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Des étudiants de l’École des Eaux et Forêts de Nancy entre 1861 et 1863

Le vendredi 30 juillet 2021, par Jean Claude Chausse, Thierry Sabot

Cette vieille photographie provient d’un album de cartes postales. Elle était insérée entre deux pages... Elle ne semble pas avoir de lien avec les cartes postales de l’album. Sans doute a-t-elle été classée ici par erreur, sa destination première étant sans doute les pages d’un album de photos de famille.

Elle représente des étudiants de l’École des Eaux et Forêts de Nancy. Ils étaient tous issus de familles aisées car, pour rentrer dans cette école, ils devaient justifier un revenu de 5 000 francs or à l’époque ce qui était énorme... un salarié ordinaire gagnait seulement 1 ou 2 francs par semaine.

Additif du 28 juillet 2021 : un seul des personnages est identifié précisément, l’homme couché en bas à droite : il s’agit de Pierre-Louis-Joseph Marchand, dit Louis Marchand. Toutefois, je viens de mettre la main sur un exemplaire d’un ouvrage de Ch. Guyot, intitulé L’Enseignement forestier en France, l’école de Nancy, publié en 1898 et qui recense toutes les promotions de cette école. Pour l’année 1861, voici la composition de la 38e promotion : Rousselot, Huard, Mélard, Loyer, Noirot, Frandin-Burdin, Caron, Pollet, Dubois, Alizard, Rich, Le Tellier, Rouyer, René Mer, Fessart, Dumont, Suremain de Saizeray, De Blégier (?), Delaunay, Gazin, Bahezre de Lanlay, Lefebvre-nailly. Qui pourrait les identifier précisément sur la photo ? Merci à tous pour votre aide...

Louis Marchand, Chevalier de la Légion d’Honneur le 29 décembre 1896, Chevalier du mérite agricole le 04 juin 1893, Officier du mérite agricole 05 janvier 1898, Commandeur du mérite agricole 12 juillet 1902, Officier d’académie 10 septembre 1902, Officier de l’Instruction publique 06 mars 1903, était né à Arbois le 03 octobre 1841.

Il est sorti quatorzième de l’école forestière. Nommé garde général en stage à Poligny le 05 septembre 1863, il assure l’intérim à Gey le 14 janvier 1864. Puis il devient garde général à Barcelonnette le 30 janvier 1864. Ensuite, il est désigné à Gey en mars 1864, mais maintenu le 05 avril 1864 à Barcelonnette.

Par la suite, ses états de services s’établissent ainsi :

  • Sous-Inspecteur en disponibilité la date du 21 mai 1872.
  • Appelé à l’administration centrale le 01 février 1876.
  • Au service des reboisements de l’Ardèche le 18 mars 1876.
  • Chef de service en Ardèche le 18 juin 1877.
  • Service du reboisement de l’Aude le 16 janvier 1880.
  • Service du reboisement de la Savoie le 28 janvier 1880.
  • Chef de service du reboisement à Embrun le 28 février 1881.
  • Inspecteur à Embrun le 13 septembre 1882.
  • Chef de la section du reboisement à l’administration centrale le 04 décembre 1882.
  • Chef du service temporaire central du reboisement le 23 novembre 1883.
  • Conservateur à Beaune le 14 décembre 1885.
  • Conservateur à Besançon le 07 novembre 1891.
  • Directeur de l’école des barres le 26 février 1897.
  • Dans un annuaire de 1909, Louis Marchand est retraité (il est mentionné qu’il avait été directeur de l’École des Barres qui formait les gardes forestiers, alors que Nancy formait les officiers.

Pierre-Louis-Joseph Marchand a donc fait l’École de Nancy les 2 années avant d’être garde général, c’est à dire entre 1861 et 63. La photographie date donc de cette époque. Elle porte, en bas, la signature du laboratoire photographique : Chatelain à Nancy.

Les étudiants de l’École des Eaux et Forêts de Nancy adoraient la photo (chose encore peu courante à l’époque) si on en juge par cette autre photographie qui date des années 1880 :

Sur cette composition, on remarque le contraste entre les poses de certains étudiants en situation de travail, ou plutôt en train de faire semblant, et celles de quelques autres, le verre à la main, devant un sol parsemé de bouteilles vides.

Il semble qu’il existe une autre photographie qui représente des étudiants de cette École de Nancy, et cette fois, ils sont nus comme des vers...

Qui pourra identifier les autres personnages et nous donner des indications au sujet des photographies ci-dessus (voir plus haut dans cette page l’additif du 28 juillet 2021) ?

