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Gag ou réalité ? François TARLÉ se marie le jour de ses 14 ans et le jour du décès du père de l’épouse

Le vendredi 24 novembre 2023, par Didier Tarlet

François TARLÉ marié à 14 ans et le jour du décès du père de l’épouse : gag ou réalité ?
Le mariage précoce de François TARLÉ est-il véridique, réaliste ?
Le mariage d’un très jeune laboureur avec la fille d’un notaire est-il surprenant ?
Et autres questions...

Mon arbre généalogique du côté paternel est très majoritairement constitué de paysans ayant vécu dans le département breton des Côtes du Nord (rebaptisé plus tard Côtes d’Armor), précisément à BRÉHAND et ses environs.
Un de mes ancêtres en ligne directe, François TARLÉ, bien que laboureur, a connu un destin un peu particulier.
Né le 22 avril 1690, il épouse le 22 avril 1704, le jour de ses 14 ans (!), une jeune femme de 5 ans son aînée, fille de notaire et dernière d’une grande fratrie.
Ce même jour, le registre paroissial mentionne le décès de Pierre HUET des suites d’une longue maladie, père de l’épouse, âgé de 65 ans.

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Naissance de François TARLÉ
Acte du 22 avril 1690 (registre paroissial AD 22)
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Mariage et décès
Acte de mariage du 22 avril 1704 suivi le même jour de la déclaration du décès de Pierre HUET, 65 ans, des suites d’une longue maladie (registre paroissial AD 22) :

Le premier paragraphe est ainsi formulé : « François Tarlé laboureur et Marie-Anne Huet ménagère, tous deux de cette paroisse, ont contracté mariage par parolle de présent et par consentement des parents celon la forme du saint concile de trente.
Les bans ayant été fait par trois dimanche consécutifs avec la solemnité des grandes messes sans opposition et empêchements canoniquement venu à connaissance c’est pourquoi vu le contrôle de nous tous, je leur ai administré la benediction nuptiale le 23 avril 1704. Présents mathurin et pierre Huet et autres qui ne signent. »

Parmi les témoins, Pierre HUET est semble-t-il un cousin de la mariée. Il est aussi témoin à la déclaration du décès de son oncle et homonyme Pierre HUET, en présence d’Ollivier et de Charles, respectivement frère et fils du défunt.

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Naissance de Mathurine en février 1706,
Elle est la fille de François TARLÉ et de Marie (-Anne) HUET.
François devient père à l’âge de 16 ans (registre paroissial AD 22)

Mes interrogations :

  • Le mariage précoce de François TARLÉ est-il véridique, réaliste ? Connaissez-vous d’autres cas similaires ?
    Je m’interroge au vu du commentaire suivant relevé dans Geneanet : « Union douteuse entre François (14 ans) et Marianne (19 ans) ?? Plusieurs généalogistes la retiennent cependant ?? ».
  • De même, le mariage d’un très jeune laboureur avec la fille d’un notaire est-il surprenant ? Connaissez-vous d’autres cas similaires ?
  • Je m’interroge aussi sur la coïncidence du mariage avec le décès de Pierre HUET. L’union serait-elle consécutive au décès qui était prévisible apparemment (longue maladie) ? Si oui, pour quelle raison ?

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23 Messages

  • 1805 Bornet, Creuse
    Du dix-septième jour du mois de floréal de l’an treize à huit heure du matin (7 mai 1805)

    Jean, 14 ans 11 mois et 5 jours épouse Anne, 17 ans 5 mois 3 semaines et 6 jours.
    Le premier enfant nait le 22 mars 1806, 10 mois après le mariage.

    Acte de mariage de Jean Vernaudon,
    mineur de quatorze ans et dix mois, émancipé par l’Empereur des Français pour contracter mariage par arrêté du vingt-quatre ventôse, demande enregistrée et informé (?) des Vernaudon, né à Bornet, canton de Boussac, département de la Creuse, le quatre du mois d’août, ? mil sept cent quatre vingt dix, âgé de quatorze ans et dix mois,
    profession de cultivateur, demeurant au chef lieu de la commune de Saint-Silvain-Ballerot, département de la Creuse,
    fils de défunt Antoine Vernaudon et de Gilberte Gasty,demeurant à ? Saint-Silvain-Ballerot, village de La Villatte, canton de Boussac, département de la Creuse, d’une part ;
    et de Anne Rigaud,
    née à Saint-Silvain-Ballerot, village de La Villatte, canton de Boussac, département de la Creuse, le dix du mois de novembre mil sept cent quatre vingt sept, âgée de dix huit ans, demeurant à La Villatte ? commune, département de la Creuse, fille mineure de défunt Claude Rigaud, propriétaire et de Gabrielle Aubeau, demeurant à La Villatte, département de la Creuse, d’autre part...

