur fille Espéranza ainsi qu’un portrait d’Espéranza ;
        Si vous ètes interessé par cette "piste" je peux vous mettre en relation
        Cordialement
        Frédéeric ARMAND

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 17 novembre 2016 19:29, par Pere Frontera Alemany

    Bon dia : Gràcies a Michel Waller he entrat al vostre racó d’internet sobre els emigrants sollerics a França i he passat una estona molt agradable.
    Sento molt no saber escriure correctament el Francès que entenc i llegeixo bé.

    Soc Pere Frontera Alemany nascut a Sóller on he viscut sempre i des de la meva jubilació dedico bona part del meu temps lliure a la genealogia i d’investigació sobre Sóller.
    Descendesc d’emigrants sollerics a França i Cuba.

    El meu padrí Joan Frontera Bibiloni alies « pepurrosso » de Biniaraix (*1892 + 1969) va emigrar a França. Casat amb Maria Magdalena Pons Ozonas alies « marrai » (*1893 + 1916) qui va morir a Epinal després de néixer el meu pare Jaume Frontera Pons (*1916 +1983).
    Nespres es tornar a casar amb Barbara Rullan Vicens i viviren a Belfort.

    L’altre padrí, pare de ma mare, Pere Joan Alemany Frontera alies « d’es moli »,(*-1890 + 1947) també havia emigrat i casat amb Paula Casasnovas Casasnovas alies « garau » (*1895 + 1957) , estaven a Lyon quan va néixer ma mare Antònia Alemany Casassnovas. ( Industrie,18 Saint Fons – Lyon – Rhone – França ) De Lyon passaren a viure a Calais, on tenien una botiga de fruits i primeurs /( Bvd. Lafayette, 122 – Calais – França)

    De les meves recerques genealògiques vos puc oferir moltes dades dels llinatges dels meus antecessors – Frontera ( Des de l’any 1325 a Sóller) vegeu el meu treball sobre el llinatge Frontera a Sóller : http://www.ajsoller.net/wms/ofo/imgdb//archivo_doc287417.pdf
    planes DEL DOCUMENT : 131 a 198 -PLANES DEL LLIBRE : 171 A 197
    així com dels altres llinatges : Alemany, Pons, Casasnovas, Ozonas , etc.

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 21 juin 2017 14:51, par jean-louis clérici

      Bonjour Pere Frontera,

      Très contente aussi de cette correspondance, aussi pour plus de facilité et pour donner mes coordonnées ( adresse... ) je donne mon adresse email : clericiritajl chez gmail.com
      Salut i besades. MR Frontera

      PS : J’ai déjà écrit ce message, mais je crois me l’avoir envoyé à moi même par erreur.

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 18 juin 2017 21:12, par Frontera épouse Clérici

      Re bonjour Pere Frontera ALEMANY,

      En fait je suis la petite fille de juan Frontera Bibiloni et ma grand mère était Barbara Frontera Rullan.

      Marie Rita Frontera

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 18 juin 2017 20:42, par Frontera épouse Clérici

      Bonjour Pere Frontera Alemany,

      Je viens de lire le message et si j’ai bien compris, je suis ta petite cousine, j’embrasse toute la famille de Soller.

      Marie Rita Frontera

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    • Buenos dias Sr Frontera.
      Creo que somos primos lejanos por la rama BIBILONI. Si no me equivoco, su abuelo Juan FRONTERA BIBILONI era el hijo de Maria BIBILONI SAMPOL, hija de Pedro Jose BIBILONI SIMONET, nacido en Alaró en 1826, que se trasladó a Sóller donde se casó en 1852 con Rosalia SAMPOL ESTADES.
      Pedro José BIBILONI SIMONET era hijo de Juana Maria SIMONET PASTOR y el bisabuelo de esta era Miguel SIMONET BORRAS (1695-1768), que es mi ascendente en línea directa.
      ¡ Asi que si cuento bien, seriamos primos al octavo grado !
      Si le interesa, le puedo enviar el detalle de esta ascendencia SIMONET de Alaró.
      Aquí es mi e-mail : jc.rotger chez orange.fr
      Mis abuelos nacieron en Sóller y emigraron a Francia alrededor de 1920. He buscado a mis antepasados mallorquines. Eran en mayoría naturales de Sóller, Alaró y Palma. He encontrado algunas ramas hasta 1550.
      En Sóller, de momento he encontrado los apellidos siguientes en mi línea ascendente directa, hasta el siglo 16 : Morell, Colom, Vicens, Ripoll, Canals, Enseñat, Ribas, Reynes, Llabres, Trias, Frau, Alcover, Marques, Cuart, Oliver, Castañer, Mayol, Casasnovas, Rebassa, Ferrer.
      A ver. Quizás tengamos otros ascendentes comunes en Sóller. Me gustaría intercambiar con usted sobre todo eso. Aquí es mi e-mail : jc.rotger chez orange.fr
      Atentamente
      Jean-Christophe ROTGER

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 28 juin 2016 16:41, par christian GALY MORELL

    Ma maman s’appelait margarita Morell de Soller a épousé Emile GALY à LANGON en 1938, ont eu 7 enfants et ont tenu une épicerie et un rayon de fruits et légumes. Le magasin s’est agrandi est devenu Nouvelles Galeries, existe toujours et est dirigée par ma fille Hélène DEVEZA.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 18 juin 2016 11:39, par f.roullet - renoleau née morell

    Mon père Bartolome Morell Noguera est né à Soller,il est venu en France en 1919.J’ai encore de la famille à Soller où mes enfants et moi revenons tous les ans.Je serais très heureuse de pouvoir obtenir cet ouvrage,comment serait ce possible.Je suis d’Angouleme ou ont vécu beaucoup de mallorquins :Alemany,Oliver,Vich,Castaner.Arbona

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 21 avril 2016 18:45, par Damian CANALS-FRAU

    Non, j’ai encore à ajouter quelques lignes.
    Mon gran père, Mestre Pau de se Musique est un enfant trouvé.
    Il a été donné à Madame Canals-Bauza pour son alaitement. Finalement il est resté dans cette famille sans être adopté, donc, legalement, nous n’avons pas de patronimiqe.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 20 avril 2016 17:16, par Damian CANALS-FRAU

    L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles.
    Je suis né à Soller en 1919, de même que mes parents une vingtaine d’années plus tôt. Je suis un petit fils de "mestre Pau de sa musique". Très jeun, mon père a émigré de Soller pour travailler avec son frère à Armentiers (Nord, France) et ensuit avec sa sœur (épouse Nicolau) à Aschaffenburg (Alemagne)dans leurs magasin de fruits et vins. Finalement il se mit à son compte, d’abord à Fulda (Alemagne) ensuite à Frankfurt am Main (Alemagne). Il aimait les études et tout son temps libre ( ma mère s’occupait aussi du magasin) il le passait comme élève libre dans les classes d’anthropologie et ethnographie de l’université de Frankfurt. Plus tard il devint professeur de ces disciplines à l’Universite de Cuyo en Argentine. Je suis allé à l’école primaire à Frankfurt. Quand j’avait 11 ans, en 1930, mon père a vendu son affaire et nous avons émigré à l’Argentine. Après plusieurs années de galère, pendant lesquels je me suis occupé des vaches, les soigner, traire et répartir le lait, j’ai pu reprendre des études : certificat d’études primaires, secondaires et universitaires. Et me voilà à 30 ans avec un diplôme de Docteur en Physique de l’Université Nationale de LA Plata, Argentine. En 1952 j’ai décroché une bourse de perfectionnement du Gouvernement Français pour travailler à l’Institut d’Optique de Paris. Depuis, j’ai travaillé pour le CNRS (Centre national de Recherches Scientifiques) jusqu’à ma retraite à 65 ans.

