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Jeanne Bardey, dernière élève d’Auguste Rodin (1er épisode)

Les surprises de la généalogie

Le jeudi 27 octobre 2011, par André Vessot

Lorsque j’ai débuté mes recherches généalogiques, il y a plus de trente ans, je n’imaginais pas jusqu’où cela m’entrainerait. Ce que je vais vous conter aujourd’hui témoigne de découvertes faites au cours de mes investigations, en partant d’un simple portrait de mon arrière-grand-père.

Mon père était fils unique, d’un père lui-même fils unique, c’est donc tout naturellement chez lui que se sont retrouvées les archives familiales. Je me souviens encore des documents d’état-civil, livrets de famille, livrets militaires... empaquetés dans du papier kraft et camouflés sous la table d’une vieille machine à coudre. Il y avait aussi un gros album de famille, recouvert de cuir travaillé, avec des photos antérieures à 1900. Un grand carton à dessin, tellement usé qu’on n’en voyait plus la couleur, était attaché par un grand lacet. À l’intérieur il contenait des diplômes, des vieux journaux et plusieurs portraits au crayon de mon arrière-grand-père Mathieu Baron qui attirèrent plus particulièrement mon attention. Datés de 1912, ils étaient signés Jeanne Bardey, l’un d’eux était même dédicacé : "A mon cousin Mathieu Baron, hommage de l’auteur, septembre 1912"

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Mathieu Baron, mon arrière-grand-père

Cette première découverte suscita chez moi de nombreuses questions : qui était cette Jeanne Bardey ? Comment était-elle cousine avec mon arrière-grand-père ? Pourquoi et à quelle occasion avait-elle réalisé ces portraits ? À l’époque j’avais interrogé mon père qui ignorait le lien de parenté avec cette soi-disant "cousine". Il me parlait des deux filles Bonjour et me montrait la photo de Félicie Vacheron sur le vieil album, mais il ne faisait aucune relation entre tous ces personnages. Ces portraits semblaient cependant avoir de l’importance pour lui car il aimait beaucoup son grand-père, qui était aussi son parrain.

Fille d’un marchand de meubles

Mes premières recherches ne posèrent pas de problème particulier. J’allai aux archives municipales, alors situées dans le bâtiment de l’ancien évêché adossé à la cathédrale St-Jean. À cette époque, vous vous en doutez bien, les registres d’état-civil n’étaient pas en ligne ; ils n’étaient même pas encore microfilmés. J’eus tôt fait de retrouver la filiation de ma "Jeanne Bardey", née le 10 avril 1872 dans le 3e arrondissement de Lyon. Petite dernière, elle était la fille d’un marchand de meubles du Cours Bourbon [1].

Jacques Bratte et Marie Baron, ses parents, eurent 8 enfants, mais seules deux filles survécurent : Jeanne et sa sœur aînée Félicie. La première fille passa dans l’autre monde le jour de ses dix mois, les triplés moururent le jour même de leur naissance, le quatrième et unique garçon au bout de 3 semaines, Marie qui avait tenu bon jusqu’à ses 5 ans partit rejoindre ses frère et sœurs le jour du 15 août, son grand-père paternel l’avait précédé deux mois.

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Publicité Maison Henri Bonjour (Annuaire Lyonnais)

De bonne heure les deux sœurs semblent être marquées par le destin, au décès de leur père [2] Félicie n’a pas 13 ans et Jeanne en a seulement 11. Plus de deux ans après son décès, Marie Baron épouse en secondes noces Henri Bonjour [3], clerc de notaire, qui va reprendre en main le fonds de marchand de meubles du cours de la Liberté.

1893, c’est la fête chez les Bonjour

Pour Marie Baron 1893 est une heureuse année, après avoir perdu ses six enfants et son premier mari elle va enfin pouvoir faire la fête en mariant ses deux filles. Le 25 avril, Marie Félicie prend pour époux Louis Vacheron [4] un pharmacien de la rue Bugeaud, originaire de St-Symphorien-de-Lay dans le Roannais. Mon arrière-grand-père Mathieu Baron son cousin, publiciste, est témoin à leur mariage.

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Félicie Bratte



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Louis Vacheron

Sept mois plus tard, c’est au tour de Jeanne qui épouse Louis Bardey [5], peintre décorateur demeurant dans le 6e arrondissement au 14 de la rue Robert. Pour l’anecdote les frères Louis et Auguste Lumière se sont mariés la même année [6].