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16 Messages

  • Bonjour, Je recherche des informations sur deux diplômés français de l’Ecole de Nancy. Je sais que l’un a obtenu son diplôme en 1903 et l’autre - plus tôt. Savez-vous où je peux écrire et demander des photos d’eux et plus d’informations ? Je connais leurs noms, quand ils ont étudié à Nancy, quand ils sont nés. Merci d’avance !

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  • Bonjour,

    Je ne vous serai d’aucun secours dans votre quête, malheureusement.... Juste un ou deux commentaires : 5000 francs de revenus, c’est effectivement une somme considérable qui exclut, en effet, la classe moyenne de cette formation. Et deuxièmement, sur les photos, point de "vedette" (qui amuse ou fédère), ni de "petit chef" (qu’on respecte ou qu’on craint), toutes les personnalités sont affirmées, autonomes et se respectent mutuellement. Tout l’esprit des grandes écoles et de l’éducation bourgeoise qui y prépare....
    Cordialement.

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  • Des étudiants de l’École des Eaux et Forêts de Nancy entre 1861 et 1863

    J’ai été élève de l’École Nationale des Eaux et Forêts de 1952 à 1954. A l’époque chaque promotion de l’École faisait un album qui retraçait les 2 années passées à Nancy. J’ignore quand avait commencé cette tradition et jusqu’à quand elle a duré.
    Les albums faisaient partie des archives des élèves, mais au moment des grands chamboulements de l’administration forestière, ils ont été versés à la bibliothèque de l’annexe de Nancy de la nouvelle école du Génie rural, des Eaux et des Forêts.
    Je vous conseille de vous adresser au bibliothécaire de l’annexe de Nancy de l’École Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts, 14 rue Girardet 54000 Nancy

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  • recherche sur mon arrière grand père , promo 44 1867-1869 13 janvier 2017 14:10, par Marie RETHORE

    je recherche tous documents ou infos concernant mon arrière grand père Louis Edouard Duchesne, qui était dans cette école de 1867 à 1869, qui a été ensuite inspecteur des forets a Oloron ste Marie.
    né en 1846 dcd en 1901 à Bordeaux.
    merci d’avance.
    Marie Rethoré

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  • Bonjour,

    Trouvé dans Gallica, la nécrologie de Pierre Louis Joseph Marchand.
    Cordialement.
    Michel Guironnet