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    • Bonjour Damien,
      Je me présente, Vincent MAYOL, 46 ans, petit fils de Marie MAYOL née Canals Boras à Armentières en 1912. Elle était la fille de Damien Canals et Isabelle Boras mais surtout petite fille de Pablo Tomas CANALS né à Soller le 26/09/1834. Donc, à priori, sommes nous cousins ?
      Dans l’attente d’échanger sur nos arbres généalogiques.
      Cordialement.
      V MAYOL

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      • Bonjour Vincent, Je me présente, Georges Joachim, fils d’Antoinette Canals née en 1919 à Armentières, une des sœurs de Marie ta grand mère. Nous pourrions échanger sur notre famille commune.
        Cordialement.

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        • Bonjour Georges,
          Je serai très heureux de faire la connaissance d’un cousin mallorquin ! D’autant plus que j’ai bien connu Antoinette quand elle venait voir Mamie à La Flèche. Je n’ai pas le temps mais ma généalogie m’a toujours intéressée et côté Canals j’ai des photos sans nom ! (Les magasins d’Armentiere). Je suis aussi très heureux d’avoir une photo de l’orchestre de notre aïeul « Mestre Pau » de 1900, fondateur de celui ci. Bref on pourra échanger. Je travaille la journée ( je vis et j’ai une famille sur Nantes) mais je suis joignable le soir au 0676771548. vince.mayol chez gmail.com
          Bien cordialement. Vincent.

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    • Bonjour M.Canals-Frau
      Votre histoire est passionnante.
      J’ai lu des choses sur votre grand-père Pau Canals, professeur de musique de Sóller à partir de la fin des années 1860s, et son orchestre « sa musica de mestre Pau ».
      Antonio Rotger Femenias - cousin germain de mon grand-père- fut un de ses successeurs comme professeur municipal de musique de Soller dans les années 1920-30s et a certainement auparavant été l’élève de Mestre Pau. Il fonda en 1912 avec un autre musicien de Soller - Miguel Ballester Serra – un orchestre appelé la « Lira Sollerense ».

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 21 avril 2016 18:33, par Damian CANALS6FRAU

        Bonjour M. Rotger.
        Je peu encore ajouter quelques lignes à mon texte.
        Mon père, Salvador, s’est marié avec une solleric, Margarita Vicens. Une soeur de ma mère, Antoinette, s’est marié avec le prince égiption Sala-el-Din Fuad qu’elle avat rencontré à Marseiile. Coup de foudre. Ils se sont marié et ont vecu à Soller jusqu’a leur mort. Mariage morganatique (leur descendance n’est pas inscrite sur la liste des héritier de la couronne d’Egipte, et maintenant l’Egipte est une republique. De toutes façon, ils n’ont pas eu d’enfants.)

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        • M.Canals, ces 2 sœurs Vicens n’étaient elles pas de la fameuse famille des patrons de voiliers de Can Codony, qui transportaient sur leur paillebot les oranges de Soller à Marseille (dont un certain Antoni Vicens Mayol) ?

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          • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 22 avril 2016 19:20, par Damian Canals-Frau

            L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles

            Effectivement,il s’agît de ma mère et de ma tente Antoinette, dite "la Princesse". Mon grand-père maternel, Antoni Vicens Mayol, était le patron des voiliers. Des fois, il amené une de ses filles. Cet ainsi que ma tante Antoinette c’est trouvé à Marseille et le "coup de foudre" avec le prince Sala-el-Din Fuad d’Egipte se produisi.
            Mon oncle Antoni c’est marié avec une française, ma tante Auguste, et s’est instalé à Aix-en-Provence. Ils ont eu un enfant, mon cousin Louis Vicens (décédé). Actuellement je cherche ma cousine par aliance Marie-Thérèse Vicens. Ils habitaient au 4, place de la République, et on me dit "inconnu à cette adresse".

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            • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 31 janvier 2019 08:34, par Michele Bilger Segui

              Bonjour Damian, En relisant tous ces messages je me rends compte que nous avons des liens de parenté dont ma mère me parlait parfois. En effet, ma grand mère s’appelait Maria Canals Alcover ; ma mère m’a souvent parlé de vous. D’autre part, "La Princesse" était une amie très chère pour elle, et le prince était très lié à mon grand père Mateo Segui umbert. Bonne journée,
              Michèle

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            • Bonjour, Damian Canals Frau

              Je suis Marie Rita Frontera, ma mère Marie Rose Frontera m’a plusieurs fois raconté cette histoire de coup de foudre avec le prince Sala-el-Din Fuad d’Egypte d’après son histoire, le prince était entrain de se suicider dans sa chambre d’hôtel à cause de nombreuses dettes et c’est Antoinette qui a empêchée ce geste, elle lui a remonté le moral... et la suite c’est une histoire d’Amour... Je suis très heureuse de retrouver cette histoire. Au fait la grand Mère de ma mère se nommait Catalina Vicens Mayol serions nous de la même famille ?

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 11 avril 2016 09:05, par Isabelle CANALS

    Bonjour,

    Un grand merci car je viens de comprendre , enfin, pourquoi mon arrière-arrière grand-père Joseph CANALS/COLOM né à Soller le 22/02/1985 a emigré en France en 1906 !

    Il a épousé en France Antoinette PALOU/BALESTER le 14/12/1907 à Valence dans la Drôme ! Il a d’abord travaillé dans un restaurant puis ouvert son commerce de fruits/légumes à Crest toujours dans la Drôme !

    Je suis allée en "pélerinage" en 2001 à Majorque ; à Soller, une rue porte le nom de CANALS mais à ce moment là je n’ai pas retrouvé d’information sur mes ancêtres !

    C’est important pour moi de savoir que mon aieul a quitté son île pour des raisons économiques ! ils étaient propriétaires terriens et avaient des oranges ! le père de mon arrière arrière grand père Joseph CANALS de Can’chispes est décédé en 1906 à Soler et j’imagine qu’il a du quitté l’île pour subvenir aux besoins de sa famille(il avait 21 ans).Cette épidémie sur les oranges a du les mettre dans la difficulté et il n’y avait sans doute pas d’autres sources de travail là-bas à ce moment-là.
    Ensuite sa mère Maria Colom de Can’ Doll l’a rejoint à Crest.

    Je fais ces recherches dans le cadre de la psychogénéalogie et trouve des réponses de ma propre histoiredans le passé de mes ancêtres !

    merci encore !

