www.histoire-genealogie.com

----------

Accueil - Articles - Documents - Chroniques - Dossiers - Album photos - Jeux - Entraide - Lire la Gazette - Éditions Thisa


Accueil » Dossiers » Patrimoine » Jadis & maintenant » L’aqueduc d’Arcueil

L’aqueduc d’Arcueil

Arcueil d’hier et d’aujourd’hui

Le dimanche 1er octobre 2006, par Alain Morinais

Une promenade dans le centre historique d’Arcueil (94), une image d’autrefois (photographie ou carte postale) confrontée à une photographie d’aujourd’hui prise sous le même angle de vue à un siècle d’intervalle... le tout accompagné d’un commentaire historique afin de prendre la mesure du temps qui passe... voici le thème d’une nouvelle rubrique...

L’aqueduc d’Arcueil

JPEG - 134.1 kio
L’aqueduc d’Arcueil vers 1900

Le bec de gaz d’éclairage de la rue [1], incitait à veiller tard et à fréquenter le bar de l’Aqueduc qui servait la « boisson nationale » de l’époque [2], en particulier celle vantée par la publicité murale : l’« oxygénée » de Cusenier, une absinthe [3] citronnée, douce et anisée. Les « couche-tard » rentraient chez eux, titubant, s’accrochant au réverbère qui pliait sous leur poids, fissurant et arrachant la conduite de gaz. C’est ainsi que celui de la photo fut fabriqué en fonte solide et résistante [4]. Mais n’est il pas déjà trop tard car l’électricité arrive [5], distribuée par les fils aériens accrochés aux isolateurs à tige verticale, portant ces sortes de « pipes » en porcelaine, qui servaient si souvent de cibles aux jeunes tireurs à la fronde.

La maison bourgeoise, derrière son mur protecteur, existe toujours en 2006, bien qu’une rue ait franchi son portail et traversé le parc d’alors pour devenir l’avenue des Aqueducs.

L’arche de passage vers Cachan, élargie et doublée, favorise les flux de circulation automobile. Le bar de l’Aqueduc est toujours surmonté de ses deux chiens-assis dans un univers curieusement plus impressionnant aujourd’hui, tant les aqueducs sont mis en valeur par l’élargissement de l’espace urbain, à cent ans d’intervalle.

JPEG - 93.6 kio
Les aqueducs en 2006

Arcueil (Arcaloï, autrefois), tire son nom d’un aqueduc romain, construit au III è siècle, dont un vestige subsiste encore aujourd’hui.

Toutefois, l’aqueduc d’Arcueil, tel que nous pouvons le voir en ce début de XXIè siècle, combine deux ouvrages distincts.

Au premier niveau, l’« aqueduc Médicis », doit son nom à Marie, veuve de Henri IV, qui reprit à son compte le projet de Sully de restaurer la conduite gallo-romaine. La première pierre fut posée par Louis XIII, alors âgé de 12 ans, le 17 juillet 1613.

La partie supérieure, dite « aqueduc de la Vanne », fut conçue et réalisée à la fin du XIX è siècle [6], par l’ingénieur Eugène Belgrand, avec le soutien du Préfet de la Seine, le baron Haussmann, pour alimenter Paris en eau potable provenant de la Vanne, rivière de l’Aube, qui prend sa source à 14 km de Troyes.

77 arches, 980 mètres pour traverser la vallée de la Bièvre dans sa partie la plus étroite et 41 mètres de haut pour cet imposant édifice frontière entre Arcueil et Cachan.

Arcueil,
le 14 septembre 2006
Texte, image numérique 2006 et carte postale ancienne


[1L’éclairage au gaz avait été installé dans les rues principales d’Arcueil en 1866

[2L’engouement pour l’absinthe est général à partir de 1870 et la publicité est énorme. La consommation avoisine les deux litres par habitants et par an en 1880

[3Liqueur alcoolique aromatisée avec une plante : artémisia absinthium. La fabrication, la circulation et la vente de l’absinthe sont interdites en France depuis 1914

[4C’est dans les années 1880 que les fabricants de réverbères adoptèrent la fonte pour prévenir les accidents au gaz qui se multipliaient

[5Les premières lampes électriques font leur apparition à Arcueil en 1900

[6Début des travaux en 1867, interrompus par la guerre de 1870, ils reprennent en 1872 pour s’achever en 1874. C’est le 12 août 1874 que l’eau de la Vanne arrive pour la première fois dans Paris après avoir parcouru 173 kilomètres de la source d’Armentière au réservoir de Montsouris