    Jean Vernaudon et Anne Rigaud (sosa 48-49)

    https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=318233&page=85

    Gilberte Gasty, enfant orpheline à 2 ans, la mère de Jean Vernaudon, est elle-même mariée à 12 ans et maman a 17 ans.

    Cordialement.

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  • Bonjour,
    J’ai rencontré un cas du même genre.
    Le 13 nov 1708, à Septmoncel, Pierre BENOIT GONIN, illitéré, né le 19 mars 1688 (20 ans), fils de Pierre, laboureur, épouse Marie Françoise DAVID, (qui signera l’acte de naissance d’un de ses enfants), âgée de 14 ans (acte de naissance introuvable), fille de Claude Etienne, Maître notaire.
    Ils auront 9 enfants. Malheureusement, par suite de manques dans les registres, on ne connait pas la date de naissance du premier enfant.
    Concernant la différence de niveau social, il est probablement moindre qu’on ne l’imagine aujourd’hui. Il y avait des notaires même dans de tous petits villages. Même si le notaire était un notable, ce pouvait être un tout petit notable ! Un laboureur était quelqu’un possédant au moins un cheval et une charrue, ce qui n’était pas rien ! Tout en bas de l’échelle sociale, on trouve le manouvrier, qui ne possède rien, hors la force de ses bras !
    Cordialement
    JLBG

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  • je pense qu’il devait y avoir une inclinaison certaine entre les deux jeunes gens et ce père se sentant partir a voulu faire en sorte que sa fille soit mariée officiellement et à l’abri des aléas de la vie !!!!

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  • le mariage que vous évoquez précise que 3 bans ont été publiés. Il n’y avait donc pas d’urgence pour le célébrer. les parents du couple ne sont pas mentionnés pas plus que leurs âges. les protagonistes ne signent pas, bizarre pour un notaire, même à cette époque. S’il s’agit bien d’une famille de notaires et de laboureurs, ses gens là font des papiers : contrats de mariage, achat de terres, rentes etc...
    Si je me réfère aux habitudes des curés d’une région que je connais bien, la Haute Normandie, ce curé aurait mentionné l’âge des mariés. Et pourquoi se précipiter s’il n’y a pas "d’urgence" ? Rien n’est moins sûr qu’un acte de naissance si on ne connait pas avec précision les parents. Les homonymes sont nombreux dans un village où plusieurs familles peuvent porter le même patronyme et le même prénom. Pierre, François.... des prénoms courants.
    Désolée de remettre en cause votre hypothèse. Il faut chercher les parents des mariés de manière sûre avant toute chose.

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  • Au sujet du statut de paysan, comme d’autres l’ont dit ici, il faut voir que dans ce monde-là il y avait de grandes disparités.

    Un de mes ancêtres aveyronnais, Anthoine BAYSSIERE, qui se qualifiait lui-même de "paysan" possédait de nombreuses terres : il a rédigé un "livre de raison" où il énumérait toutes les terres qu’il possédait, faisait des recommandations aux générations futures, notait les naissances et décès de ses enfants, etc.
    Donc on peut dire que ce paysan était loin du simple journalier ou brassier et se rapprochait plus de la bourgeoisie. Peut-être votre ancêtre François TARLÉ était-il dans une situation similaire ?

    Cordialement,

    Franck Juin

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  • Bonjour,

    Je ne pense pas que ce cas est unique. J’ai dans mon arbre, dans l’Ardèche du XVIIe siècle, plusieurs cas de mariages de filles héritières universelles qui sont mariées à 12 ans avec des hommes majeurs (minimum 25 ans), qui trouvaient là un moyen d’obtenir facilement une situation.

    J’ai également le cas du mariage d’un jeune garçon de 16 ans avec une fille de 28 ans. Ce garçon était fils unique et devait vite fournir des héritiers pour transmettre la propriété de son père, et il devait avoir une santé fragile puisqu’il est mort à 25 ans.

    Dans votre cas, pour comprendre le pourquoi du comment de ce mariage, il faudrait voir comment étaient composées les deux familles (du marié et de la mariée), et également retrouver le contrat de mariage, ainsi que le testament du père de la mariée. D’ailleurs, celui-ci étant malade n’aurait-il pas chercher à caser sa fille au plus vite avant de mourir ?

