Lorsque vous nous envoyez une demande d'entraide généalogique contenant des documents d'archives (état civil, actes notariés...), merci de joindre impérativement une transcription de ces documents en complément des photos. Ces transcriptions permettront aux lecteurs d'avoir des informations concrètes pour commencer à vous aider et vous donner des pistes de recherches...

Implantée à quelques kilomètres au nord-est de Reims, l’unité où sert Gaspard Morel (le 104e territorial - 1er bataillon - 2e compagnie) participe activement en première ligne à la guerre de tranchées. L’hiver apporte son cortège de nuisances. La situation est particulièrement éprouvante.

Autrefois, les ouvriers agricoles se répartissaient entre journaliers, qui louaient leur force de travail à la journée ou à la tâche, et domestiques, qui se louaient à l’année, de date à date.

Mon amie, Monique GUIGNARD s’est lancée tardivement dans la recherche de ses ancêtres. Elle commence par sa branche maternelle dans le Morvan où elle a une maison et avance rapidement. Sa branche paternelle lui pose plus de problèmes : son père l’a reconnue (ainsi que sa sœur) mais ses parents ne sont pas mariés. De plus, son père Marcel Charles Yves GUIGNARD est décédé alors que Monique n’avait que 10 ans et elle n’a jamais posé de question...

La bibliothèque du château de Grosbois-en-Montagne conserve l'original d'un surprenant procès s'étalant sur trois ans (1742-1745), décrivant d'étranges démarches d'invocation d'anges, dont le titre est «Procès des sorciers de Lyon 1742». Ce manuscrit inventorie d'innombrables interrogatoires. La procédure qui a commencé en 1742, a abouti en 1745, à la condamnation de vingt-neuf individus pour pratiques magiques. La présentation de ce procès renouvelle les concepts généraux sur la magie et les magiciens aux XVII-XVIII siècles.

L’abbaye de Val-Secret était située au nord de la ville de Château-Thierry, sur le territoire de Brasles. Les documents rassemblés ici font référence au droit de pêche exercé par les religieux de Val-Secret sur la rivière Marne à Château-Thierry dans un mémoire daté du 21 mai 1749. Ceux-ci tiennent ce droit de Joseph (ou Jean) de Montmirail au début du XIIIe siècle. La famille de Montmirail était alors vassale des comtes de Champagne, seigneurs de Château-Thierry.

Entre 2022 et 2024, les Archives départementales de Charente-Maritime, en partenariat avec le Fond Audiovisuel de Recherche (FAR), ont collecté des souvenirs de la Seconde Guerre mondiale auprès des Charentais-Maritimes qui avaient entre 5 et 15 ans durant le conflit mondial. Ces récits nous offrent un nouvel éclairage sur de nombreux thèmes : vivre l’Occupation, se nourrir, se vêtir, se déplacer, travailler, apprendre, se protéger…

Avec les noms de famille : Ce nom de famille désigne un garçon meunier qui va chercher le blé dans les fermes et rapporte la farine et le son.

Avec les mots du passé : Ce mot ancien pourrait être un surnom de meunier.

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