La lecture des vieux journaux permet parfois de découvrir de petites perles. Ainsi, je pensais avoir presque tout dit sur les enfants trouvés de l’hospice de Quimper dans Les exposés de Creac’h-Euzen. Grossière erreur ! Je n’y ai consacré que deux petites lignes à Guillaume-Georges Adolphe, ignorant son surnom de Lichou-Beurre et sa vie chaotique. Cet article est une façon de me faire pardonner.