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  • Bonjour, mon aïeul Pierre Rongier, cordonnier, s’est marié le 22 novembre 1780 à Trizac (Cantal), à l’âge de 13 ans et 11 mois ! Son épouse Jeanne Galvain avait 21 ans, un écart d’âge qui fait penser à votre cas de figure.

    Il se trouve que les parents de la mariée étaient décédés depuis quelque années (en 1762 et 1771) : donc pas de soupçon de cause à effet, entre la mort du beau-père et le mariage, dans le cas de mes ancêtres.

    Jeanne Galvain semble être la dernière de la fratrie, y a-t-il un lien ?

    Bonnes recherches !

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  • Bonjour,
    Dans mes recherches, j’ai quelquefois trouvé des enfants issus d’un même couple et ayant le même prénom. Avec par la suite la notion de "majeur" et de "mineur". Dans votre généalogie, il y avait peut-être deux François
    Quant à la mixité sociale il est possible qu’il soit lié à la maladie et au décès du père de l’épouse, pour des raisons de succession. J’ai déjà remarqué ces mariages suivants un décès. Avec souvent le remariage le même jour du veuf ou de la veuve.
    Bonnes recherches
    F Vern

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    • Mariage précoce (pour l’époux) mais réaliste :

      • les laboureurs n’étaient pas de simples paysans. Ils pouvaient posséder des biens, avoir sous leurs ordres des ouvriers agricoles (Cf Jacques d’Arc, père de Jeanne, signalé comme "laboureur")
      • pour l’épouse, ce n’était pas un mariage précoce (elle a 19 ans, alors que l’âge de nubilité est de 12). De plus, elle était "dernière d’une grande fratrie" ; il fallait donc la "caser" pour qu’elle puisse avoir un soutien viril avant le décès de son père très malade et qu’elle ne soit pas à la charge de ses frères et soeurs peut-être déjà chargés de famille.

      Répondre à ce message

  • Bonjour , Alors différence de classe sociale n’est pas justifiée car certain laboureur étaient beaucoup plus riche que le notaire ! j’ai dans ma famille la fille d’un laboureur ( aussi fermier du château ) qui épouse le fils du chatelain . Elle est inhumée dans le caveau de l’église du village avec les chatelains seigneurs du village . Ses parents sont eux également dans l’ église ! et ce n’est pas un cas unique .

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    Quand est né le premier enfant de ce couple ? S’il est né très tôt après le mariage, on peut supposer que le père de la mariée a cherché et trouvé, contre espèces sonnantes et trébuchantes, un époux pour sa fille déshonnorée. Dans ce cas, le fils d’un laboureur pourquoi pas ? Sans compter, que le marié pouvait être réellement le père de l’enfant et que le couple avait fêté Paques avant les Rameaux !

    Si c’est le cas, vous devriez trouver une déclaration de grossesse aux AD. Cette déclaration de grossesse, obligatoire pour toutes femmes célibataires enceintes, se faisait devant un officiel (notaire ou autres) et précisait les circonstances ayant entraînées cette grossesse. C’était souvent un viol ou une promesse de mariage. La femme enceinte était alors mise sous la garde d’une sage-femme jusqu’à sa délivrance, le bébé sitôt né était baptisé et abandonné ou gardé par sa mère. Si le père était connu, il devait une pension d’entretien pour l’enfant. J’ai retrouvé plusieurs cas en Haute Provence, ce doit être partout pareil.

    La mariée de 19 ans devait plutôt être contente d’avoir un jeune mari plutôt qu’un barbon !

    Bonne continuation dans vos recherches.
    Bien cordialement.

    Monique

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    Le cas de François TARLÉ marié à 14 ans, avec une fille de 19 ans, et père à l’âge de 16 ans est moins exceptionnel que le cas suivant d’Antoine marié à 14 ans, avec une demoiselle de 23 ans, et père à 15 ans selon le registre paroissial de Chimilin (38), (1701-1716),vue 16/101, AD38.
    "Antoine, fils d’Antoine Jayet natif de la paroisse de St Pierre de Paladru âgé de 14 ans et quelques jours habitant dans la paroisse de Chimilin depuis 2 ou 3 ans et de Dimanche Revol ses père et mère journalier, et Marie Polaud fille de Michel journalier et de Jacquemaz Caronz ses père et mère, âgée d’environ 23 ans, ont reçu la bénédiction nuptiale par le consentement de leurs parents ce 22 juin 1704 en présence de Pierre Mathieu oncle de l’époux" signé Reynier vicaire.