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par les responsables.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

23 Messages

  • L’aqueduc d’Arcueil 19 novembre 2014 11:54, par Herrou

    Bonjour,

    Maintenant l aqueduc est éclairé le soir. lors de ma prochaine visite Arcueillaise je prendrai des photos

    Nicole Herrou-Cabaret

    Répondre à ce message

  • Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 9 mai 2008 09:08, par C.Seguin

    Bonjour et merci pour vos articles sur www.histoire-genealogie.com.
    Je viens d’insérer un lien depuis arcueilhistoire.fr, rubrique "livres et sites", j’espère que vous n’y voyez aucun inconvénient.
    Bien cordialement.

    Répondre à ce message

  • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 23 février 2007 19:16, par Amarouche

    Bonjour Monsieur Alain Morinais,

    Je compléte si vous me permettez bien, mon article du 20 Février courant, pour continuer la discussion sur la nomination des lieux géographiques et les acteurs qui ont fait, font et feront l’histoire de demain, lorsqu’aujourd’hui pour eux, redeviendra hier comme nous tous, avec ceux d’autrefois.

    La continuation de mes léctures des articles parus sur le sit d’EL-MAIN, via le "moteur de recherche google", me surprend encore mais sans m’étonner lorsque je lis d’autres propositions sur le changement du nom de ce village dont on retrouve difficilement les archives historiques, que ce soient les écrits ou encore plus, les vieilles photos. Il s’agit d’attribuer le nom kabyle : ILMAYENE au nom connu jusque là en français : EL-MAIN.

    Comme piste de recherches, j’avais eu l’occasion de lire sur les rayons de la librairie de Jules Tallandier, un numéro spécial portant le n° 403 paru en 1974 page 17 "titre : "le genie" , intitulé : Guerre d’Algérie - Les photos souvenir du contingent, évoquant l’ouverture de la piste reliant ce dit village avec Guenzet - Arrondissement de Lafayette - Département de Sétif. Donc, rien à voir avec ce village d’EL-MAIN - Région d’Aïn Défla.

    Sans une analyse scientifique et téchnique trés poussée de recoupements, comment les historiens pourront se retrouver pour écrire et que dire des lécteurs ?

    Répondre à ce message

  • Bonjour !

    La conservation du patrimoine architéctural doit normalement être le souci majeur comme méssage sage transmissible de génération en génération.

    Il est vrai que les villes et villages grandissent, que les mentalités évoluent, que les densités augmentent. De nouveaux commerces s’ouvrent.....

    Mais si l’élargissement s’impose de lui-même, la problème de changement de l’environnement doit seulement connaitre une certaine harmonie symétrique point de vue respéct des normes urbanistiques des nouvelles constructions venant remplaçant les anciennes démolies pour ce besoin d’espace grandissant.

    Même les scènes de carnaval se montent avec harmonies dans les jeux de rôles : respéct de l’ordre dans les différentes disciplines.

    Que dire de ces ilots d’agglomérations dont les maisons ne se ressemblent plus à l’extérieur ?

    Les plans de modernisation du temps présent ne remplacent jamais le charme d’autrefois dans certains pays désireux d’opter pour ce plaisir de changement sans charmement.....C’est tout. Il y a quand même un certain plaisir de voir grandir, mais avec le souci d’agencement, d’harmonie du style et de la mode, sans perdre le côté culturel et sysmétrique comme dans la texture dont on voit plusieurs couleurs dans un même morceau de tissu uniformisé.

    Répondre à ce message

  • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 20 février 2007 14:01, par Amarouche

    Bonjour !

    S’agissant de patrimoine du temps jadis et maintenant, il est plus que salutaire de rendre "hommages" aux sociétés savantes du monde de l’écriture comme un acte de sainteté qui consiste à mesurer dans le temps et l’espace le degré de civilisation ne pouvant être tel, sans que ne soient pris en considération certains paramètres sur les origines des mots et des noms en rapport avec la généalogie ou la géographie.

    L’article ci-dessus amène la réflexion sur l’origine du nom géographique d’un village de petite Kabylie des Bibans : EL-MAIN.