Mes visites à l’ancien évêché, complétées par les demandes aux mairies d’arrondissement pour l’état-civil plus récent, m’avaient permis de faire le tour de la question. Mais j’avais besoin d’en savoir plus, les archives notariales allaient m’en fournir l’occasion. Je pris donc la direction du chemin de Montauban afin de me rendre dans l’ancien couvent des Carmes déchaussés où sont logées les archives départementales (section ancienne) et d’examiner les contrats de mariage des deux filles Bratte passés chez Maître Deressy, notaire à Lyon [7]. Chez les Bonjour il n’y avait visiblement pas de problème d’argent, de plus Félicie et Jeanne possédaient en copropriété un bien immobilier [8] sis dans le 6e arrondissement, au 21 de la rue Sainte Geneviève, d’une valeur totale de 90 000 francs. Par ailleurs Jeanne apportait en mariage un piano estimé huit cents francs.

Le malheur s’acharne sur Félicie

Je suppose que mon arrière-grand-père entretenait des relations suivies avec son cousin Louis Vacheron [9], ce qui semble être vérifié par les souvenirs de mon père et les archives familiales qui lui ont été transmises. À ce point de mes recherches, les personnages prenaient vie, je ressentais leurs joies mais aussi leurs peines.

Ainsi le malheur semble avoir poursuivi Félicie Vacheron toute sa vie. Une première épreuve la frappe au cours de l’hiver 1908, avec la mort de son mari [10] elle se retrouve seule avec deux petites filles de 7 et 10 ans.

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Barthélemy Moreau

Trois ans plus tard elle se remarie [11] avec Barthélemy Moreau, professeur à la faculté de médecine et de pharmacie. À partir de 1923, elle traverse une nouvelle période dramatique avec la mort de son deuxième mari, victime d’une crise cardiaque, et le décès de ses deux filles.

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Mornant rend hommage à Jeanne Bardey

Si les rapports entre Félicie et mon arrière grand-père se vérifiaient, il n’en était pas de même pour sa sœur Jeanne Bardey et de nombreuses interrogations subsistaient.

Les premières réponses sont arrivées alors que je ne m’y attendais pas. En effet en 1990, Hubert Thiollier publiait un livre sur Jeanne Bardey et la bataille du musée Rodin. L’année suivante une exposition lui était consacrée à la maison de pays de Mornant qui permettait de redécouvrir une artiste lyonnaise méconnue, dont les œuvres n’avaient pas été exposées depuis 1956 [12]. La presse lyonnaise s’en fit d’ailleurs l’écho.

Comme Camille Claudel, Jeanne Bardey fut disciple de Rodin... À la recherche d’un maître portraitiste, elle fit sa connaissance à Paris en 1909, par l’intermédiaire de François Guiguet. Ce dernier fut son maître pour la peinture, Rodin pour la sculpture, les deux pour le dessin [13]. Dans la brochure de l’exposition, Hubert Thiollier retrace la vie de l’artiste.

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Photo de couverture du catalogue de l’exposition de Mornant

La dernière élève d’Auguste Rodin m’était devenue plus familière et Hubert Thiolier m’avait donné envie d’en savoir plus encore. C’est ainsi qu’au printemps 2008, je décidai de me rendre à l’ancien Hôtel Lacroix-Laval, où est installé le musée des Arts Décoratifs depuis l’année 1925. J’y trouvais un mémoire d’histoire sur la vie et l’œuvre de Jeanne Bardey qui allait me permettre de rentrer un peu plus dans l’intimité de l’artiste [14].

Sérénité, calme, amour de la beauté ...

J’avoue que mon approche de cette cousine artiste est un peu atypique et ces découvertes généalogiques m’ont conduit à m’intéresser à l’art, pour lequel je n’avais aucune base. À travers ses écrits, ses dessins, ses sculptures, l’ensemble de son œuvre, Jeanne Bardey m’a amené à apprécier ce qui est beau. J’ai voulu cerner de plus près sa personnalité en consultant les articles écrits par les critiques d’art.

De cette recherche je retiens les propos de Marcelle Tinayre [15], cités par Madame Duperray-Lajus : Cette vie de sagesse et de labeur, enclose dans le sanctuaire de l’atelier, donne au pur visage de Mme Bardey une sérénité presque conventuelle. N’est-elle pas entrée "en art" comme on entre "en religion" ? L’amour de la beauté et l’amour divin sont deux flammes prises au même foyer. Elles brillent dans ses yeux de femme, d’un gris limpide, qui regardent si droit et si loin, et qui découvrent, au delà des apparences, le secret spirituel enclos dans la matière de toutes choses.

Tout en approfondissant la personnalité de Jeanne, je poursuivais mes recherches sur son ascendance en m’appuyant sur les archives de la Loire en ligne et les relevés des associations généalogiques [16]. Et je trouvais enfin Jean Baron et Philiberte Oudin couple d’ancêtres communs à Jeanne et à Mathieu Baron, mon arrière-grand-père.