    "Nécrologie. M. Marchand (Pierre-Louis-Joseph). Le Corps forestier a fait une grande perte en la personne d’un de ses membres les plus actifs et les plus sympathiques, M. Louis Marchand, ancien Conservateur des Eaux et Forêts, ancien directeur de l’Ecole des Barres, décédé le 3 février dans sa propriété de Montigny, près d’Arbois, où il s’était retiré après sa mise à la retraite.
    A ses obsèques, qui eurent lieu le lendemain, dans cette localité, l’Administration des Eaux et Forêts fut représentée par MM. Bazaille, Conservateur, Bergère, Boudriot et Thiollier, Inspecteurs, Poux, Inspecteur adjoint, et un piquet de i5 préposés, commandé par M. Hubault, garde général stagiaire, rendit les honneurs.
    Des discours furent prononcés par l’adjoint de Montigny, dont M. Marchand était maire, « un maire comme on ne peut en trouver de meilleur », par le Président de l’Association des anciens élèves du collège Pasteur à Arbois, et par M. l’Inspecteur Thiollier, qui, au nom du Corps forestier, s’exprima ainsi :
    J’avais espéré qu’une voix plus autorisée que la mienne viendrait ici retracer la belle carrière du grand forestier qui vient de disparaître. Des empêchements indépendants de leurs volontés ont retenu ceux qui étaient qualifiés pour faire l’éloge de M. Marchand. Je vais donc dire, en quelques mots, combien fut grande et pleine d’enseignements la vie de celui que nous pleurons :
    Né à Arbois en 1841, M. Marchand est entré à l’Ecole forestière à l’âge de 20 ans à peine. En sortant de Nancy, il eut l’intention de faire sa carrière dans son pays natal, si riche en belles forêts et qu’il affectionnait entre tous ; il est donc, sur sa demande, nommé, en 1863, garde général stagiaire à Poligny, d’où il va bientôt gérer, en l’absence du titulaire, le cantonnement de Gy. Mais les questions passionnantes et nouvelles, à l’époque, de la restauration des montagnes devaient tenter l’esprit élevé et l’activité si grande de ce jeune agent. Il demande donc un poste très dur, mais aussi fort instructif en la matière et on l’envoie, en i864, à Barcelonnette, dans cette vallée de l’Ubaye surnommée « la patrie des torrents ».
    Il se distingue de suite dans ce nouveau service qui le captive et auquel il consacrera la plus grande partie de sa carrière. En 1870, M. Marchand est officier d’état-major ; des dépêches d’une importance capitale lui sont confiées et, déguisé, il les transporte à travers les plateaux du Jura recouverts d’une épaisse couche de neige. Sa grande connaissance du pays lui permet de mener à bien cette périlleuse mission.
    En 1873, des affaires personnelles obligent M. Marchand à demander sa mise en disponibilité ; cette interruption de service, qui aurait brisé la carrière d’un agent ordinaire, ne retarde que de fort peu son avancement. On le trouve en 1876 aux reboisements de l’Ardèche, dont il devient chef de service en 1877, puis aux reboisements de l’Aude et enfin, en 188o, au même service en Savoie, puis à Embrun. C’est là qu’il est promu Inspecteur. Mais le Directeur des Forêts avait besoin, au ministère, d’un chef de section des reboisements très instruit en la matière. Nul mieux que M. Marchand ne convenait à ce poste ; il l’occupe de 1883 à 1885, puis il gère pendant 6 ans l’inspection de Beaune, où l’administration lui confère, à si juste titre, le grade de Conservateur. C’est en cette qualité qu’il occupe le poste de Besançon de 1891 à 1897.
    Mais sa grande connaissance du caractère humain, l’ascendant qu’il prenait de suite sur son personnel le désignaient pour une tâche difficile entre toutes, je veux parler de l’instruction des jeunes gens qui vont devenir agents forestiers : c’est pourquoi on lui confie la direction de l’Ecole forestière des Barres où, pendant 10 ans, il prodiguera à ses élèves de précieux conseils empreints de l’extrême droiture et de la grande justesse de vues qui caractérisaient cet homme éminent.
    M. Marchand était chevalier de la Légion d’honneur depuis 1896, commandeur du Mérite agricole depuis 1902 et Officier de l’Instruction publique depuis 1903. A différentes reprises, l’Administration lui a confié des missions forestières en Autriche et en Suisse. Il a écrit également plusieurs ouvrages techniques appréciés. Je n’exagérais donc pas en disant, tout à l’heure, que la carrière de M. Marchand fut une grande et belle carrière.
    Ayant demandé et obtenu, en 1907, son admission à la retraite, il s’établit dans son cher Montigny, où il était revenu chaque année avec tant de plaisir passer ses heures de liberté et vous l’avez vu, jusqu’à ses derniers jours, consacrer à sa commune son intelligence et son activité.
    Oserai-je maintenant parler devant sa famille et devant vous tous, qui avez eu l’honneur et le bonheur de le connaître pendant plus longtemps que moi, oserai-je, dis-je, parler du père de famille et de l’homme privé ?
    Sur ce point vos souvenirs seuls suffisent : ils vous diront mieux que moi l’étendue de la perte que nous venons de faire. Monsieur le Conservateur, vos chefs vous ont porté au sommet de la hiérarchie forestière, vos subordonnés vous ont voué un attachement dont l’unanimité est bien touchante et bien rare. Tous ont admiré votre caractère et votre œuvre. Au nom de tous, je vous adresse un très respectueux et bien ému « au revoir ».
    A ces paroles si vraies, qu’il me soit permis, en souvenir de la collaboration étroite qui nous unit pendant 3 années, d’ajouter quelques lignes pour adresser à mon ancien chef un dernier témoignage d’affection et de regret.
    C’est aux Barres, où il avait été envoyé comme directeur, que je connus M. Marchand. Dans ce poste de confiance, que l’Administration lui avait donné comme couronnement de sa carrière, il avait su de suite s’attirer les sympathies de tous. Car là, peut-être mieux encore que partout ailleurs, s’affirma le trait dominant de son caractère, la bonté. Bon, il l’était foncièrement, d’une bonté qui s’alliait à la fine bonhomie d’un Franc-Comtois de vieille souche et qui n’excluait pas chez lui l’énergie ; loin de là. Rappellerai-je ici ce noble épisode de sa vie auquel sa modestie ne voulait pas qu’on fît allusion, alors que, en 1870, faisant bon marché des devoirs de famille les plus chers, il traversait les lignes ennemies pour porter des dépêches importantes au général Bourbaki.
    D’une aimable et cordiale simplicité, très indulgent, accessible à tous, M. Marchand exerça ses délicates fonctions de directeur d’école d’une façon toute paternelle.
    Dans ce beau domaine des Barres, il se trouvait heureux, car il pouvait donner libre cours à ses goûts de forestier et de terrien. Terrien, il l’était en effet dans la plus noble acception du mot. Presque au début de sa carrière, il n’avait pas hésité à quitter pendant quelque temps l’Administration pour remettre en valeur des terres ruinées par la disparition des vignes qui les couvraient, afin de conserver à ses enfants le patrimoine légué par ses ancêtres. A ces terres, à ces vignes auxquelles il avait consacré les forces vives de ses plus belles années, il devait toujours conserver un attachement profond. Avec quelle joie il reprenait, aux vacances, le chemin de son cher Montigny !
    Aussi, c’est sans appréhension qu’il vit arriver le moment, si pénible pour beaucoup, de la retraite ; il retrouvait son foyer, le coin du sol qui l’avait vu naître. Et puis, à la tête d’une belle et nombreuse famille dont il était le chef aimé et respecté, que de chers intérêts il avait en mains ! Combien utiles étaient pour les siens sa présence, son activité, sa connaissance des affaires !
    Mais, hélas ! il ne devait pas jouir longtemps de ce repos actif. Il avait toujours trop compté sur les forces dont il était doué. A peine installé chez lui, la maladie le terrassa. La disparition de la chère compagne de sa vie lui enleva une partie de l’énergie qui lui aurait été nécessaire pour réagir et, malgré les soins dévoués qui l’entouraient, il vient de succomber.
    Mon vif regret est de n’avoir pu aller serrer une dernière fois cette main loyale qu’il me tendit si souvent.
    Je viens du moins lui apporter ici, au nom de ses anciens collaborateurs et élèves de l’Ecole des Barres, l’hommage des regrets profonds qu’il laisse parmi eux. Son souvenir est de ceux qui ne s’effacent pas et une vie telle que la sienne, toute de travail, de dévouement à sa famille et à son pays, est un exemple réconfortant pour les siens comme pour tous ceux qui l’ont connu. L. Pardé. »