    La communication du bouche à oreille comme méssage transmis de génération en génération dit que cette nomination vient du nom propre du premier personnage : ILMANE venu s’installer là, mais sans savoir d’où il était venu, à quelle date et quel est le nom de jene fille de son épouse ?

    Cependant, les vieux disaient qu’il avait cinq enfants : Halla, Siline, Hellal, Mesbah & Idir.

    Mais quelle fût la surprise lorsqu’on lit l’autre version rapportée par le biais de l’internet, via le sit : www.elmaïn.free.fr tirée de la lécture du livre d’Ibn Khaldoun : "Histoire des Berbères" disant que l’origine de ce nom vient de : Lemaï. Difficile à vérifier tout ça, sans preuve archivistique authentique restant introuvable. Que dire des vieilles photos ? Les historiens qui ont passé par là ou spécialistes dans ce domaine, ont donc du pain sur la planche. Culpabiliser c’est facile. Le difficile est de prouver par une pièce matérielle pour élucider la vérité historique....

    Répondre à ce message

  • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 27 novembre 2006 21:47, par AMAROUCHE

    Cher Monsieur Alain Morinais,

    J’en suis trés honoré de votre réponse et de votre disposition à m’aider culturellement pour les retrouvailles de mes propres photos chez des anciens soldats instituteurs, autant que celles de mon propre village natal pour des motifs d’inspiration n’ayant rien à voir avec le mercantilisme et le monde des affaires, si ce n’est celui du littéraire. Tout d’abord, peut^etre qu’un quelconque soldat détient une photo souvenir du défunt oncle à mon défunt pére, en l’occurence, feu :AMAROUCHE Mohamed Chérif titulaire du Certificat de Bonne Conduite délivré à Métz le 12 Juillet 1928, faisant partie du 23e Régiment de Tirailleurs Algériens, -ème Corps d’Armée dans la 42e Division que lui délivre le Colonel Varaigne.

    Egalement, des photos souvenirs de l’immeuble, rez-de-chaussée Imprimerie journal : sis au 7, rue de Lorraine - Bélcourt - Alger où se trouve locataire mon défunt grand pére : AMAROUCHE Lakhdar - Dirécteur Gérant de l’hébdomadaire religieux, tendance confrérique Alawia ayant pour titre : El Balagh El Djézaïri (Méssager ou Communiqué Algérien), depuis les années 1930 jusqu’à la fin de sa vie le 23 Novembre 1954. Et, enfin, les Etablissements Biscos - 10, rue Valentin - Alger qui ont procédé à la vente aux enchère la voiture Ford -Vedette par jugement rendu en Novembre 1957, en l’absence des héritiers mineurs et majeurs empêchés de se déplacer du fait de la guerre. Ces photos ou tout autre document, rentre dans le cadre de la reconstitution de la mémoire et des souvenirs par devoir. Je vous propose de lire mes articles et de regarder mes photos dans les sits : www.lesanciensdelecole.net, trombi.com, photos-de-classe.com, copainsdavant.com et over-blog.com. Vous pouvez jeter un regard sur ma ville résidentielle à ce sit : www.borj.info et www.elmaïn.free.fr

    En vous renouvelant mes cordiales salutations, veuillez agréer, cher Monsieur Alain, l’assurance de mes fidèles pensées.

    L.AS.AMAROUCHE.

    Répondre à ce message

    • Nous vous avions rédigé un message solliçitant votre participation à l’élaboration d’archives sur la tariqah alawiyya à laquelle nous appartenons mais vous ne nous avez jamais répondu ou alors éspèrons-le vous n’avez pas reçu nos messages sur des forums auxquels vous avez rédigé des messages identiques à celui-çi.
      Gageons qu’enfin nous pourrons entrer en relation.
      Bien cordialement ,

      Répondre à ce message

  • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 5 novembre 2006 19:35, par Mr et Mme Goldszmidt

    Bonjour. Nous habitons depuis 2 ans cette vieille maison d’Arcueil et sommes à la recherche d’histoires et de documents s’y rapportant pour la faire un peu revivre. Si vous en glanez au cours de vos recherches n’hésitez pas à prendre contact avec nous.
    Merci

    Répondre à ce message

    • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 10 novembre 2006 21:07, par Alain Morinais

      Bonsoir Madame, bonsoir Monsieur,

      Je dispose de quelques photos de la rue Emile Raspail, prises dans l’environnement immédiat de votre maison. Je peux vous les transmettre par courriel si vous le désirez.
      Cordialement

      Alain Morinais

      Répondre à ce message

      • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 4 février 2022 17:37, par Tessier Isabelle

        Bonjour Monsieur Morinais,

        je viens de tomber sur vos échanges concernant la rue Emile Raspail et je serais intéressée pour recevoir les photos de l’époque dont vous parlez. Je vais bientôt emménager dans le quartier et je vois d’après la photo de l’article que cela a bien changé.

