Un "personnage" bien singulier eut son heure de gloire à l’Institution où nous étions internes. Très singulier, en effet, et qui en tous cas ne brillait pas par sa conversation ! Nous le nommions Joseph. C’était un squelette...!
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Dernier ajout : le 27 février.
Un "personnage" bien singulier eut son heure de gloire à l’Institution où nous étions internes. Très singulier, en effet, et qui en tous cas ne brillait pas par sa conversation ! Nous le nommions Joseph. C’était un squelette...!
L’Indochine manquant de renforts et, après avoir servi le Théâtre aux Armées et le Cinéma aux Armées (1947/1948), je suis affecté en unité combattante dans le delta du Mékong....
Installé dans un confort douillet, un vieil homme est obsédé par le souvenir d’un épisode dramatique de sa jeunesse... A Ascq, près de Lille, dans la nuit des Rameaux, le 1er avril 1944, 86 hommes de tous âges, furent massacrés, un à un, parfois à l’arme blanche, par de jeunes S.S. descendus d’un train en retour du front de l’est...
C’était, je crois, en 1963. Nous étions en récréation sur "les cours du haut" lorsque quelqu’un (je ne souviens plus qui) arrive tout excité nous annoncer qu’il y avait le feu au dortoir !
Le texte qui suit fut inséré en exergue du second numéro d’une "Lettre d’artiste" créée par l’auteur en décembre 1995. Le premier numéro avait été adressé le 6 janvier 1996 , jour du décès du Président de la République, à ses correspondants amis. En ce dixième anniversaire, j’offre ce témoignage, sans aucune correction, en constatant avec une pointe de frayeur, que ...c’est déjà de l’HISTOIRE...
L’auteur, médecin, raconte l’épopée d’un convoi de prisonniers de guerre français et espagnols, dirigé début 1941 sur le sinistre camp de la mort autrichien de Mauthausen et rapporte sa vision et son opinion des évènements contemporains.
Comme chaque année depuis mon entrée à la "grande école", au lendemain de la fête qui clôturait l’année scolaire, l’express de Calais m’avait déposé, en une heure et quart, à la gare de Saint-Omer... Souvenirs d’enfance d’un vieux pêcheur dans la ville de "Ces dames aux chapeaux verts"...
Internes dans une Institution de Pères, nous ne rentrions que tous les quinze jours chez nos parents (lorsque nous n’étions pas privés de sortie !). Quand nous passions le week-end à la maison, nous devions normalement réintégrer l’Institution vers 17 heures 30, car il y avait obligation d’assister à cette prière du soir commune appelée complies.
Souvenirs de dimanches de mon enfance, dans les années 60, où la vie était simple et belle : Nous n’allions pas à la messe de onze heures ! Mes parents considéraient que ceux qui y participaient avaient pour but de se "montrer" et d’étrenner les chapeaux et colporter les cancans du jour.
Mouvements de terrain de ma mémoire, un souvenir en amène un autre... Du présent au passé proche ou lointain, vécu ou ressenti, quelques instants partagés.
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