    « Revue des eaux et forêts : économie forestière, reboisement.. » 1912 (T51,A1912, SER4).
    Identifiant : ark :/12148/bpt6k97351326
    Relation : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328583731/date

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  • Bonjour,
    I am researching the career of Mederic de Vasselot de Regne who was the Superintendent of Woods and Forests in South Africa during 1881-1891. He was a student of the Nancy College 1856-1858 (33rd Promotion).
    He was the architect of the Cape Forestry Department and introduced many new ideas based on his French training and forestry experience, in the Cape.
    He recruited other Nancy graduates to work in the Cape :
    David Hutchins (Possibly 48th promotion ?)
    James Rawbone (53rd promotion)
    Do you have any further information about Nancy College and on the courses offered at this time please or any other contact you might have ?
    Many thanks,
    Philip Caveney
    Knysna, South Africa

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  • Je cherche des renseignements sur les professeurs Louis TASSY et Alexandre STHEME qui ont travaillé à Istanbul - ils y ont fondé l’école des eaux et forêts en 1856.
    Si vous avez des informations je suis preneur et prêt à partager avec des informations sur leur activités à Constantinople.
    En outre d’autres diplômés de Nancy ont travaillé à Constantinople :
    Adolphe BRICOGNE
    Charles SIMON
    Frédéric CHERVAU
    Eugène GODCHAUX
    Eusèbe GALMICHE
    Gérard de MONTRICHARD
    Paul Joseph SABY
    Camille GUINET

    Merci par avance pour toute piste ou info
    JFP

    Voir en ligne : http://www.ifea-istanbul.net

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  • Bonjour, c’est avec un grand intérêt que j’ai regardé les photos d’élèves de lécole forestière de Nancy. En effet un de mes ancêtres y était professeur de mathématiques de 1834 à 1866 : Regneault Emile-Emmanuel . Je recherche des photos de l’équipe enseignante de cette époque et les livres écrits par cet ancêtre :Traités d’arpentage, géodésie,topographie,mécanique....

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  • Bonjour. Un des mes ancêtres a été étudiants à l’école de Nancy. L’ecole m’a envoyé une photo. Mon ancêtre est le N° 16 VINSON Elie Honoré Julien de la 41e promotion de l’Ecole Forestière de Weyd (Nancy)
    Julien VINSON. VINSON (Elie-Honoré-Julien) Né à Paris, 19 janvier 1843, sorti n°2, Garde général de 3e classe, 26 septembre 1866,chargé de l’intérim du cantonnement de Bayonne ; 3 juin 1867, titulaire du poste. Sous- Inspecteur, 16 novembre 1878, à Bagnères de Bigorre. Si cela peut aidé quelqu’un à retrouver des ancêtres.