    Isabelle CANALS ex- CAÑALS

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    • Bonjour,
      Je trouve par hasard votre message. La famille PALOU était amie avec ma famille, ESTADES, à Valence dans la Drôme.
      Mon arrière-grand-père, Jean ESTADES, arrivé de Soller en 1908 à l’âge de 15 ans, s’est marié en 1915 à Valence.
      Barthélémy PALOU, frère d’Antoinette PALOU, était son témoin.
      Je peux vous transmettre quelques documents et dates concernant la famille PALOU si vous le souhaitez.
      Cordialement,
      Pascal ESTADES

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      • Bonjour Pascal,
        Merci pour votre message et ravie d’avoir cette information(même 8 ans plus tard !! 😄 à propos de la famille Palou amie de votre famille.
        Je suis maintenant revenue dans la Drôme et tout nouveau document concernant mes ancêtres Majorquins m’intéressent.
        Comment pouvez vous me les faire parvenir ?
        Bien cordialement
        Isabelle

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    • Bonjour,
      J’ai moi aussi un Josep CANALS dans ma généalogie à Soller, né vers 1700, marié à Caterina RIBAS.
      Leur fille Margarita CANALS RIBAS, née le 21 Février 1725 à Soller, est l’arrière-grand-mère de mon arrière-arrière grand père....
      Mais il faut dire que CANALS est un nom assez courant à Majorque et notamment à Soller.
      Bonnes recherches.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 9 janvier 2016 11:01, par PATRICIA ROSINI Née FERRER

    bonjour Monsieur
    ENCORE merci pour ces toutes ces informations
    il est important de connaître ces origines
    bien cordialement
    PATRICIA

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 27 décembre 2015 17:16, par ARBONA Barthélémy

    Très bel article doté d’une forte charge émotionnelle car je viens de lire l’histoire de mes parents et grands parents contée lorsque j’étais enfant.Grand père et père Jaume ARBONA COLOM nés à Fornalutz au dessus de Soller et mère Antoinette RIPOLL RIPOLL de Deya. Tous disparus mais m’ont transmis l’amour de Majorque que je visite chaque année.Ma famille s’est installée sur ARLES ET FONTVIEILLE 13 et je sais que mes parents entretenaient des contacts sur Marseille sans que je puisse me rappeler qui exactement. je suis adhérent à France val de Soller et l’on peut me contacter sur mon mail.

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 9 janvier 2016 10:58, par PATRICIA ROSINI Née FERRER

      bonjour
      je trouve cet article aussi tres interessant
      c est important de connaître et comprendre ses origines
      je viens de passer une semaine de vacances à SOLLER et plus précisemment un peu avant FORNALUTZ ou nous avions loué une magnifique maison de style MALLORCIN
      Mon père est né à Soller en 1914 ses parents ont émigré en FRANCE à EPINAL dans les Vosges ou ils avaient acheté deux brasseries mon grand père FERRER avait été nommé VICE CONSUL d’ESPAGNE à EPINAL ma grand mère s appelait RAMIS
      En fait je me demandait pourquoi tous ces mallorquins sont venus s installer en FRANCE on peut lire dans l article que ce sont pour des raisons économiques ?
      A t on plus d information y avait il également des PB politiques à l époque ?
      MERCI pour d’éventuelles informations
      patricia

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 13 novembre 2015 14:33, par ozonas salas

    Bonjour je connais bien votre famille Que de bonheur avec PEDRO, Margarita.
    Je me suis retire à Soller j’ai 65 ans j’habite tout à cote de la feretarie calle de Palou.
    Cordialement.

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 13 novembre 2015 18:57, par michele Moreno- Bilger

      Merci pour votre réponse Monsieur ;

      j’aime bien reprendre contact avec des personnes que j’ai pu côtoyer pendant mes nombreux séjours à Soller. J’espère pouvoir m’y rendre à Pâques en 2016, avec ma famille et mes petits enfants.
      D’ici là, voir des photos anciennes et lire des anecdotes d’autrefois, me rappelle tout ce que ma Maman me racontait ; et me touche beaucoup.

      Bonne soirée à vous,
      Michèle

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 12 novembre 2015 19:46, par Michèle Moreno-Bilger

    Je suis la fille de Paquita Segui Canals. Mon grand père don Mateo Segui Umbert avait son commerce de gros au cours Julien à Marseille. Mes oncles ont repris le commerce à sa mort en 1956. Ils s’appelaient : Mateo Juan et Guillermo Segui.Mon oncle Mateo Segui a exploité pendant plus de 20 ans le Kiosco sur la plage d’en Repic....Ma grand mère s’appelait Maria Canals Alcover.
    Ma mère a épousé un français et a toujours vécu en France à partir de son mariage. Mon père s’appelait Victor Bilger et a été l’organiste de la paroisse de Soller pendant les 20 ans de leur retraite aux Baléares. Ils sont décédés en 2001, en France à quatre mois d’intervalle. Aujourd’hui ils sont enterrés à Sanary sur mer où j’habite avec ma famille.

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    • bonjour Madame
      lorsque j’avais 10 ou 15 ans,j’etais ami avec le fils Segui
      dont le père tenait le Kiosque. il avait une petite barque
      et surtout un baby foot, et on faisait semblant de payer les parties.
      nostalgie ....... et très bon souvenir

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 31 janvier 2019 08:17, par Michele Bilger Segui

        Bonjour Monsieur,
        Ravie de faire votre connaissance ! Nous avons dû nous croiser souvent, car il s’agit de mon oncle Mateo Segui frère aîné de ma mère et de mon cousin Gilbert. J’apprécie beaucoup votre message, merci. Il est très intéressant de suivre l’histoire de l’émigration des Solleriques ; ma mère nous a raconté beaucoup de faits mais nous en découvrons autant dans cette rubrique. Je vous souhaite une bonne journée. A bientôt peut être ?

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 12 janvier 2018 22:11, par CODER Isabelle

      Bonjour,

      Mon grand père ROTGER MESTRE Alfredo travaillait dans un commerce de gros avec son oncle Jean VICENZ place Notre Dame du Mont sur le cours Julien,ils se connaissaient sans aucun doute...

      Bien à vous,
      Isabelle

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 13 novembre 2015 14:30, par ozonas salas

      Bonjour Madame Michèle Moreno Bilger,
      Je suis moi aussi descendant de solleric, j’ai 65 ans et me suis retiré à Soller. J’ai de nombreux amis qui ont bien connu le kiosco à c an Repic et ont bien connus votre famille.
      Soller est une petite ville les gens se connaissent bien.
      Mes amis qui ont connus le kiosco ont passés de très bons moments à cet endroit. Ils ont de très bon souvenirs.
      Cordialement.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 11 novembre 2015 16:46, par Jean Pierre MESPLEIGT

    Très bel article.Il m’a fait chaud au cœur.Mon grand-père, Pedro Garau, est arrivé en France en 1902,ma grand-mère Geromina Ripoll, ils avaient une maison à l’Horta, camino de can Guida, cette maison est restée dans la famille jusqu’en 1980, et puis !!! mes grands parents et ma mère reposent, tout la haut sous les cyprés. Mes grands parents ont tenus de 1902 à 1950, à Mont de Marsan un magasin de fruits et primeurs "Au jardin d’Espagne. Chaque fois que je retourne là-bas, j’éprouve un étrange sentiment, je ne suis plus montois je me sens 100% Sollerique

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 1er novembre 2015 01:43, par Daniele Fleury

    J’ai lu avec beaucoup de plaisir et d’intéret votre histoire familiale.
    Mes arriere-grands-parents (Sastre Colom) ont pris le meme chemin que vos ancetres.
    Partis de Soller au début du siecle. Ils ont ouverts cafe-brasserie, coiffeur, puis épicerire dans la région Belfort-Montbeliard.
    Mes grands-parents (Galmes Sastre) sont rentrés à leur retraite à Soller.
    Le reste de la famille est restée en France. Aucun n’est plus dans le commerce de "primeurs".
    Aujourd’hui à l’approche de la retraite, je viens d’acheter une maison dans Soller, que j’espère rénover pour y vivre. L’objectif est aussi de faire connaitre ce petit coin de paradis à mes enfants, de leur faire découvrir une partie de leurs origines.
    Merci encore pour votre récit.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 11 juillet 2015 14:03, par Jean-Marie Fleury

    Bonjour,
    Moi aussi je descends par ma mère d’une famille originaire de Soller. Les Sastre Collom de la Huerta à Soller.
    Mon arrière grand-père s’est installé à Montbéliard (Doubs) et tenait un bar. Par contre ma grand’mère et mon grand-père (famille Galmès originaire de Manacor toujours à Mallorque) ont créé un magasin de fruits et légumes à Delle (Territoire de Belfort) à l’enseigne "Au jardin d’Espagne" dans lequel j’ai passé toute mon enfance... Il travaillait beaucoup avec la "maison Magraner" de Belfort citée dans votre article.
    Ils sont retournés à Soller pour leur retraite vers 1965. Leur plus jeune fille s’est installé au pays également, non loin de la maison de la famille Arbona devant laquelle je suis souvent passé car je retourne assez souvent au pays de mes grands-parents maternels.