        En vous remerciant de votre réponse.
        Bien cordialement,
        Isabelle Tessier

        Répondre à ce message

      • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 11 novembre 2006 13:17

        Bonjour,
        Nous vous remercions vivement pour votre réponse ; bien entendu, nous serions heureux de recevoir par courriel les photos que vous avez.Très cordialement.
        Dany et David Goldszmidt

        Répondre à ce message

        • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 11 novembre 2006 16:47, par Alain Morinais

          Vous pouvez me transmettre votre adresse e.mail en m’adressant un message personnel à la rubrique : auteur : Alain Morinais

          Bonne soirée

          Alain Morinais

          Répondre à ce message

          • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 25 novembre 2006 14:54, par AMAROUCHE

            Cher Alain,

            Fantastique travail artistique qui m’en donne de l’inspiration pour faire des photos de personnages, de mes villages natal et résidentiel aussi bien que de personnages en tous âges. Je suis du village d’El-Maïn(Kabylie des Bibans)Wilaya de BBA où j’habite depuis 1968 jusqu’à ce jour.

            Autrefois, j’avais un petit appareil amateur, pellicule 135 et je photographie de façon anarchique parceque je ne dispose pas de documentation comme support physique culturel, et je ne sais même pas que ça existe. Je voudrai retrouver des traces photographiques ou vieux documents des oncles de mon défunt pére, Larbi mort au Front au cours de l’une des deux guerres modiales et son frére Md Chérif prenant sa quille le 12 Juillet 1928 à Métz, avec certificat de bonne conduite, chez un quelconque soldat français du 23 ème Régiment de Tirailleurs Algériens. Mon village était aussi, un poste avancé de la 19e DI, 4e Régiment de Dragon, 4e Escadron : SP 86692 que commandait Georges Laurent. Je voudrai retrouver toutes les vielles photos historiques pour un motif strictement culturel. Si vous voulez lire mes articles, regardez, les sits suivants : www.lesanciensdelecole.net, trombi.com, photos-de-classe.com et copainsdavant.com, toujours dans ce cadre inspiratif. Merci pour votre réponse à échange d’idées, pour Alditas.

            Répondre à ce message

            • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 3 juin 2007 09:31, par AMAROUCHE (Alditas)

              Bonjour !

              De la généalogie des êtres humains peuvent se construire tout autour, après leurs maisons d’habitations principales ou secondaires et leurs documents traitant des métiers d’autrefois, celles des outils avec lesquels ils travaillent et des véhicules utilisés dans leurs déplacements et voyages.

              Mais je ne parviens toujours pas à retrouver dans mes recherches sur "google" et "orange, " les photographies, musées ou colléctions des camions Renault Galion bâchés plateau à ridelles, Citroën, Dodge et Berliets des années 1940-1960.

              L’environnement est une véritable école de la vie mondaine à l’intérieur de laquelle se trouvent à vrai dire, plusieurs autres écoles d’après mes constations faites sur des sits trés riches en la matière mais dont je relève des manques dans de telles recherches historiques par souci et par passion de participer un tant soit peu à la reconstitution du patrimoine éducatif et culturel ayant subi plusieurs altérations et qui continue d’être menacé comme la faune et la flore tout de même.

              J’aimerai aussi retrouver les photographies de notre café maure des années 1950-1960 dont j’en suis sûr que quelqu’un en France notamment en possède dans sa colléction privée que je prie de bien vouloir me faire ce plaisir de m’en envoyer des doubles et l’internet participe à grande échelle aux innombrables risques de vols, viols, destructions, pertes, égarements. Une véritable banque non seulement de récéption des dépôts mais aussi et surtout en plus de la mémorisation, s’ajoute la multiplication des exempalires. Ce-ci je pense qu’il est beaucoup plus sécurisant que nuisible.

              Je prie Monsieur le Modérateur de valider le présent méssage n’ayant rien à voir avec la politique ou l’esprit mercantile.