Ainsi la dédicace citée au début de cet article prenait pour moi tout son sens, même si le cousinage était très éloigné.

Dans une 2e partie, je vous ferai découvrir la vie et l’œuvre de Jeanne Bardey.

Pour lire la suite...

Liens :

Sources :

  • Archives familiales
  • Annuaire Lyonnais 1894
  • Archives Municipales de Lyon
  • Archives Départementales du Rhône
  • Fascicule à la mémoire du Professeur Moreau
  • Journal Lyon-matin 1991
  • Bibliothèque du musée des Arts Décoratifs de Lyon.

[1Aujourd’hui Cours de la Liberté

[2Jacques Bratte est décédé le 10 février 1883 à Lyon 3e, acte n° 245, archives municipales 2E 960

[3Le 01/07/1885 à Lyon 3e

[4Le 25/04/1893 à Lyon 3e, Acte n° 308, archives municipales 2E 1678

[5Le 11/11/1893 à Lyon 3e, Acte n° 828, archives municipales 2E 1678

[6Louis le 2 février et Auguste le 31 août à Lyon 3e

[7Archives Départementales du Rhône, 3E 9786 et 9788

[8Provenant de la succession de leur père Jacques Bratte

[9Mathieu Baron et Louis Vacheron étaient cousins issus de germain

[10Décédé le 30/01/1908 à Lyon 2e, acte n° 264, archives municipales 2E 2095

[11Le 3 septembre 1910 à Lyon 2e, acte n° 381, archives municipales 2E 2181

[12Rétrospective des œuvres de Madame Bardey à la Chapelle du lycée Ampère, du 7 au 30 juin 1956

[13Lyon-Matin 28/05/1991

[14Mémoire d’histoire de Madame Duperray-Lajus, octobre 1987

[15Femme de lettres (1870-1948), contemporaine de Jeanne Bardey

[16Base de données Geneabank

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8 Messages

  • Bonjour Monsieur,
    Je suis un arrière petit fils du peintre lyonnais Jacques Martin (1844-1919) qui avait réalisé un portrait de Jeanne Bardey.
    Je suppose que vous le connaissez mais je vous en parle au cas où.
    Ses dimensions sont H73xL59 cm ; c’est une huile sur toile. Il appartient au musée des tissus et des arts décoratifs de Lyon et il avait été exposé à la maison Ravier à Morestel en 2004.
    Je peux vous transmettre son image par mail si j’ai votre adresse.
    cordialement
    Jean Pierre Martin

    Répondre à ce message

    • Bonsoir cher Monsieur,

      Votre commentaire me fait énormément plaisir, car l’intérêt de rédiger des articles sur ce site c’est de trouver d’autres sources d’information. Je savais effectivement que Jacques Martin avait réalisé le portrait de Jeanne Bardey. Il a même été son maître, lorsque Jeanne a réalisé ses premières peintures (natures mortes). Si vous pouvez m’en dire plus sur Jacques Martin, cela m’intéresse au plus haut point pour préparer la 2e partie de mon article. Quant à l’image de ce portrait vous pouvez me l’envoyer par mail à l’adresse suivant : andre.vessot chez wanadoo.fr

      Encore merci pour votre contribution qui permet d’enrichir nos connaissances réciproques.

      Bien cordialement.

      André VESSOT

      Répondre à ce message

  • Jeanne Bardey, dernière élève d’Auguste Rodin (1re partie) 29 octobre 2011 23:40, par Monique Gras

    Comme vous le savez, au musée des Arts Décoratifs de Lyon, il y à la collection de sculptures et de peintures de Jeanne Bardey + tout les courriers qu’elle à écrit et reçu de Rodin.
    Et c’est dans ces courriers que j’ai vu qu’elle avait une maison à Mornant qui y est toujours.Elle à vraiment une forme qui fait que nous la remarquons.
    Cordialement
    Monique Gras

    Répondre à ce message

    • Jeanne Bardey, dernière élève d’Auguste Rodin (1re partie) 30 octobre 2011 10:13, par andrevessot

      Bonjour Monique,

      Merci pour votre message, j’ai effectivement consulté les archives Bardey à la bibliothèque du musée des arts décoratifs, ainsi que le catalogue de ses oeuvres. Quant à la maison de Mornant, Jeanne et sa fille Henriette y sont allés souvent. Rodin y est même venu et peut-être, je n’en suis pas sûr, le peintre François Guiguet.

      Bien cordialement.