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    • Emigration sollerique. Auteur de cet article je suis très touché par les nombreuses réactions et je vous en remercie vivement. Nous avons créé une association franco/majorquine à Soller dont le site est http://afvsoller.blogspot.com.es
      Je vous invite à le consulter pour mieux connaitre cette diaspora et Majorque. A la rubrique Histoire et culture vous trouverez des textes sur Majorque, un sur l’émigration d’un ami et des articles très divers rédigés par votre serviteur. Vous pouvez nous contacter. Nous sommes environ 200 membres, habitant Soller ou La France. Amicales salutations

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 26 juin 2015 15:49, par Raynaud née Rullan

    Merci pour votre excellent article.
    Je suis moi-même issue de famille Majorquine de Soller.
    Mon grand-père Raphaël RULLAN, est parti très jeune de Soller, et c’ est installé en qualité de Boucher à Cenon en Gironde, ensuite à Toulouse.
    Je sais que sa famille était "chapeliers" de profession à Soller, où aux environs. Je ne connais malheureusement pas sa vie antérieure et je le regrette.

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    • Bonjour Jeannine, je suis Nathalie la fille de Catherine et petite-fille de Michel Rullan, arrière petite-fille de Raphaël. Je suis contente de vous voir sur ce forum car je cherche aussi des informations sur mon grand-père et nos origines... J’espère que quelqu’un pourra nous aider sur ce forum qui est top !! Merci à tous.

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  • merci pour cet article passionnant
    mon père était de Soller installé à Nancy et à Longwy
    à METZ Il avait également Mayol et Vaquer !! à Nancy Oliver tous de Soller
    encore Bravo

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  • Bonjour, je découvre tardivement cet article et les commentaires que j’ai lus entièrement .
    Pour l’information des descendants de ces familles, j’ajoute ma faible contribution.
    Sur la règion de Saint Malo- Dinard - Saint Briac sur Mer, j’ai connu des grossistes en fruits et légumes dans les années 1960 : Arbona, Palou.je ne savais pas que l’origine de la famille Palou pouvait être majorquine
    À Saint Briac, il y a une épicerie fine qui s’appelle toujours Maison Arbona, mais qui n’est plus tenue par la famille , même si elle en a gardé le nom.
    Cordialement
    C.Auvray

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 14 mars 2015 07:37, par Jean-Jacques Lacour

    Bonjour,
    Merci pour cet article, dont j’ai beaucoup appris et dans lequel je reconnais un peu ce qui a du aussi arriver dans ma "filière généalogique sollerique" : une arrivée en France vers 1880-1900 dans la ville de Valence dans la Drôme (26000) en tant que cafetier-restaurateur, puis une descendance, en tant que primeurs.
    Si quiconque a des information sur les familles Palou (Juan et Pedro dits C’an Teleque ), Balester (Bartholome dit C’an Moussol), Bujosa (Margarita et Jacques dits C’an Doll), Colom (Antonia), OIliver (jeanne-Marie ?) , je suis preneur !
    Comme dans cet article, je possede aussi quelques photos du magasin
    Grand Merci
    Jean-Jacques

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 11 avril 2016 09:39, par Isabelle CANALS

      Bonjour Jean-Jacques,

      Je suis Isabelle Canals, née à Valence en 1964 arrière arrière petite fille Joseph CANALS de Can’chispes et de Maria CLOM de Can’Doll, arrière petite fille de de Joseph CANALS/COLOM marié en Antoinette PALOU BALESTER à Valence en 1907 ;petite fille de Jean Canals né en 1911. J’ai rencontré lorsque j’étais enfant, un poète PALOU qui m’avait touché !
      Je n’ai que peu d’infos mais je suis aussi de cette famille.
      Je vis aujourd’hui dans le sud de la France !
      Bien cordialement,
      Isabelle

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 12 août 2015 14:39, par DEROZE Gérard

      Colom Antonia née en 1904 à Soller mariée en 1922 à Pontarlier(25) à Lauranzo Ramis né à Costitx en 1900
      6 enfants (2 décédés très jeunes) 1 garçon Antoine et 3 filles Antoinette, ma mère, Marie et Isabelle. Mon grand-père a été commerçant puis grossiste en primeurs. C’est son fils Antoine qui a poursuivi son activité et enfin Laurent Ramis son petit fils qui est toujours à la tète de cette entreprise.
      Les parents d’Antonia se nomment Colom Bartolomé et Fortina Maria. Maria a une sœur Marguerite qui s’est mariée à un Flexas et ont vécu en France à louhans (71). Si vous avez des renseignements sur les Colom et Fortina, je suis preneur.
      Cdt
      G DEROZE

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      • Bonjour,
        ma mère est Rose-Marie FLEXAS, fille de Matéo FLEXAS, lui même fils d’Antonio FLEXAS, issu de José Matéo FLEXAS et Maria FORTINA.a mère est née à Louhans et Marguerite FLEXAS est sa tante.
        j’habite TALANT et, à l’enterrement de mon grand père Mathieu ( Matéo) en 2013 à 94 ans, c’est une petite cousine Isabelle RAMIS qui a lu une prière.
        sans doute de votre famille.
        Mes arrières grands-parents tenaient « Au jardin d’Espagne » à Louhans.
        Mon arrière grand père est décédé en 1945.

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        • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 11 mai 2020 07:17, par Françoise Daveau

          j’étais cousine avec votre grand père.
          Marie Ramis était une petite cousine, de votre grand père également puisque petite fille de Maria Fortina, sœur de ma grand mère. Nous avions fait dans son restaurant au bord du lac Saint Point une mini cousinade justement avec votre grand père
          connaissez vous Gérard Deroze de Dijon, il est l’arriere petit fils de Marie Fortina. Si je vous en parle c’est qu’il vient de m’écrire par le même biais que vous.
          j’avais fait un arbre généalogique que je peux vous transmettre si vous me donnez votre adresse mail
          bonne journée à vous

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        • Bonjour,
          Vous êtes de ma famille,
          Isabelle RAMIS est la sœur de ma mère.
          Maria FORTINA PLANAS est mon arrière grand-mère, elle est la sœur de votre arrière grand-mère Marguerite
          J’habite DIJON

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          • Bonjour Gérard,
            Françoise m’a gentiment proposé des documents généalogiques.
            Peut être échangerons nous prochainement quand le Covid sera moins menaçant ?
            Bonne journée

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          • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 11 mai 2020 07:29, par Françoise Daveau

            oui, nous avions déjà communiqué et échangé des photos en 2016. Je vous avais dit que j’habitais Bavilliers que vous connaissiez quand vous étiez en activité.
            Si j’ai pu remonter l’arbre généalogique du coté maternel de ma grand mère, je n’ai rien sur les Fortina et c’est même un nom que l’on ne retrouve pas à Majorque. Avez vous des informations sur ce grand père pour moi et arrière grand père pour vous.
            bonne journée

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 29 février 2016 09:42, par Françoise Daveau

        Marguerite Fortina épouse Flexas était ma grand mère, elle était la fille de Cristobal Fortina et de Antonia Planas. Je n’ai rien sur les Fortina, en revanche Antonia Planas était la fille de Josep Planas (1803- 1878) (fils de Josep Planas et de Enseñat Catalina)et de Margarita Rotger (1811-1888) (fille de Rotger Damia et de Oliver Joana).