              AMAROUCHE

              Voir en ligne : De la généalogie des Métiers & des outils d’autrefois.

              Répondre à ce message

            • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 23 mai 2007 16:09, par Amarouche

              Bonjour !

              Je suis trés navré de voir disparaitre ma réponse à Monsieur Benkharfallah pourtant déjà publiée en ligne via votre sit.

              Néanmoins, cela ne va pas me faire fléchir jusqu’à césser d’écrire.

              En plus de la généalogie des maisons anciennes, je voudrai soulever celui des anciennes fontaines Romaines ou françaises aujourd’hui disparues dans nos villages. Une mémoire en péril à faire renaitre si vous êtes disposés à vous y mettre dans les recherches d’archives.

              Beaucoup de gens ont peut ête raison de garder cette documentation pour eux, mais quand même ce ne peut être qu’un gâchis tout ça.

              Peut-on retrouver traces des fontaines d’EL-MAIN comme Thala Thamokrants (grande fontaine), Thaouinines (les fontaines) Thala thajdhit (nouvelle fontaine) et Bhagou ?

              Sur ce, je vous salue !

              Alditas

              Répondre à ce message

            • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 26 février 2007 08:14, par Amarouche

              Bonjour à TOUTES & à TOUS !

              Il nous arrive d’entendre ça et là que : "Le photographe vous donne la photo, pas le cliché..." Pourquoi ?

              Comme dans tous les métiers, le caractére des gens n’est pas le même. Il se peut qu’un autre en donne le tout à son client s’il le sollicite.

              Mais le vrai problème ne se situe pas à ce niveau là. Et si par malheur, il faut le dire comme ça, le photographe à qui l’on remet un vieux cliché, le développe à l’envers...Comme lira-t-on la photo d’un village, d’une ville, d’un paysage ou d’un personnage ?

              Et si la phot est bien développée, mais n’intégre pas la totalité du dessin original se trouvant sur le cliché remis, est-ce cela aura des répercussions point de vue preuve au montage d’un article historique ou non ?

              Et enfin, si dans un article tel village redevient tel autre alors que la configuration n’est pas la même. Est-ce un monsenge ou non ?

              Que dire de cette impossibilité de retrouver un acte d’état-civil ancien et encore plus, une photographie iconographique ?

              Répondre à ce message

            • Bonjour !

              Changer, c’est bon. Mais dans quel sens ?

              Faut-il respécter l’environnement ou non ? L’environnement est-ce seulement les arbres, les trottoires, les constructions, les parcs automobiles, les usines, les commerces, les édifices, étc, étc,...ou alors les habitants également ?

              Si le changement concerne tous les citoyens, ceux-ci sont-ils tous les mêmes devant la loi ou alors ils se scindent en deux catégories : les grands et les petits citoyens ? Peut-on faitre impliquer tout le monde sans communication avec tout le monde ?

              Mais la société est structurée. Donc, seules les représentations ont le droit à la parole pour transmettre un méssage sans droit de réponse. Est-ce cela la démocratie ?

              Par contre, sans connaitre votre couleur politique, je vois que vous êtes issu d’une éducation démocratique avec comme preuve à l’appui, ce fameux : " répondre à cet article," qui concerne tous les lécteurs qui ne s’excluent pas eux-mêmes par eux-mêmes.

              S’agissant de votre sujet, il pourra servir d’exemple de rapprochement ou de collation se faisant dans une ville par rapport à une autre de pays différends, mais géographiquement et historiquement proches.

              M’inspirant de cette approche entre hier et aujourd’hui pour écrire l’histoire, je lis dans "google" deux EL-MAIN(s). Celui de la petire kabylie, mon village natal et celui d’AIN DEFLA. Comme pistes de recherches historico-géo-généalogiques, l’on se pose la question de savoir curieusement quels habitants sont partis d’un point "A" vers le point "B ?" Est-ce ceux de kabylie qui sont partis à Aïn Defla ou c’est l’inverse pour donner un nom à leur village ?

              Si l’on change le nom présent d’EL-MAIN tel que que proposé par certains dans leurs articles, les chercheurs pourront-ils se retrouver demain pour construire leurs livres lorsque les archives parlent d’un nom dans l’histoire et le présent parle d’un autre nom géographique, nouvellement créé pour berbériser ou kabyliser le français ?

