Autrefois, la place et la concession d’un banc dans une église faisaient l’objet d’une transaction et d’une réglementation, tout comme d’ailleurs le droit au tombeau ou droit de sépulture. On en retrouve la mention dans les actes de sépulture lorsque le défunt était inhumé « sous le banc » de la famille, comme dans l’exemple suivant.