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        • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 15 septembre 2016 11:12, par MARROIG ép. CULAS Nathalie

          Bonjour,

          Tout d’abord je voudrais vous remercier pour l’article car je ne pensais pas qu’il y avait eu une telle immigration. Mes arrières-arrières-grands-parents Jean-Baptiste MARROIG (1875-1954, Déia) et son épouse Antonia Marie FLECHAS (avant FRECHAS)(1878-1932, Soller) sont venus s’installer à Paray le Monial vers 1903, avec leur 2 enfants Antoine et Madeleine. Ils ont repris le commerce "Au Jardin d’Espagne" du frère à Antonia FLECHAS, Matéo FLECHAS et de son épouse Margarita FORTINA PLANAS, en faisant les marchés dans les alentours de Paray. MARROIG Primeurs (grossistes fruit et légumes) est toujours en activité à Paray le Monial avec un des descendants, 4e génération, avec peut-être une 5e génération.
          Actuellement je suis entrain de faire mon arbre généalogique et j’aurais besoin de renseignement sur la descendance et ascendance de Matéo FLECHAS devenu FLEXAS et de son épouse, mais aussi des ascendants du côté MARROIG.
          Merci à toutes les personnes qui pourront m’aider dans mes recherches.

          Nathalie

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          • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 28 janvier 2021 15:53, par Bernard Woitrain

            Descendants de Matéo FLECHAS 1868-1925 et de son épouse FORTINA PLANAS Margarita 1875-1945 marchand de combustibles à Louhans
            De cette union sont nés :
            Antonio, Cristobal, Francesca, Antonia, Margarita, Matéo et Juan
            Juan (Jean) est né le 14/9/1906 à Louhans, marié le 8/3/1932 à Sennecey le Grand avec Andrée TATON, il est décédé le 6/7/1986 à Macon. Jean a été déclaré à l’état civil de Louhans sous le nom de FRECXAS puis orthographié
            sous le nom de FLEXAS le 9/8/1928 sur décision du tribunal départemental de saone et Loire.
            Jean de son union avec Andrée TATON a eu deux enfants :
            Gérard,mathieu né le 10/2/1933 à Louhans et vit à St Martin Belle Roche
            Jean Claude né le 10/7/1942 à Louhans décédé le 2/2/2008 à Lille marié à Françoise LEGRAND née LE 28/12/1942 à Fourmies. De cette union est née Catherine FLEXAS le 10/3/1965 à Fourmies qui est mon épouse depuis le 16/5/1997.Nous avons deux filles Céline née le 19/12/1992 et Julie née le 21/8/1995.
            Si vous avez des informations sur les ascendants des familles FLECHAS et FORTINA je suis preneur.

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            • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 29 janvier 2021 00:10, par Daveau Françoise

              Si vous me communiquez votre adresse mail, je pourrai vous envoyer ce que j’ai pu reconstituer.
              Je suis une cousine germaine de votre beau-père.
              Mes grands parents n’étaient pas marchands de combustible mais de fruits et légumes comme tous les majorquins qui ont émigrés en France.

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              • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 29 janvier 2021 10:04, par Bernard Woitrain

                Bonjour,
                voici mon adresse mel : woitrainb[arobase]gmail.com
                Je pourrais également vous fournir extrait acte naissance et décès de Matéo ainsi que des photographies de votre grand père et grand mère, celle d’Antonia et de Jean baptiste Marroig, du mariage de Paul Esterellas avec Antoinette
                Sur l’acte de naissance de Jean, Matéo et Margarita ont comme profession marchands de combustible, effectivement je penche plutôt comme fruits et légumes, l’état civil de l’époque n’était pas le top. Jean a d’ailleurs fait dans la continuité car lorsqu’il a quitté Louhans, il s’est installé dans un premier temps à Charleville Meziéres puis à Fourmies(59) ou il était grossiste en fruits et légumes. A sa retraite, il est retourné vivre à Macon.
                Bien cordialement et au plaisir d’échanger.

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        • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 29 février 2016 11:36, par DEROZE Gérard

          Merci madame pour toutes ces informations qui me font progresser dans mon arbre généalogique.
          mon adresse mail : gerard.deroze chez hotmail.fr pour communiquer si vous le souhaitez

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  • Bonjour j’ai lu ce texte avec beaucoup d’intérêt. Je suis descendant de solleriques et de DEIA ;
    je connais bien la famille BERNAT, mon ami PEDRO nous a quitté il y a peu, je connais sa sœur et ses frères je me suis rendu sur sa tombe au cimetière de Soller pour y déposer une plaque achetée conjointement par mes sœurs qui connaissait très bien PEDRO BERNAT en retraite.
    Je fus pour moi une grande tristesse d’apprendre son décès.

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  • BRAVO MR une belle histoire si bien illustree je suis un peut triste de voir que vous n’avez pas de successeur peut etre en trouveriez un a majorque un lointain cousin peut etre
    merci encore et superbe retraite

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 20 février 2015 00:16, par philippe Amoros Oliver

    Merci, pour cette tranche de vie, qui ressemble de très prêt a celle de ma famille arrivé en France dans les années 20.
    mon grand père sont frère ce sont installé du côté du mon St Michel, mon père lui ayant monté un commerce de gros au MIN de Nantes avec un autre Solleric rencontré lors de son service militaire à Palma.
    la sœur de ma grand mère elle s’était installé à thonon les bain...
    Tous les ans je retourne sur les terres de mes ancêtres et beaucoup de mes amis que je retrouve là-bas en août platja d’en repic on également la même histoire de famille. Ils sont Oliver, Puig, Mayol, Castaner, Frau, . ..

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 4 septembre 2015 18:26, par Michel Waller Gelabert

      Bonsoir Monsieur Amoros

      Je viens de prendre connaissance très tardivement, des nombreux commentaires suite à mon texte. Avec les noms des commentateurs on retrouve évidemment la "pandilla" des franco/majorquins, dont beaucoup se connaissent et pour ma part j’ai du vous rencontrer avec les Puig et Oliver de Nancy, Mayol de Rennes, Metz, Lorient, Ma première épouse décédée était une Oliver de Lorient et ma deuxième est une Gelabert / Oliver, même famille, pure sollerique et je vis chez elle à Can Blau 18 cami de sa figuera. Amicalement

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  • A Nevers,le monsieur qui vendait desoranges s’appelait Darder... de Soller aussi. http://geodazner.blogspot.fr/2015/02/darder-et-cie.html

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  • Bonjour, et merci et bravo pour cet article. Moi également, mes grands-parents font partie des nombreux émigrants de Sóller vers la France au début du 20e siècle. Je fais partie du groupe Facebook mentionné par d’autres (https://www.facebook.com/groups/42810679370/). Je le recommande vivement à tous ceux qui sont liés à cette histoire. Pour ceux qui recherche leur généalogie majorquine, ce groupe est aussi un excellent moyen de rencontrer des cousins éloignés.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 31 janvier 2015 22:49, par Frederic ARMAND