              Répondre à ce message

            • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 27 novembre 2006 18:53, par Alain Morinais

              Bonsoir Monsieur,

              Je suis très sensible à votre message, dont je vous remercie. Si je peux vous rendre service, merci de me préciser en quoi ?

              Cordialement

              Alain Morinais

              Répondre à ce message

              • {{}} Bonjour !

                Merci pour votre disposition à bien m’aider et à m’assister culturellement puisque vous vous trouvez sur place en France.

                A vrai sir, j’ai besoin d’une documentation pacifique...

                Le journal de marche de la 19e D.I 4X1, 2 et 3 de l’année 1956, et 4X4 SP 86692 FM EL-MAÏN pour les années 1960 à 1962 avec des photos des scènes de vie sur la pacification si vous pouvez.

                L. dit A.S AMAROUCHE

                Voir en ligne : Recherche de la documentation historique

                Répondre à ce message

              • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 9 août 2007 18:43, par AMAROUCHE

                Bonjour !

                Pour comprendre en quoi je sollicite vos services, allez-y sur les sits http://www.delcampe.net/colléction et www.abcdelacpa.com et vous comprendrez en quoi ?

                Je veux retrouver quelque chose sur mon village natal EL-MAIN d’anton dont il devrait exister des photos au niveau du SHAT et des archives d’Aïx-en-Provence puisque vous êtes sur place et pouvoir insérer quelque chose sur le présent sit ou de me les envoyer. Je vous propose le livre de "jeunesse d’Albert" par Gozzi Marcel et Naour Albert édition/liv’éditions 256 pages 23 E sur la 19e DI 4e régiment de dragons 4e escadron SP 86692 FM/AFN dont notre café maure avait servi de PC provisoire au Capitaine Georges Laurent dit Jojo en 1957 avant son redéménagement à l’école. Ce café avait été détruit en 1961 et voudrai retrouver sa photo souvenir chez quelqu’un soldat colléctionneur autant que mes propres photos de clase d’ailleurs comme simple souvenir pacifique. Merci beaucoup.

                Voir en ligne : Retrouver des photos de colléction.

                Répondre à ce message

              • > Arcueil d’hier et d’aujourd’hui 6 janvier 2007 23:14, par AMAROUCHE

                Monsieur le Webmaster et cher confrére Modérateur,

                Je viens de lire votre méssage ou article n° 997 par lequel vous répondez à l’une de mes interventions automatiquement, et me disant que vous êtes de la Tarika Alawia raison pour laquelle vous me sollicitez si je peux vous en faire un historique.

                Malheureusement, je manque de documents tels que les photos, coupures de journaux et livres détruits à la suite du bombardement d’El-Maïn le 14 Mai 1956 (voir historia magazine et l’archive du mensuel El Moudjahid n° 3 de cette même année prescitée) volé, ou égarées, conséquence du drame familial survenu aprés la mort simultanée de mon pére Kassa dit Belkacem le 26 Octobre 1954 et de mon grand pére paternel Lakhdar Dirécteur Gérant d’El Balagh El Djézaïri, hébdomadaire tabloïd paraissant tous les Vendredis depuis son transfert à Alger à Saint Eugène vers 1930 et au 7, rue de Lorraine Belcourt - Alger sans savoir à quelle date, et enfin le litige sur l’héritage entre le frére de ce dernier Md Chérif Cafetier maure qui entre en justice avec les autres héritiers que son mes tantes paternelles Moghnia et ma demi-grand mére Méddour Hadda, Zahra et son mari Monsieur Bérrachedi Mouloud à la veille du commencement de la guerre d’Algérie. Lors d’une opération de ratissage, l’oncle paternel de mon pére, fére de mon grand pére, en l’occurence Mohamed Chérif Moussebel(volontaire) tombe au champ d’honneur, et l’affaire judiciaire s’arr^te sans résultat final en ce qui concerne les droits de succéssions....

                A la suite du décés de feu Cheikh El Alawi le 14 Juillet 1934, la Confrérie qu’il fonde à Mostaganem aprés son retour d’Orient, traverse une crise pour cette même question de succéssion. Parait-il, un arrangement était survenu aprés l’armistice de 1945 et ses dramatiques conséquences en Algérie.. A ma naissance, le défunt Mohamed Chérif me prénomme Larbi pour péréniser le prénoms de son fére tombé dans l’une de ces deux gueres mondiales quelque part en France ou en Allemagne. Lorsque mon défunt grand pére de son vivant vient d’Alger à cette occasion, il propose le chagement de mon prénoms par celui d’Ahmed Salah comme symbole de cet arrangement conclu entre les confréres de la TARIKA. La signification en français : Dieu merci, il il y a arrangement).