    • Le 16 juin 1705, le vicaire Reynier baptise Laurent, né la veille, fils d’Antoine Jayet et Marie Polaud mariés, parrain Antoine Guillermoz, marraine Benoîte Jayet.
    • Ces deux actes montrent qu’Antoine Jayet devient père à l’âge de 15 ans, il est ainsi très probablement l’un des plus jeunes pères du Dauphiné au 18e siècle. Cette union d’un garçon de 14 ans avec une adulte de 23 ans est totalement inhabituelle.

    Répondre à ce message

  • Je vais peut-être trop loin dans mes suppositions, mais imaginons que la demoiselle ait été enceinte des oeuvres du garçon.
    La seule solution, mais qui ne plaît pas au père de la mariée, en raison de la différence de classe sociale. Il donne néanmoins sont consentement, mais de voir la réalisation de ces noces lui donne un coup fatal.
    La longue maladie pouvait très bien être cardiaque, et à ce moment-là, toute émotion est dramatique.
    Ma question est : quand est né le premier enfant ?

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    L’âge de 14 ans correspond à l’âge de nubilité autorisé pour les garçons à cette époque-là. Pour les filles il était de 12 ans.

    Des mariages de jeunes personnes tels que celui-ci (je ne parle que de l’âge ici,pas de la différence de statut social) se rencontrent.
    De mémoire, dans ma généalogie (Limousin, Aveyron, Bourbonnais) c’était plutôt l’inverse : le garçon était plus âgé que la fille et les premières naissances ne survenaient, fort heureusement, que plusieurs années après. Ainsi j’ai une ancêtre née en 1780 et mariée en avril 1792 (à 12 ans !) avec un homme de 30 ans : leur premier enfant naît en 1799.
    Quelques mois plus tard, en octobre 1792, la Révolution fera passer cet âge de nubilité à 13 ans pour les filles et à 15 ans pour les garçons, et le changera par la suite (1804). (Voir à ce sujet : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nubilit%C3%A9)

    Cordialement,

    Franck Juin
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    Répondre à ce message

    • A propos du mariage de votre ancêtre née en 1780 er mariée en 1792, il faut peut-être rergarder l’âge du mari (30 ans) qui, célibataire, risquait d’être enrolé dans les armées de la République ( Valmy !).
      J’ai rencontré en généalogie, pour cette époque, des mariages de jeunes futurs conscrits avec de vieilles femmes pour les mêmes raisons : l’exemption.

      Répondre à ce message

      • Merci pour cette hypothèse, je n’y avais jamais songé !

        Il était parvenu jusqu’à nous une histoire au sujet de ce mariage, or mes recherches dans les registres paroissiaux l’invalidaient (un mariage projeté avec une sœur aînée décédée très peu de temps avant le mariage, il aurait été alors convenu de marier sa jeune sœur).

        Bonne journée à vous,

        Franck Juin

        Répondre à ce message

        • En cas de mariage entre un homme "âgé" 25-30 ans et une très jeune fille, voire une enfant, le mariage n’était consommé qu’une fois la mariée devenue pubère, ce qui à l’époque était souvent plus tardif que de nos jours, 15 ans environ, et souvent le père exigeait de laisser encore passer une ou deux années. En revanche dès le mariage le marié prenait possession de la dot, ce qui évidemment était intéressant pour lui.
          J’ai dans mon arbre en haute Maurienne et également en Andorre des mariages de très jeunes gens 14-15 tant filles que garçons.
          Côté naissances, le 15 Juillet 1905, dans un petit village reculé de l’Aude, ma grand-mère naissait au moment même où, dans la chambre voisine, son père décédait à 24 ans de la tuberculose.
          Enfin une de mes amies en 1983 a perdu ses parents et grands parents maternels, tous les 4 tués rentrant en voiture après le mariage par un chauffard ivre...Les faits sont parfois cruels.

          Répondre à ce message

  • Bonjour

    • Peut-être une manière de caser une fille enceinte, déficiente ou handicapée : qui aurait pu être une charge pour les frères et sœurs.
      Le statut de fille de notaire et la dot ont compensé.
      IL amenait peut-être un lopin de terre, ou son attelage. Voir si il y a eu acte de fiançailles, inventaire de la dot…
    • Plus romanesque : ls s’aimaient malgré la différence d’âge…
      La mort du père a tout réglé !

    Cordialement
    Fr

    Répondre à ce message

  • J’ai 78 ans. Dans le cercle de mes amis je connais deux cas décès le jour d’un mariage. Une grand-mère, 80 ans mais en bonne santé, a quitté le diner prétextant une indisposition, elle s’est couchée, le décès fut constaté vers minuit mais rien ne fut dit aux mariés. Dans le 2e cas, c’est la tante et marraine du marié (62 ans, mais cardiaque) qui est décédée pendant le repas.

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