    Félicitations pour cet excellent article qui nous éclaire sur une émigration si spécifique .
    Pour ma part , je suis descendant de Sollerique par ma grand mere ( FRONTERA Y CASTANER ) ; j’ ai appris cela , il n’ y a que quelques années , quand je me suis intéressé a mon histoire familiale ;
    Sachant peu de chose sur cette branche de ma famille j’ ai entamé des recherches qui m ’ ont appris que mes ascendants de Soller étaient arrivés a Marseille vers 1906 ou ils ont ouvert par la suite un hotel restaurant sur le port de Marseille ( Batiment détruit en 1943 par les nazis )
    Très intéressé par cette émigration , j’ essaie actuellement de recenser aux Archives de Marseille et aux AD 13 , tous les sollériques qui ont laissé des " traces " a Marseille ou beaucoup y ont fait " souche ".
    Certains documents et actes sont filiatifs et riches en renseignements ;
    Les professions les plus citées sont : restaurateur , commerçant fruits et légumes , limonadier , liquoriste , négociant ......
    Ces relevés trop contemporains ne peuvent pas etre déposés en ligne pour cause de confidentialité ,cependant je pourrai renseigner les personnes intéressées par cette recherche ;

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    • Bonjour,

      J’ai lu avec émotion toute cette page.
      Ma grand-mère s’appelait Rose Céline Castaner.
      Son papa s’appelait Bernardo Castaner y Arbona, sa femme Jeanne Castaner née Barthélemy.
      Ils ont habité en Auvergne à Saint Paulien et ont tenu un commerce de fruits et légumes.
      Ils me semblent que Frontera y Arbona sont de notre famille car je crois que j’ai déjà vu ses deux noms dans certains papiers et que cela parlait de Marseille.
      Voilà pour ma petite histoire, qui est bien plus longue en vérité mais je cherche toujours des liens qui me raccroche à ce passé exotique.
      Merci de votre attention.
      Sincèrement.
      Christine Skrzynski née Koziol.
      Mon père était Raymond Koziol, sa maman était Rose Céline Castaner.

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 16 août 2020 19:02, par CASTANER corinne

        Bonjour Christine, je suis là petite fille de Marcel auguste Julien CASTANER frère de Rose Céline CASTANER et mon arrière grand père était Bernardo CASTANER y ARBONA. Je fais mon arbre genealohique et découvre que nous sommes parents. Pouvez vous me contacter sur mon adresse e-mail ccastaner chez soprema.fr.

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        • Bonjour Corinne,

          Mon arrière grand mère est également une CASTANER de Soler.
          Micaela.
          Elle est arrivée au début du 20e siècle à Tarbes, et elle a eu une magasin de primeur pendant de longues années.
          Je n’ai pas d’attache et de connaissance de ce pan de ma famille et j’imagine que CASTANER n’est pas un nom tres unique.
          J’ai pu découvrir qu’elle venait de Soler grace aux archives sur les passeports (faisait régulièrement le voyage entre 1912 et 1935).
          Je me permettrais de vous contacter pour voir si nous pouvons lier nos familles.
          Merci.

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    • Bonjour Frédéric,
      J’ai moi aussi effectué des recherches de quelques familles "sollerics" dans les archives en ligne de Marseille. Si vous le souhaitez, contactez moi et je me ferai un plaisir de les partager.
      Bien cordialement.

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 3 octobre 22:13, par BADEL née TRIAS Evelyne

        L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles

        Bonjour

        Je viens de tomber sur cet article que j’ai trouvé passionnant. Mes arrière grand parents nés à Soller se sont installés à Narbonne pour faire du commerce d’oranges. André TRIAS né en 1855 et Antoinette FERRER née en 1854. Je ne connais pas grand chose. Comment puis-je procéder pour retrouver qq traces. En avril 2025 je vais aller à Soller. Mais à quelle porte je devrai frapper. D’avance, je vous remercie pour de l’aide que vous pourrez m’apporter.Cordialement Evelyne BADEL née TRIAS

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 30 janvier 2015 22:07, par Ripoll Bauza

    Bonjour,
    merci pour cette publication et pour faire connaître notre histoire. J’ai créé un groupe Facebook : " Es descendrnrs d’emigrants de sa vall de Soller" en 2008. Ce groupe est très actif et recense plus de 270 membres, dont 80% de français descendants de cette émigration.
    D’ailleurs quelques membres viennent de publier des commentaires sur cet article.
    Dans le groupe Facebook nous avons accumulés des photos de ces commerces, des factures etc... Quelques membres et moi essayons de recenser où se situaient ces commerces etc.... Nous en avons recensé et identifiés ( avec adresses et tout) plus de 200...
    je suis né au Havre en 1960, mon père en 1935 et mon grand-père paternel en 1901.... Autant dire que je suis français.
    Mais, je parle couramment le majorquin que mes grands-parents me parlaient quand j’étais gamin... En France !
    La famille de ma mère à rejoint la France très tard, en 1950, pour fuir la misère qui sévissait alors en Espagne ! Mes grands-parents maternels connaissant très bien mes grands-parents paternels et d’autres majorquins du Havre.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 30 janvier 2015 15:28, par Olivier GILLE

    Pour votre information, il existe sur Facebook un groupe baptisé Es Descendents d’Emigrants de Sa Vall de Soller (Mallorca)qui regroupe aujourd’hui 273 membres, pour l’essentiel français et descendants d’habitants de Soller. Son animateur dispose d’un fichier dans lequel sont recensés les commerces qui furent établis en France et dont certains subsistent. Je suis moi même descendant d’un sollerics Joan Pedro PONS COLL qui émigra en France à la fin du 19è, s’installa à BOLBEC (76) puis au Havre. Son commerce "Aux produits d’Espagne" subsiste à BOLBEC exploité par un membre de la famille PASTOR, lui même descendant d’un solleric. Cordialement

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 14 décembre 2017 13:07, par Christine Avril Pons

      Bonjour,

      Tous ces commentaires me touchent beaucoup. Je n’ai eu que trop peu d’informations du vivant de mon père Rafael Pons Roca ( né à Soller en 1891, dėcédė à Saint Malo en 1976).
      Aujourd’hui, je me penche sur cette histoire passionnante car depuis la mort de ma mère( 2002) je conserve des archives et photos de la famille Pons dont un courrier très abondant de mon grand-père ( Bartolomė Pons Marti, 1852-1938, menuisier, ébéniste à Soller) à son fils, entre 1911 et 1930.
      Ces patronymes Colom, Pastor, Coll me semblent être aussi ceux de mes ancêtres ! Merci pour votre contribution généalogique.

      Cordialement Christine Pons Lenoir ( Saint-Malo 1951-)

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 27 janvier 2015 17:30, par Oliver Jacky

    Lémigration des Solleriques en Europe au XIX et au XXe siècles
    beaucoup émotion en lisant cet article toute notre histoire bravo et merci de la transmettre
    amicalement
    Jacky Oliver

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 27 janvier 2015 10:24, par marithe oliver

    Un grand merci pour cet article qui retrace à peu de differences pres l’histoire de ma famille, parents, grands parents, cousins en france et à soller...
    Nous etions installés dans l’est de la France et mon frere a repris en 1970 le commerce des parents "fruits et legumes" en retraite depuis peu, c’est un neveu qui a repris, d’origine solleric également
    Il en existe je pense dans toutes les villes de France et les descendants sont pour toujours amoureux de soller

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  • J’ai beaucoup aimé votre récit qui m’a rappelé les souvenirs de ma jeunesse à Mallorca (Majorque)- je suis allée très souvent à Soller et j’aimais beaucoup cette localité.
    J’ai connu une famille Bernat qui tenait un commerce de fruits et primeurs à Caen - ils avaient une maison familiale à Soller où ils sont retournés après la retraite.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 24 janvier 2015 19:41, par André Vessot

    Bravo pour cet excellent et passionnant article que j’ai beaucoup apprécié.
    Cordialement.