                Les gens rapportent aussi, ce grand congrés Alawi tenu à El-Maïn sur initiative d’Amarouche Lakhdar Mokadam de la Zaouia, sans savoir quelle date. En 1987, une réunion de confréres était tenue chez Monsieur Bérrachedi Mouloud à laquelle était présent Monsieur Abdelkader El Bouzidi à qui je demande la position de la confrérie entre l’Administration française et le Mouvement National....Celui-ci me répond : "bien que la confrérie ne dispose pas de position politique" l’analyse des évènements nous donne la réflexion que toutes les révoltes du passé ont été menées par les confréries religieusesé....Pour mieux comprendre, il faut lire les ouvrages suivants : Monté du Nationalisme en Algérie écrit par Monsieur Aboul Kassem Sa âdallah paru chez l’ENAL - Alger, El Bassaïr de 1954 et celui de Monsieur A. Berque : un mystique moderniste "Cheikh Bénalioua" que j’avais fini par récupéré chez Madame Michéle Dhnnequin - Librairie du Tiers- Monde à Paris. El Balagh du 31 Octobre 1931 souléve la question de la nationalité Algérienne, mais Monsieur Zhair Ihaddadéne dans son volume : "Histoire de la Presse Indigène" dit que la confrérie est vassale à la colonisation française. L’on sait qu’au départ, l’idée de Fondation de l’Association des Savants Algériens venait parait-il du défunt Bénalioua et que récupére feu Cheikh Abdelhamid Benbadis allant changer la ligne éditoriale traditionnelle par l’idée de réforme du Mouvement Religieux, soit disant pour le faire adapter avec la nouvelle conjoncture....Un litige nait alors et c’est l’éclatement en deux branches entre les confréries et le réformisme. Tout ça doit être vérifié et analyser sereinement. Je ne retrouve pas la carte d’identité proféssionnelle de mon défunt grand pére comme Dirécteur Grant du Méssager ou Communiqué Algérien dont le symbole était : "Nous sommes des Musulmans avant tout." Au centre des archives d’Outre Mer d’ Aix-En-Provence, l’on ne retrouve qu’un mmicro-film d’El Balagh El Djézaïri contenant cinq numéros datant de 1930. Aucune trace sur 1945 par exemple. Voilà les eules pistes que je détiens comme élèments d’informations. Je reste à votre disposition si vous voulez engager avec moi un dialogue de questions-réponses qui puisse nous faire rapprocher les uns et les autres dans cette recherche des traces de cet héritage patrimonial. Je vous salue....Ahmed Salah AMAROUCHE.

                Répondre à ce message

                • > Arcueil d’hier et d’aujourd’huiCONNAITRE Mr AMAROUCHE 13 mai 2007 17:45, par Mr S.Benkharfallah

                  J’AI TELLEMENT LU VOS RECITS VOUS ETES D’EL MAIN COMME MOI. JE SUIS DE LA FAMILLE BENKHARFALLAH NE A EL EULMA (WILAYA DE SETIF) je me nomme Seddik Ben Belkacem Ben Mohamad Seddik. Mon grand père Mohamed Seddik était l’intelectuel du village qu’il quittat en 1922 pour un poste administratif à Barika (W. de Batna) en tant que greffier et aoun-judiciaire .Après 31années d’absence, il revint pour y être enterré à Sidi Ahmed Oughouba le 23/11/1953.Ces frères, eux aussi décédés se nomaient Slimane et ALI. Par mon E-mail, j’espère que vous me contacteriez ; Sur ce je vous salue et à bientôt

                  Mr. Seddik Benkharfallah
                  E-mail : s.benkharfallah chez hotmail.com

                  Répondre à ce message

https://www.histoire-genealogie.com - Haut de page




https://www.histoire-genealogie.com

- Tous droits réservés © 2000-2024 histoire-genealogie -
Suivre la vie du site RSS 2.0 | Plan du site | Mentions légales | Conditions Générales d'utilisation | Logo | Espace privé | édité avec SPIP