      André VESSOT

      Répondre à ce message

  • L’association L’Araire, dont le siège est à Messimy - Rhône, a consacré un article à Jeanne Bardey dans l’un des numéros de sa revue. Pour connaître le numéro et l’année de publication de cet article, il vous suffit d’aller sur le site de L’Araire que vous trouverez facilement par l’intermédiaire de google.

    Cordialement

    Andrée Possety

    Répondre à ce message

    • Jeanne Bardey, dernière élève d’Auguste Rodin (1re partie) 5 novembre 2011 17:43, par André Vessot

      Merci Andrée de signaler cette article de l’Araire pour les lecteurs de ce site. Il s’agit en effet du n° 140 de mars 2005, qui évoque aussi d’autres artistes et célébrités en pays lyonnais, comme par exemple Pierre Neichthauser (1873-1953) qui a relancé le théâtre Guignol . Pour info l’adresse internet du site de l’Araire est : www.araire.org
      Bien cordialement.

      André VESSOT

      Répondre à ce message

  • Jeanne Bardey, dernière élève d’Auguste Rodin (1er épisode) 20 octobre 2014 19:29, par Eric-Noël DYVORNE

    Bonjour, j’ai lu avec grand intérêt cette première partie de l’étude consacrée à Jeanne BARDEY car je fais des recherches sur un personnage qui a évolué autour d’Auguste RODIN au cours de l’année 1912. J’aimerais savoir si, au cours de vos recherches, ou de celles que M. Hubert Thiolier a effectuées, vous auriez rencontré le nom d’Albert Postel du Mas (1888-1950), plus connu, par la suite, sous le pseudonyme de Vivian Postel du Mas (parfois Vivian du Mas). Voici ce qu’en dit son frère (mon grand père paternel), Henry Postel du Mas (1889-1926), dans la lettre qu’il adresse à ma grand mère le lundi 17 juin 1912 : "Mon frère est devenu secrétaire de Rodin. Il a de la santé." J’ai tenté de faire des recoupements pour savoir s’il a vraiment été secrétaire de Rodin. Si c’est le cas, ce ne fut que sur une période très courte, Rodin avait un caractère épouvantable et les secrétaires se succédaient très rapidement auprès de lui. Par ailleurs, mon grand oncle Albert-Vivian était un personnage fantasque et je l’imagine mal s’accommodant des caprices et sautes d’humeur du grand maître...
    En 1912, les deux frères, Henry et Albert-Vivian, travaillaient pour le grand quotidien parisien Le Gil Blas, qui titre le 2 juin 1912 :
    "Le Musée Rodin à l’Hôtel Biron :
    tous les artistes, tous les écrivains, tous les penseurs
    demandent que l’illustre sculpteur ne quitte pas sa maison."

    On peut supposer que le jeune Albert-Vivian vit Auguste Rodin pour la première fois en 1910, année où ce dernier eut ses dessins exposés à la salle des fêtes du Gil Blas, le journal qui avait embauché les deux frères dans sa rédaction.
    Si vous pouviez m’apporter un éclairage nouveau sur cette phrase énigmatique tirée de la correspondance de mes grands parents, je vous en serais très vivement reconnaissant.
    Eric-Noël DYVORNE
    edyvorne chez msn.com

    Répondre à ce message

    • Jeanne Bardey, dernière élève d’Auguste Rodin (1er épisode) 21 octobre 2014 08:41, par André Vessot

      Cher Monsieur,

      Je suis tombé par hasard sur votre message et vous en remercie beaucoup. Hubert Thiolier a effectivement fait d’importantes recherches et a passé beaucoup de temps au Musée Rodin où il a dépouillé toutes les archives. A ma connaissance, sauf erreur de ma part, je n’ai pas vu dans ses livres le nom d’Albert Postel Dumas. Dommage Hubert Thiolier est aujourd’hui décédé, sinon il vous aurait certainement mieux renseigné que moi.

      Je suis allé une seule fois au Musée Rodin en septembre 2011 pour consulter les lettres de Jeanne Bardey à Rodin et une documentation qui est assez importante. Si vous avez l’occasion d’aller aux archives du Musée Rodin à Paris, je vous le conseille vivement. Vous serez bien accueilli et vous trouverez sûrement votre vie. Pour ma part j’étais en contact et j’avais rencontré Madame Sandra Boujot pour consulter les archives du Musée Rodin, vous pouvez éventuellement la contacter en disant que c’est moi qui vous ai donné ses coordonnées (boujot chez musee-rodin.fr).
      Il n’est effectivement pas impossible que votre grand-oncle ait été secrétaire de Rodin, beaucoup de monde gravitait autour de lui.

      N’hésitez pas à me tenir au courant de vos recherches que je vous souhaite fructueuses.

      Bien cordialement.

      André VESSOT

      Répondre à ce message

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