    André Vessot

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 7 février 2015 15:20, par Bernard Mazières

      Bonjour à tous
      Mon commentaire est très général ;il reprend le point de vue de André Vessot,en "plus".
      Je suis admiratif de tout ce que cette publication nous apprend !
      Vous dites "Solleriques" ????? Jamais entendu parler !!
      Précieuse revue de culture générale..(et particulière)
      Grand merci.B. Mazières.

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  • Bonjour,

    On peut ajouter à la liste deux commerces de fruits et primeurs des années 1950-1990 :

    Arbona à Dieppe Seine Maritime
    Bernat à Berck Pas de Calais

    Cdlt

    Dominique Mantel

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    • bonjour
      Merci pour cet article !
      Notre grand-père BARTHELEMY ENSENAT était né à Soller en 1879 et après être parti à Puerto rico il est revenu à Soller .
      Ensuite il est allé à Grenoble à pied de Barcelone !!
      il a travaillé chez un espagnol place Sainte claire chez un fruitier !dont il a gardé ensuite ce magasin !il s’est marié et la famille Ensenat est restée .
      Son frère était lui allé à Chaumont dans l’est !

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    • Bonjour,
      nous avons dûment identifié plus de 400 commetces de sollerichs en France dans notre groupe Facebook : Es descendents d’émigrants de sa Vall de Soller.
      Rejoignez-y de 440 " cousins" !

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    • Bonjour,Je suis né à Rouen en 1940 de parents originaires de Soller où j’ai encore de la famille, je peux vous donner des noms comme FRONTERA, VIVES, MOYA, qui tenaient des magasins de Fruits et Légumes comme mon père et que j’ai bien connu, en 1953 mon père a repris un commerce dans le Lot et Garonne à Agen où son frère plus jeune c’était installé, je n’ai pas pris la relève de mon père mais je suis resté dans l’Alimentation

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 24 janvier 2015 12:31, par Gauthier LANGLOIS

    Je veux ajouter que à presque toutes les époques Majorque a été une plaque tournante du commerce méditerranéen. La ville de Palma était au Moyen Âge fréquentée par des marchands de toutes les nations (Italiens, Catalans, Marseillais, Arabes...) et les Majorquins fréquentaient eux-mêmes de nombreuses places commerciales. C’est sans doute ces réseaux commerciaux très anciens qui ont favorisé l’immigration de majorquins au XIXe siècle et le choix pour ces majorquins de vivre du commerce dans leur pays d’adoption.

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  • Bonjour
    Tout comme Georges je me suis posée la question sur les Solleriques et j’ai bien aimé cette histoire. Ayant vécu dans ma toute jeunesse à Ancenis (44), je me souviens d’une famille Bernat qui, il me semble avait une magasin "Aux produits d’Espagne". Mes mes souvenirs sont un peu flou. Etait-ce la même famille ? Du moins ils devaient être originaires de Majorque.
    Cordialement

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 24 janvier 2015 12:21, par Gauthier LANGLOIS

    Bonjour,

    Les noms de famille évoqués dans cet article renvoient à l’histoire d’une émigration beaucoup plus ancienne. En effet les Baléares ont été conquises par les Arabes en 903 puis par le roi d’Aragon Jaume Ier en 1229. Cette conquête a eu pour résultat d’ajouter à la population arabisée (arabe, berbère, juive ou européenne), des populations européennes venues des possessions de la couronne d’Aragon : principalement des Catalans mais aussi des Occitans, des Provençaux et des Aragonais.

    C’est la langue catalane, celle de la majorité de la population qui finit par s’imposer à tous. D’où, dans la liste de l’article, une majorité de noms d’origine catalane ou catalanisés tel que Bernart (forme catalane et occitane de Bernard). Ou encore Oliver, (forme catalane et occitane d’Olivier), nom popularisé par l’un des conquérants, le chevalier occitan Olivier de Termes (ou Oliver de Termens) dont des descendants possèdent toujours le domaine de Can Termens. Mais quelques familles ont gardé des noms non-catalans. C’est le cas de Arbona, qui est la forme arabe de Narbonne. Cela suppose que l’un des ancêtres de ce Monsieur Arbona venait de Narbonne.

    Je vous invite à lire sur la conquête de Majorque l’excellent livre d’Agnès et Robert Vinas (voir http://www.mediterranees.net/moyen_age/conquete/index.html ) et la biographie que j’ai consacrée à Olivier de Termes. Les sources utilisées pour ces deux livres permettent de connaître l’origine de nombreuses familles majorquines.

    Voir aussi sur mon blog : http://paratge.wordpress.com/?s=majorque

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    • Bonjour Monsieur,

      Merci pour votre contribution à mon article sur Andrès Bernat, l’épicier de Vendôme. 36 comnentaires, je suis surpris et touché par cette "mobilisation".
      J’ai parcouru avec grand intérêt votre site paratge, une référence en cas de besoin. Je suis un modeste ammateur et je cherche mes informations chez des professionnels comme vous.
      Il m’arrive aussi, heureusement des trouver des sources nouvelles comme dévoilé dans le second article publié sur Jayme Rullan.
      Je me suis procuré le livre de Robert et Agnés Vinas dès sa parution ; la récente’édition en catalan est déjà épuisée !
      Sur le site de notre association afvsoller.blogspot.fr j’ai écrit quelques textes sur Histoire et Culture de Majorque qui , sans être oeuvres d’érudition, sont un reflet d’aspects particuliers de notre culture îlienne : la langue catalane, la Balanguera, Sant Antoni, les frondeurs des Baléares, els vuit vents de Mallorca,etc....
      Bien cordialement

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    • Bonjour, moi même descendant d’une de ces familles émigrantes de Majorque vers la France, je m’intéresse particulièrement à la contribution occitane au repeuplement de l’île après 1229. Mon nom Rotger est une version occitane de Roger, et il est -sous la forme Rotger- un nom assez répandu aujourd’hui à Majorque et Minorque (alors qu’il a quasiment disparu en France et en Catalogne). J’ai le livre des Vinas sur la conquête de Majorque, effectivement indispensable. Sur le sujet de la contribution occitane et cathare au repeuplement de Majorque, la référence je crois est le livre de Gabriel Alomar "Occitanos y Cataros en el Reino de Mallorca".

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 24 janvier 2015 11:27, par ALBOUZE Monique

    Bonjour ! je suis très heureuse de trouver ce document extraordinaire !
    Mon arrière-grand-père, Léon DAUVIA (ou Dovia ou Dobia ou Daubia) est né le 3 décembre 1866 à Bordeaux et y a toujours vécu. Je n’arrive pas à retrouver trace de ses parents : Salvador-Luis-Sébastien DAUVIA et Josépha SISTAC. Je n’ai que les noms : impossible de savoir où ils sont nés et où ils se sont mariés : pas à Bordeaux semble-t-il. Par ma mère, je sais qu’ils venaient de Majorque et je me demandais comment il se faisait que des gens aient émigré de Majorque. Vous m’apprenez qu’il y a eu sur cette région une crise économique. Mon arrière-grand-père Léon avait fondé une petite fabrique de sandales (espadrilles) sur le quai Richelieu. J’avais essayé des recherches en Espagne mais en vain.
    Merci de ce document. Bon we !