    JPEG - 92.9 kio

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    • Bonjour,
      Votre ancêtre Julien Vinson est très connu au Pays Basque pour ses études sur la langue basque. Mais nous ne savons rien sur sa vie privée et professionnelle. Avez -vous d’autres informations plus précises ?
      N’hésitez pas à nous contacter au Musée Basque de Bayonne. Merci

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      • Bonjour, Merci de l’intérêt que vous portez à cet ancêtre. je peux vous faire parvenir des éléments sur sa vie privée et professionnelle mais comment puis-je m’assurer de l’authenticité de votre demande ? Quels sont les coordonnées du Musé Basque de Bayonne ? Pouvez-vous me les transmettre ? Je peux vous envoyer un fichier PDF si vous le souhaitez dans lequel vous pourrez puisez ce qui vous intéresse. par quel moyen ?
        Cordialement
        Marc VINSON

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        • Bonjour ,
          La bibliothèque du Musée basque est une bibliothèque spécialisée sur le Pays Basque et est une des plus riche dans ce domaine. Nous avons plus de 100 références de et sur Julien Vinson (livres, articles, correspondance avec des chercheurs dans le domaine basque). Sa "Bibliographie de la langue basque" reste un référence dans nos études des livres anciens .

          vous pouvez nous contacter via le site de Musée Basque de Bayonne : www.musee-basque.com
          Sur la page de "Bibliothèque" à "Infos pratiques" vous avez les téléphones et mails des 2 documentalistes qui travaillent au Musée dont moi-même.

          Vous pouvez nous envoyer vos documents par mail ou via
          We Transfer si celui-ci est trop lourd.

          Merci d’avoir répondu à notre appel,
          Cordialement,
          Marie-Hélène DELIART
          Documentaliste au Musée Basque et d’Histoire de Bayonne

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    • Bonjour,
      I am researching the career of Mederic de Vasselot de Regne who was the Superintendent of Woods and Forests in South Africa during 1881-1891. He was a student of the Nancy College 1856-1858 (33rd Promotion).
      May I have a higher resolution copy of this picture please ? It provides information on the type of uniform in use at this time
      Many thanks,
      Philip Caveney
      Knysna, South Africa

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  • Pendant longtemps chaque promotion de l’Ecole Nationale des Eaux et Forêts a réalisé un album illustrant ses deux années de vie à Nancy, mais je ne sais pas en quelle année a commencé cette tradition.La collection des albums appartenait aux élèves.
    En 1965 quand l’Ecole a été supprimée par fusion avec l’Ecole Nationale du Génie Rural, les albums ont été confiés à la bibliothèque du Centre de Nancy de la nouvelle Ecole Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts.
    Vous pourriez vous adresser à la bibliothécaire du Centre de Nancy de l’Ecole Nationale du GREF 14 rue Girardet 54000 Nancy pour savoir si elle a des albums remontant à 1861-1863.
    Vous pourriez aussi interroger l’ancienne bibliothécaire, Mlle Lyonnet (envoyer la lettre aux bons soins de la bibliothécaire actuelle).Elle était férue de l’histoire de l’Ecole et pourrait vous donner des pistes de recherche.

    Jacques MARQUESTAUT, missaire de la 126e promotion de l’ENEF

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  • Bonsoir,

    Photo 1
    L’instrument disposé sur un trepied est une ’’planchette’’. La lunette servait à viser le point à relever, on mesurait la distance de la planchette au point avec une chaine d’arpenteur (Sur la photo elle est accrochée au trepied . Elle a la forme d’un cercle.Au dessous pend ce qui doit être une gourde !!).
    On reportait directement sur la planchette, orientée vers le point avec la lunette,la distance mesurée à l’echelle choisie.Il suffisait de joindre entre eux les points et le plan était réalisé.
    Cette méthode se nommait ’’ lever à la planchette ’’.

    Photo 2
    Les instruments représentés sont un niveau et sa mire. Ils servaient à calculer une altitude pour les points relevés par la méthode décrite ci dessus, par exemple.

    Jean GAIDA
    Géomètre-Expert retraité

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  • Si la première photo est prise en plain air il semble que la seconde est prise devant un décore de théatre. Il parait d’ailleur étrange de ce coucher par terre alors qu’il neige.
    Pour ce qui est d’identifier les personnages, les eaux et forêts avaient des annuaires et peut être des "trombinoscopes, l’école sans doute aussi.

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