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 24 janvier 2015 08:59, par Roland Peccoud

    Ce témoignage est très intéressant : des migrants qui s’intègrent sans perdre leurs racines ; entreprenants, ils travaillent dur et restent soudés à leur famille et leurs amis compatriotes.

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 23 janvier 2015 15:50, par Georges Chavagnac

    Bonjour,

    J’ai été très intrigué par le titre : l’émigration des Sollériques en Europe". Je me demandais qu’elle était cette peuplade que j’ignorais. Je sais à présent que ce sont les habitants originaire de Soller, un village Majorquin.
    J’ai bien apprécié l’histoire racontée par Andrès et écrite par Michel Waller Gelabert.
    Cette histoire permet de mieux comprendre les rapports qui unissaient malgré les distances cette diapora un peu semblable à celles des habitants de Corse ou le lien familial est très fort.
    Je me souviens pendant la guerre 39-45, il y avait dans le village où nous nous trouvions en tant que réfugié dans le Dauphiné, une épicerie Espagnole tenue par une famille Pagès dont j’ignore l’origine exacte et beaucoup de villageois allaient faire des achats dans cette épicerie. la seule du genre dans ce pays et ou l’on trouvait des oranges (pour moi qui avais 6 ans et venant du midi, je trouvais cela miraculeux). Dans ce même pays, il y avait aussi une communauté d’Espagnols Républicains d’environ 300 hommes, venus travailler à la Mine de Charbon. Beaucoup étaient Catalans.
    J’ai bien aimé ce récit et l’ambiance que j’en ressent, et peut-être aussi parce qu’elle a ravivé des souvenirs.

    Georges

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 23 janvier 2015 14:29, par Marie Bredif

    C’est un plaisir de lire l’histoire des Bernat, je me souviens être allée dans le magasin à Vendôme il y a quelques années et j’en garde un excellent souvenir. Merci !

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  • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 23 janvier 2015 13:16, par Henri-Claude MARTINET

    Félicitation pour cet article qui me renvoie plus de 60 ans en arrière !
    Dans la rue principale de Romilly-sur-Seine, La Boule d’Or, existait un magasin réputé de vente de fruits et légumes du type même de celui tenu par Andres Bernat. Son propriétaire : Mayol, Espagnol certes, mais d’où ? Les hyper- et supermarchés l’ont condamné. D’où une certaine nostalgie, surtout à la vue des photos.
    Cordialement
    H-Cl. Martinet

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    • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 24 octobre 2016 18:39, par arnaud francoise née sagrera

      je m’appelle françoise sagrera je suis née à romilly sur seine.Mon père jean Sagrera est arrivé en France en 1920. Il a tenu un commerce de fruits et légumes à Romilly, rue h.Millet. Mes oncles étaient Jacques Mayol, proprièraire du bar Mayol, Daniel Mayol proriètaire du commerce "Au jardin d’espagne" rue de la boule d’or. Merci de m’avoir plongée quelques années en arrière dans l’histoire de ma famille ; Cordialement

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 1er octobre 2019 12:19, par Nathalie HIVERT née MAYOL

        Je m’appelle Nathalie MAYOL (Nom de naissance) Je suis née a Romilly sur Seine en 1962. Je suis la fille de Jacques Mayol, né à Romilly en 1930 et propriétaire du bar Mayol. Mon grand père Jacques Mayol et ma grand mère Marguerite SAGRERA (nom de naissance) sont arrivés en France en 1913 et ont tenu le bar a partir de 1914. Ma grand mère avait un frère dont le prénom était Jean et Damien Mayol était le cousin de mon père, à approfondir si vous le désirez. Je suis allée aux baléares chaque éte jusqu’en 1977 et j’ai découvert ce site en faisant des recherches car j’aimerai y retourner avec mes enfants. Merci,pour ce forum et ce délicieux retour en arrière. Cordialement

        Répondre à ce message

        • Bonsoir,
          il y avait aussi un autre cousin Michel MAYOL rue Gornet Boivin, bien souvent ignoré car la « Rue de la Boule d’or » se voulait le fin du fin…
          je suis sa fille et ai vécu de par le monde jusqu’à Joburg, les autres cousins s’étant limités.
          cordialement

          Répondre à ce message

        • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 16 mai 2022 14:56, par Françoise Arnaud née Sagrera

          Bonjour Nathalie,

          Votre grand mère Marguerite, était la sœur de mon père Jean. J’ai bien connu vos grands parents, vos oncles et tantes ainsi que vos parents. En effet, votre papa venait souvent à la maison.
          J’ai découvert que vous aviez répondu à mon message il y a peu.
          Nous sommes en effet petites cousines. Je vous ai vu chez votre grand mère Marguerite a Tours où vous étiez en vacances étant petite.
          Votre message m’a fait remonter mes souvenirs d’enfance.
          En espérant que vous lisiez ce message
          Mme Arnaud Françoise

          Répondre à ce message

    • Bonjour,

      Mon grand-père s’appelait Michel MAYOL et tenait une boutique de fruits et légumes à Troyes. Tout ceci me rappelle de nombreux souvenirs. Merci

      Répondre à ce message

      • Bonsoir.
        magasin rue Urbain 4 à Troyes ?
        Michel MAYOL était un cousin qui est revenu vivre à Soller.
        A ma connaissance jusqu’à ce jour, il n’a jamais eu ni femme ni enfant.
        S’agit il de la même personne ? Nous étions des cousins directs habitant à Romilly sur Seine.

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 5 février 2018 00:07, par Georges Joachim

        Bonjour, merci pour ce forum que je découvre. je voudrai répondre à Vincent.
        Je suis un petit fils de Damian Canals et Isabelle Marie Boras et je possède une photo du 7 juin 1942 représentant, je pense me souvenir, la famille Mayol à Troyes (deux garçons une fille et les parents). Je crois que votre famille Mayol et ma famille Canals se connaissaient à Soller. Je serai content de vous la faire parvenir et d’échanger des nouvelles. Pour me contacter jgeorges chez netcourrier.com
        Cordialement.
        Georges

        Répondre à ce message

        • Bonjour,

          Je suis l’arrière petit fils de Damian Canals et Isabelle Borras. Ils avaient un magasin de fruits et légumes appelé "Aux délices d’Espagne " sur la grand place d’Armentières dans le nord.
          Mon grand-père, Gaspard Canals avait également un magasin de fruits et légumes à Armentières.
          Mon père a fait beaucoup de recherches généalogiques et est allé 14 années d’affilées à Soller pour compléter ses recherches.
          Je suis preneur de toute informations sur mes origines.
          Merci.
          Dimitri Canals

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      • L’émigration des Solleriques en Europe au XIX et XXe siècles 24 août 2016 22:49, par antoinette RULLAN

        Bonjour, j’ai connu votre père et sa famille a Troyes dans leur magasin. Il y avait d’autres épiceries tenues par des natifs de Soller

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    • Bonjour, A Romilly sur Seine, il y avait effectivement un commerce tenu par un M.Ramon MAYOL, originaire de Soller, Majorque, comme Andres Bernat.

      Répondre à ce message

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